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Full text of "Le patriote de l'Ouest (1925-03-11)"

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AE TA PAIE DESERT PAS ENT PET ET ETOILES PATTES AE 


EE NT RE 


LE Too ap 


RS 


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2 pagies mo rte 
ET 


De Ant 2 


ER Ro 


RE de vnetatren 


Roses © 
TE : 


BASES RONA 


me + 


Ce, 


se du tel au LT ' 


Fès ënir avec las. -d'poir-que. l 


CE am. 
crsçrernress ï 


Le.seul ‘journal. $ français de: le 
| Sackélcheian. 


Organe des Catholiques Fr ‘languë- 
. française du Nord Ouest mt 


‘ 


« ; ; cer Lt 


lLe “Patriote” est Ju. ‘chaque. semaine 
pr pus de 30, 000 personnes 


15ème Année 


es 
rente Rumnnt 


commence aujourd’ hui son quinzième 
tan, T20%ème minnéro, prés de 5,000 pages, 


l'alr joie colanme de 


Le 
pull TE 
TRE quinze ans, aucours de l'hiverde 1910, après un pramicr 


GER 


ui journul local de 1 angue, anglaise, deux prêtres de loi intrépide, le 


Rd" ovide Charlebais, OME:, alote printipal de l'Ecole St-Michel de 
Dark-lake (qui allait devenir l'automne suivant évêque missionnai- 
mu Recvatinie ef M abbé Mÿres duré de St-Isidoro-desBellevue, 
coneurent et môûrirent Le:deséin hardi- de fonder un journal eatholi- 
que ct lrnneais. en Saskatchewan, qui scrait le premier essai de pres- 
ï Fran ment entholique et, indé endante des partis politiques dans 
lOnést Canadien... 


c “et l'époque oùt “lan tout. lé Canada los catholiques s'eveil 
hiént. à.Ja nécoegité d’avoir leurs jourunnx, bien.à: eux. Lo naillant. 
hhensadaire de Tardivelila l'été, avait Gé Ta précurseur de ee mou- 
voue. Le Drenits à nait de paraître. à Montréal ot PAction Sociale, 
Catholipne de. Quéee,. avait sourageusement hatth, la marehe. trois 
ans anparavint. ‘Les (ant adions Hi FOntario: agitaiènt déjà l'idée de 
Hnder un journàl ‘duré la capitale, projet qui so-rée ais ait deux ans 
pus ti ad par la fondation. de Droit, à OUawa, UT. 

La vénlis atiôn. d'une -{elle entreprise était encore. plus difficile 
dns F Ou, Leurtout- dans un humble cire de campagns Ce 
pendant, Fidée prouvé: et hénie par Je-prémier pasteur du diavise, 
ke regretté, Mer -Pasesl, SH fon ehenin assez v ipidpment. Duran ce 


wonc hiver. M. P able Mxre recnéiluit les-prenicrs fonds de Ja som li 


pasnie de publication, 500 d'actions sousevites parmi ses HÉNÉTOUX 
parois Lung tous colons débutants. Au cours di l'été, une inprhne- 
Sie avez bien outilée. pour imprimer ui journal à à huit pages ctnié. 
in « des Div. s était installée sous les s sôins.cxpGimentés du RP. Mori-[c 
eo dan | ‘allonge ‘d'une Loutique de MOTHTISOr ie à l'Ecole St-Michel de 
Huck-Lake: ete 24 août LEA prise ait le vremier DHErO Hi Pa 
frote de FOuesl, M 

L'R PA ne Morice, o. M... hit trie avi intageusement Cône 
ji pal ses BOT. üx el savante: Hravatesx, était Je premier directeur, fl 
avait choisi, d - concért avëcdes fondateurs: le titre du jouthal arborant 
le re HAL “ui Sacré{'aeur-ct hr devis: SNütré Foi! : Noire langue?” 

lui qui rédige les dix premiers. HuméTos. s'ocegpant er QU 
me. du recrutement des £ abapnés qui s'é flevèrerit nm elques CHE tie 
mia phiftre oi x LT 10" 1e Te : 

La ele” avait qi je SOPR antéel. 108, 4 forces, lose “A “at rois 
ue FHNOTOS UN jui -.Fatelier ot deux personnes pordivent la 
die, Viur Lun détrniré LA PCOMHDENCEr ne 
soûre QU En piastr à “aftindre. de lasruce 
si he utéiel 7 fijalé. faisait de sve"condres an 
bte uritant Tél] dnetieatdier tout neuf ins af | 
ua ill. ae de Duckel. ka it nu, somiienecment de mars LOTS il NE 
" Cinstdier définititeñient à Pine. NIberi clin un loval lonvui 
pur Mer Paul qu'il habité dlepüis B, 4 Ü 


1} 


à 


, “2 ‘y Do 
; , ‘ 


.. LU faudruil un. fout, autr end que coli d'un “apide arhelo de. 
jotirtinl por Le fs te, mn onmiire nent, lhisioive des juine Eù pré 
Pattes arts dl" Oe-onnr re dont chaque setaitie, et .ponr ainsi dire 
chuque jour, offn ses ne. ipétis Ce m'est ei hi Etenpse, ut le Vieu 
Dur. Diofeursde loumalisie n'éeri Pis SCA SOUVONITS, 20 
cpl de les vie. Tout absoplié para iehe du nioinout, Eovil 
et vers Pavenip pont réa le etHoñr qu'il s'efforce de fraver qui 
droit que possible das mb-éot souvent.aridé #1 focaillenx, ne jette 
que d teuipe à autÉe un OU) d'ucil d'énsenble.sur le puise 
dune années Lie uiôt 5 la ehatrüé! ponirions nous ire. 
te Dion pou dense vié d'in ocuvre que NOUS CHOVONE appelé ea 
nr pure qu'éllémons parait intimemontéliée à la survivance fran 
RCOCTTATEET nie ‘dan: cette partie ‘du pars Cest. , Pourtant déjà pius 
Qu i'onient HOOENT promettre les rage” d' il Va quinze us, 4 
Les shox 6 los gens pratiques ci ont toujours int mais, il faut bien 
Que lee oeuvres sufholiques dépassent parfois ectte sageses toute hrinai- 
reus celé Îles no eomnience 
Pa hui plis a défeloppers  E 
Ne crovons anjaurd Enit comme ler qu'une ouvre cathalf que, 
“ane nécfie ride DUNENÉ AUCUN kimeni bümain de sUCCÈs, - doit au 
jo pure gr Ube- foi as3cz inlrépide ‘pour ne jamais douter du 
“ture de Dieu Co ressort pos parait plus puissant qua tout le res. 
le. Une ocuvra catholique ne gent pas être envisagé, tonne the sinr- 
ble quetion d'affaires Co ‘de nice point de vue, tout ‘raisonnable | 
QUIL soil dans son. ordre, +orait ‘ineuffisint.. 
Chorizon, ui il QUE qu (LUS ferme confiance en-la Prov idence le der te- 
que du ee Aie. et que jamais 1 Recours de Dieu ue uous à 
QU les pass: s difficiles que nous avon: tr AVeTSÈES au COUT | 
ontol quinze atmnec ts: NA exister, ét nous crovoné Donvoir ajsur 
ne un Hutre histoir: eur uû-théâire d'aëtion. plus modèste, est gelle | 
N cle nos eyands coplioves de la presse catholique, dont nous ad- 
ro le merveilleux" déx: elopmemonts, °. Nous confessons: de vilus 
qu ave une Tor plus hitonse nous auiions pu faire probalilement di | 
CLIHEETES 
es Et ous prions dane tous nos lceteurs d'avoir 1 | 
PET Le Le QT hcieneos qu À té sincère. désir de foujours ufeux fai- 
QE Ole Dion. Cost d'ailleurs une bienveillante indulgence |. 
| nous accordant (rés largement: ol dont. HOUS. vondiions, re le 


‘ 


jugé prit satisfaiennt, de ‘maintenir une coleune. française daue|: 


ca" ‘ 


aient jamais et etes ne: e-Tiouiraies dl. 


H: n'embrasse jrs tout £ 


LMERÇIEDI AATIN, EOUARS 


maloré” nôtre: constante" pduvreté. cl l'insuffisanee. de touxsir . —— 
noins égard REnER TE REDI APRE SUD . ° a 


Nous entrons dans noire quinzième année an, moe ht où notre 
Assotiation catholique lranco-canadienne de li Sask atehewin tient los 
premières séiuces de son neuvième congrés : Que Dieu len hénise 
ls bportantes délibérations pour Le plus grand'bien de ER cnuse ea 
tholique et, francaise! 
dre de’ son pri ésident ef de soi: auimoônier gébéri : “Nos voulons: 
étre nnis pour être. forts, ef noue voulons être foïts pourlagie, pour 
défendre nos droits et l'aire de; ouvres dukah es 


: . A.F, Auclair, 0. M. LE 


perennnennns) 


. Notre Convention aura le succès qu'il faut en espét r, si 
nous nous conformons aux sages conseils que nous #d 
notre dévoué Aumôni er génér cal, par la voix: du Fefsiote, le 
25 février. - 

Soyons étroitement unis dans le: poursuite dè ès 
iés pour atteindre le but de notre mission. | .-Ne tenots aucun 
compte de nos personnes Ordonnons nos actes privés et pu-: 
blics et considérons d'abord el toujours l'intérêt général de no-! 
tre groupe en Saskatchewan. Gi notre Ass gociatioh a pas 
été aussi vivante gue nous l'aurions aimé, ne péc hons’ PAS 
contre l'espérance’ Armons-nous plutôt. ‘de. l'inébienlable 
et constante résolution d'être plus aniss sañts pour la süevivan- 

e de notre commun idéal. 


activi- 


Nous rappelant que € est au choc des idées que jaillit la | : 
lemière,;n° Régitons pas à prendre park-aux. délibérations, et à 


exprimer notre. opinion sur les différents sujets qui seront dis- 
cütée ab cours des sésnces: de ja Convention. “Par notre ap- 


plicétiôn à la solution de nos problèmes, nous onncions uhe | ve 
démon xstration: de hotte force et de potre ferme volènté dep p 


vi vie en- prose 


Li . L . 
“.. Causerio bar un Pêre du Collège Mathieu. : 


: Pourquoi non voulons que nos enfan(s apprennént Le fre néais, 
Discussion de a Censtits din. 


HDI SOIR 


" h, Allocution de Mer Marches Mu. orme se 'E 
‘Allocution de Myr de Prince-Albert,. | 
Discours. des délégués de PAlberta,fdu Manitoha- et de ] 
‘Rapport des directeurs de Pinterprovincialce. . 
Que faire pour fe recrutement ce nos instituteurs ?° 
Flections des Officiers de linter provineiale. 


# Fo 
l'Ontario. 


à 


9h. Mozse dite à la Cathédrale par Myr V'Aumônier de A C. FE. C. 
” Sermon par Monseigneur l'Archevèque. - 
” Séance de l'A. C: FC: . 
18,15 h. Kemise des lettres de créances par les délégués, 7 
10.30 h. Ouverture de a Convention par le Prêmdeut. ; 


Le. BUT de FA. CM Fakbé A Erny, D. D, 
£ Diséusrion générer le. . 


‘Choix d'un comité de nomination. 


Séance de l'A. CF. C. oo 


‘2h. fRapnort du Secrétaire, - Rapport du Trésorier. ste 
Le MOYENS à prendre pour Fatteir inére Le BUT de PA. Ge F; c, par 


moine idiencs. possilile,.. jen 2 M. l'abbé J-A. Ménord. ‘ Le 
«ul Les témoignages #5 ect Svipathi, sont ombres ets rmndie. un, Diseussion générale, 1 5 ot 
bete us Cosse, : nous iepnoüt. de Ja mass du peuple CON à à del UT “Pt f} ÉD] SOI? ct . L Te + Den ii ‘ Lie, 
{ à - . . : . ‘ . D 
ANRT les plus illus sttes, “Nous. ‘on sommes profondément ae 8h. Le Collège Mathieu et PA. C. F..C. Son fondateur, 


es ste des ot bien iljux. dé notiè. révônnaissanec cst innonse. Ki 
ne volonté Nice dé Hitiusp touit-céque nous aurons fe force: ‘ét. da 
M plus. petite. ù QUE sontens. bien que neus ng- -nemplssons 
“ain d'a € partir. Ale. ce détoir, dei reconnia 

‘ aédiit{er loute notre dotté 
or " e pa ui Ps moignagis: ‘du 
TD uni: acte de nr cul sürvivanee de locuvie 
ae éctfi Th LE TES groupe: fre inép-canadien; cir. est-il: dè plus t 
QUE marufe. ne Lt RE dents. pie qui illônge chaque éighine ot 
aux? Xl ù innoyation bi sl milicalive dans: lenoude: “dis 
hote y “Voye inti: if. dc rcpri abts. do AoUtbE" les elassés. soul les 
se cfholi ons wie: preuve noivelle: du progr ès sel idée” d pres 

É ique- Acconiplit dans :üs a “N° 


sanee, laissent it Dieu le 


Len a 


s à 
nu 


estimé an-dose ji QREL Hi'A Ts 
ont nue “cles sous € ê dignité de se, fige cite labs | 
Pour un: Joërnal “éntholique 


. lFortifiés: dé 


en COLC que: JE [A DI TA ITIN, 12 


yiipathié dé contiige : jui. soul 


JEUDI . LES <. MIDI En ; 

LU. ... Séance de: TA. 

1.2 h Lecturé de de “Constitution. «Son adoption. | NE 
le TA. - F "ce. . . : : 


fépone Log, DÈ SOIR 


CURE SS 


La Bonne: Presse ét PA: &. F. . Mgr de Prince-Alhért. 

Relutions daF avenir enire l'AC. FC et l'A CE. FC 
M. Raymond Denis, vo 

M. RS 


Li te Séance des Cormmissaires DE 
” h. L A C EE c. doit nous préparer une élite. Mgr Brodeur, P,. A: 
Les. mesu es qui. s'imposent peur cévelopper l'enréigném eut: du 


francais dans nos écoles “Drotion 
.: Adoptions. de la Consisition., ‘Elcetion des “Offisirs, 


à, : Election des Offitiers 


Séance . CONJOINTE DES DÉUX. Associations: 

présotions: iles x" -Convention | Cf 
3 ‘Présidents Eli 
ñ TE nirelés résider 
No ‘Seigneurs: es. 


ivéques. at ‘ 


drécsnit ! 


Nous faisons nôtre le mag frquel not d'or! 


| 
| 


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L 
e t 
un simple signe de vous, ce 


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Î 


i 


«| 


, de 


ia contagion”? 


NOTRE FOI! 


1 303, 


| : Un an, 
ss. LL] 
… 


Prince-Albert, Sask. 


céntaane mer c0emt er à caen none on he 


rene 


dème Avenue Ouest 


Tél. “2964 


Abonnement: | 
$2.00 
es 


Canada. ..,..., 
Etats-Unis ..... 
Europe uso. 


NOTRE LAN GUR! 


notre paleuretnr 
Patriote Himble home 
mage de notre infinie 
cratitde, 


Que diriez- vous nl un ami, qui sur 


lun” premier appel, empresst de 
vous distraire, de vous renseigner, 
tele vous htstraire, de votts stiniser? 
Au sein des villes, du fond des 
campagnes, au, niifieu de Ja faril- 
près du foyer, par- 
mi Ja foule, dans ‘ln solitude, il 
viendrait à votre gré, vous tunis! 
sompagnie: vous apportant les der. 
nivres nouvelles, dignes de mette 
tin: diseuiant des problèmes qui 
agent Le monde, si divers ol si 
compliqués: lcur donnant la piste 
interprétation, kelle qu'un cspr il 
cuhtivé el avorti conçoit, y üjon- 
tant. &s: voseignements d'une han. 
te vifour praiiaue; les entrem. 
liant d'histoires honnètes, d'apereus 
ivdieionx sur des questions! de 
seience, \d'agrieutture, d'ésonumie 
politique, d' Mygiène et de morale, 
Que diriez-vous, si cel sini, insou 
cieux de son imtérél personnel, 
lusnit les offres les plus allée hantes. 
pour vous demonter fidèle; pour ue 
nas afièuer sn liberté où son drnil 
vous dénoncer lerteur el de 
n'en point répandre auprès de vois 


lc, en vovapp, 


Que divicz- vos si cef mi, vous 
consacra el soi lemips el son al 
ont, déponsnit vuit ci jour à 
Votre servie, v conféntrant tuiles 
ses facultés et sos Gilents, so inlel. 
ligenco CTUL SEE, son Aie ÇL 
SON COBUTI AvVAanL por Ubique in 
bition, celle de vons éarder du mat, 
eche de vous faire du hieu?, 

Q%e dirivr-vons si, à l'houre grn- 

OÙ 0 iouert non destinfes on, 
avs, qui est pourtant le nôtre, 
si col ami se nroclimit linterpré- 
let le anplon de vos droits Lu- 


se 


! Nous estimont qu'une assoc ation. “hétiohele | ant présripibles et de os justes re | 
tou: nc œuvre de ‘volenté: de dévoucmiént, dé persévérance, | Si, éresmontant le, danger qunir 
9e - 4 1e \ * 

ä iñtelligence etde sacrifice. “Or, come notre ‘rai ft sys me HEUES DA UE, du foie ur vous 
£ a » 2 ve . SJ  * 5 *, 
“nuros: or LATAgE BRGEMCN. ttes Baye avons T Er Re ne mes) analer fà MENACE otani set voire | 
raitôhe. de’ croire, Difonse Cho va Mleide gen incl [TATES 
' | ionrs ur dj brénhe, sonner Palais 

pt So ‘ M E.! MORRIER, cure ehenter fs HA n folie à vo- 

! Le : n. dects, Cinsqu'an Domi : 

” Président géféral de l'A: C. F. | tes que ne terirevous, en re 

Lcoprèes EE EEE AS name api nan en mom nn me manner lout, pour reconnaitre un fol sain. 
TT TT : - 10: sen. vau of Haven ri [NLE 

: fi re. un dévonenient si vaheiens 

DO: . £ FER TA noire jovomparuble ami, ani 

| SEE “ : #uer contaul le nous rhorder, aspi- 

LA 7 À : À dy de nltus hautes visbes, ant conte 

o 4. ! Fr a ss cux défenseur de notre farie 

.£ # F . F F3 ste nelire loi re j: Ceux eve 

tt 1 LEE A d'en ahione eff guess gg adore 

{ fil Ed eg D # ES dune pronver por dos gelos sorte 

“., >. . lieus. paire atlarhement profond, 
a — | DEÉURETTE, à 
MARDI MATIX,. Ji. LAN mt : | Wilowe Lunch. | 
: « » memes nes ee Le au nee rome 

. [Séance des Comumise Aires. ‘a |. 

Re Heint | | AUS [La : mise de la croix de le Lé.] 
9h Reinise des lef(ris ce créances par: les délépaés. ‘ æ Mg ‘ 

‘ Sothuits de Bienvenue. Kévanse per LE l'résidont, sion Honacut à a Er 
10 h Allocation pär Le Président. € ouai 

Historique de ? association Le crucail. devant Ja. Cons ention, Fos ’ \ 
Blection d'un comité"de haminntien :° 4 
menton, —- fn cé ré “ie de a 
Lecture el distribution de: arlivles dé a Cents tation n: RU de 1 Foix de r lésion 
AA PDI . EVA Ex HI "of d'oie pheur Se Mar Gr HER qi 0 | 
L ; BL, vienire apostolique du PAU 
| Séance des Comniisse aires. basva «l vétéran des Jui ions du 
2h Rapport financiér ei rapyerts des directeurs. - To nerd. aura Heu à Hrouiu', 
Leg devoir: de parents, des cuminist aires el des ine stiuieurs ou- Jélon. Hi, Ge Brel, lieutenant 
+ ver l'école. M, l'in poeterir: Gagné. Fe annvornenr Alberta v est tnvité, 
3. Le Collège F enens Canadiens de la Sarkatchewant avec Sa nutison,, Les insianes ds 


Perdre sont offets Mar Gronatd 
por {a rolonie francaise de Mon. 
réa el le covsuf de F runee, 

AM Bouquette, journaliste 


au nom du gouvernement de Fraie 
Er ‘ 

. de baron de Vitrolles, consul 
a ral de France, qui dev ait iprée 
der fa cérémonte, est veleñn À 


Montréal par ses, inportuntes fonc-: 


quel nous 
longues années, de. bot. combat on 


eendie qu'il 4 éprouvé rétennent. 


\- 


du Conseil Privé 
er jugement sans l'affaire des’, pros 
vinces de 
pPAlborts a. 

li-ci avail passé une loi’ imbogunt 
uhe taxe sur les ventes de blé avec 
future” 
previncés: s'objéctèrent: hotte, Jof 
et: pagnérent” leur: point, 
èour supéréme du” Canada. 
au. Conseil Privé-Ja eause ntten(l it 
sément,-ellé a été. défendre à Sons. 
“jdrés por Ja Saskalches: ay ee 
bertst -Dar À 
: Jde “Montréal. | 


M. Rou-: 


ions, el " dovantié à 
queite de le renipl: acer, 


ne fe Le mens 


Le doyen des journaux. cana-| 
diens 


mer muets . l 
Courrier de Suint. lyacinthé | 
qui vient de coninencer sa 736 
agunée, est de .doven sic journaux 
de longue francaise dy Canada, 
Sous Re direction de M. Hinerx Bor- 
nard. ancien rédacteur au Droil, ce 
journal est unes BÜns. catholiques 
militants de la province de Qué- 
beg, Let Louis .Gludu, OX 1, de} 
St-Boniface, avant son “entrée en FA 
higion.. ful un des rédacteurs de Ja 
premiére heure le ce jourial ar 
.Soulaitons encore de 


{ 

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ñ w 

eus Lora la remise de Ja décorntion | 
j 

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j 


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temps QUE. DAS hi expri 


iyéie 
CUP ANTENNES dans, Pins 


Bons 


men cree 29 ge moment 


La cause reste. pendante /. 2 


fuiciairé 


comité” 
tard 


Londreg-— Le coiil 
a remis 4 plus 


Saskatchewan et. de 


tee le :Mahifoba, - 


livraison. Les deux autres 


devant: 
Port de 


PAL 


Ligène Eufigur,# 


LA, A 
4 ‘ 4 - 


pecter 


milles qui parfois en opt tant br 
soin, 
xallionent pour unes les: bonnes 


souvenir de 105 
seven deuant ee qui. hous est. mu % 


Co-!tentat € 
lnue ‘dans liptinic 


DU des énthousiagnes stnis lende-. 
Je main, saisis: de décdouragemént ën 


2 de an nm mm 


ets mem ne 


No. 


! 


à 


. 


Quelques suggestions pratiques d'un Franco.C Canadien 


adm tem arms arte ananas 


Ni j'allais à la convention de Re-: 


+ 


dous In convention pour ‘asnrer la 


gina où pour parler plus expliei: victoire, m'ont pas conquis d'elles 
toment, si fe pouvais v aller, ee se finèmes fe tomnin en vue, ne tenant 
vit bien trantquilement, étant pas eomple quil faut des æftorts 
investi, d'aueun vûle officiel, n'aciaelils et cutthatels après avoir ré 
vint iicth fapport à pré senle v pl | ponelu ù l'appel, comme si fes el 

indelles ennemies devaient tomber 


étant: délégne que de nie ème, 
Le nrésiiléet dei séances deman- 
nos opinions sur tel sulel 

surmoutaut tn timidité 
aumiien dune 18- 
voici ve que 


derait 
diseuté: 
{bien naturelle 
semblée si distinaute, 
de divuiss ce ne serail là rien de: 
neuf. mais da vérité si ancienne 
qu'e de soit, n'estolle pas toujours 
nouvel ) 


Le vrai patriolismeel le “Patriole’ 
D'abord, 


c'est entendu, nous de- 
vons  Gtre de vrais  patriotes, 
cestitedire franchement: Cathoti, 
ques ol Canadiens-Æfraneus. Gone 
me on Pa déjà dit: ‘Nous devous 
ouvrit en notre Coeur un, sune- 
luntre pour le eulle de bd rare, 
conne DOUS CN -HVORS He pour Le 
culie de Dion, Nous devents rose 
pecler ht race en nousenéeires, vit 
Dos SHpérionrs, en veux Qui dépen-i 
dent de nôuS ions devons res. 
notre knagu se goblrnse, 
sa purelé.’* -Aphrenops, here no 
tre histoire puisaqu'olte nous (un- 
ne loranpil de relever ht tte quand 
an vous insulte. Chacun de nous 
devrait ajouter au peu de fumière 
et de gloire à notre rue ce dont vous 
devons transmettre dine à nos tes: 


cendants, et Pin d'eux, peutttre, 
préphré par nos exemples cf Ta 
lidétité noi faditions, fort de 


sa puistince pfus ane et de mo. 
fre espérionce ucuquiee  enlévéra 
du: lohiheau où beaucoup. sont dé. 
0 enfermés, a pierre de Ja fai. 
blesse ot de, “fa Heheté, Nous ne de. 


sapi cepenels un pas étre croit 
d'esprit. CS uout voulnns avoir 
HOtVE plages: ii “oil, Notre force 
Série eu CENT O te GATE cu 
Hionile, Hoire Hate PRnet Sion 


BE d'apger#tas orbite mn HoUs, QUE 
Ke dure Pas us lutin iles pouples 
“dobt le Gand Test oomposté, clac 
d'eux Ponge van ni calvtr Riilo 
rique de efonpement, ter trésors de 
civilisation et -de nensée, pourvt 
que Host une, at pee ut 
l'union de ous pote in ennue Cou: | 
tune, 
Que nous 


liutit pour faire acte 
des veut piriotianet Faut en pri 
nier tit Gros LE MATTE AO , piste) 
conquis à lai: ruine, it fr défuite. nl 
faut tre opganisés, que unHé ou! 
dehors d'un totalpe vit que pat | 
elle-même, QU soidat sur Le cbambp: 
dé balle sans comminnjeatten 5 
avec Payne, as inutile: qL fymé. 
mie vont à a ntort, | 
Ü 
4 


Il nous faut dons un guide qui 
nous delaire, qu) Dons tuides eute, 
el, ous sinus nous inauffle {un 
sie, cet él de chaque tistint fort : 
et sûr d'arsiver qui os dont | 
l'eshor cotnine tn fauve qui #e 

LH ET ORETU lui “ne, Hour bond 
plus Join, 

Nous l'avons ce ptdr el son. Hoi 
ré dike co ne" nons" de VOIS êlre, 

est le Pairiole de l'Ouest, c'est pu 
Jui, Que NON HOUVONS dire des Ce 
nadiens ve que Déroutède dis ait 
des lrançhis: u 

SRI lcur sine chañtnil 
chirous d' girain, est le, clairon 
qui soulionl de neurhe des comliat 
tants, réconforte En futigue, bot Ha 


k 

{. 

de 

charge, s'illu faut, sans: tin TE = 


a les 


ner 4 peotraile- des vaincus que 
nous Nu SONNES Das OÙ Que Nos ne 
voulons pus tre: 

EL sernil tron long de rapholer 
tout ce qui a été it de Ja puisse 
Catholique “are 
{défensive ef offensive, ‘ovale, sin- 
jcère dont Er nécessité, s'écrinit Pie 
À, prime Ja fondation dl énlise, dé 
ecoles et de bonnes gcuvres Le Hi, 
Père ‘Auclair cerivail Quus un ar 
üele soie. qu'il Faudrait eiter en 
Pairæpénétrer dans Je per 
ple Pidée que Le jouronl catholique 
posséde un droit, cntorce insuifi 
sanupent reconnu, À, /l'apoui et au | 
concours Goffertif du piche ef du 
pauvre, dd prétre el qu laïque, des 
associations ol des HPonpes, on 1 
mot de tous les honnèôles gets pour 
lesquets il livre bataille, suit touts 
les risques: ct use ses forces, ‘c'est 
poses toui le problème de! far presse 

“atholique. ed 

Le Balriole est le ficteyr le “plus 
ipportant de. nos: snbilions Aéni- 
tünes ‘et notre province, dus. relé. 
veñent ete Péducation déhos fa 


ce de: la Presse 


cntiosi ‘ 


Fest par luispène le cri de 


volontés, Pavocut de -noire, s sainte 
cause, ioiotiré Diet x nous faire 
devoirs, tout en! 


U-cét pla fort que Purgent,, 
ri jours ilpér étre ui 
des âniés bic 


uées, li où l'argent neneut: réussir 


Done aidons Je “Patriote”, 


; , 


Id ë praliques 


: Autre question: Où est “ioire. are 
‘dente lerveut. daptan?- Méfions- 


f 


constatant - que. les ‘idées “émises! 


# 


jeu Len 


ans coup évir au seul brtit d'au- 
tres wompettes de Jérieho 


“Des mots, des piuises, uteè ha- 
vanguus, des manifestations, du 
bruit... et tout Tinit lt Est-ce bien 
vrai? Sans doute La maoltitude 1 
besoin de tombes & autre des émo: 


lions, de certains spectacles, les 
veux sont flattés par je déploie- 
sment des otifianmes et des dre 


jpenuxs Mais s'il nv a rien de plus, 
où tout cota AUOT QUES Los an: 
nées s'en vont et és congrés se sure 
cédents il ne at pas que ces pa- 
bros, us déemonstéations, ne 
isoient qu'un jen, Les Gomalns de 
a déendence, nu déclin de leur 
soleil, réctumas ui du ‘fit ot dés 
ioux, La enuse serait désespérée 
si nous nn étions dél 1à, Nats 
Evolons du pain, c'est vrAi, mais ne 
vant tout, avant les jeux, avant les 
déelamalions he illintes qui ñe sont 
parfois que plaisir à fleur Ale peut, 


uous voutens le pain de If vie do 
l'une, pain intellectuel el morol, 
le vrai pain de vis le pain ‘le la 


pensée ennadieunedrainentsc, Te 
sous lonique, fr svule forve, NE seu 
le énergie qui nous éonsole de toits 
les éconuremente quottttns aTin de 
nous donner Pôtin RU irnvir da 
côte cf omoiter jusqu'au bout.’ 


SOUVETONSNONS LU ln. frivolité 
ne inpre ñ Finn, que. lu, PARU CE 
des: forts est ins Puninnse que le 
value paigoné, slots le but” 4 At 
tendre, Gt oHposé TN Molences 
qui 56 60 sine clle-indig ANTON 


Ë N 
Cortes dite bien “aitllous 
née pourtaut, heleës per légis ur 
tions, les hottes UE : l'actb 
Mi nant MIT iron 


; 


n° approlaniti nent” ral A ONBUITE 
se Tes faits es put nr uts 
Hefilenront que tend Al UE «un à 
v hatssor erpréiatenttffes Aie 


Les béuluscrseineont, de ré sueléié, 
les Dessins de lv meute, fe renars 
VA Hé resssiqe hr ie ete (DOUTE 
placent Les méthodes stRnnÉes qui 
ne saupliquent plus 4 li détresse 
aelne}s is organtsntionrs 
pins alles, plus Tééonttes à pour 
faire fac cux forcos contraires qui 
lruVailent dans Pobpre otau mul 
qui s'atfiche éronténant on hein 
Jo sont frs événements rx EUR 
où he fit pus assé alfentfon "fi 
Buena duos tUetroite: coté 
don, ne prounit fils qu. rlésort 
Ke séehé, un vide 2005: fond 4ins 
los âmes où detraient DUC péter Jus 
prosces Lalittutios 41 L'essott suhfi- 
We, epéaten d' ‘efforts. 


Lu réfhe on aul veut, api ut 
PFuuion de Lors, viviti 2 pur Le in. 
ie Lontlfe AL tit “1 ns: son£ 
pue fopee es cuite fonte este eafnif, 
cle dédatone les opis qui” déehit- 
nent des passions, Mo no téis rien 
ide plus fenmne que pe qui et doutes, 
pin de ph babe ane ee EU sl 
visent”, disail Mer QUE anloup. 


um ns 


os L'anotre lique. 

Uue autre résolution a) sonnétire, 
Lorait avoir des apôtres liqies 
Lu crioneb requiert dos vulgarisa- 
leurs.cdes honunes de bon voutoir, 
intelligents ol dévoués qui la met- 
tent à da portée du peñtple; les idées 
philosophiques, Jes ductrincs éle- 
Vées dépassant, dans Ja sphère of 
cles pinnont, ox tunes absorhées 
par de rôté pratique, si matériel 
souvent de Ju vie ordinaire, dernine- 
dent des disciples, Ceux-là, iront 
les mains togdnes vers leurs fre. 
res, ave qui is. viveñit dans. la 
mème contact et en conimynion de 
peliséess leur Front -portérs J'un- 
réole de It clarté divine, intense 
QUI PUSOHRE OC COX, HS qui dé. 
Vis iunminer l'exitlonce de COX 
qui les entourent el posséde ni «1 
leurs dines Les nées aspirations 
sans pouvoir Îles expliquer ni les 
appliquer, ef dns bete vois ghauy- 
de, convaineutr, rotoritira. tonne 
un écho de [f arunde Voix” de Dieu, 


fs iront, partout, eux les notes 
sles ouvriers, abpelés, comme les 
apoires per: Je Maire,” Sous ki'di- 
roelion ct fes conseils opDortuns de 
vos: chefs. ecctésiastiaucs toujours 


visilants, lonioure fidèles aux de. 
voirs de  nolre! Cpoque, toujours 
grands dans, leurs dictions ‘dé 


chairer el d’ enscigner, is iront: ot 
le prêtre; faute. Le teurps et -de 
Moyens, er "pouti parvenir. is 
du, peuple, äfs. front au peuple ct 
serferont ‘écouter. 


Lé prétre, lui, és sans cosse prêt 
la hutte, à +ous les évünements 
Su la brèche quand: :Mèmé; son 
ële. siva Sans hésiter aux -dérnicrs 
CTifiecs, lüsqu'A -l'héroismé de Ia 
charité; : mais sup “appel guauel 
|fhabittent si facilement. les aidi. 
Leurs passifs, sumnolents “ou fati- 
must se botera à: Vindifférence, à 
l'épathie de “atholiques… eñlists 
dans leurs _occ upations, ridtérielles. : 
ét portés à croirèque Ja darole sa. 

ec EM aleon 'est4qu un: sétiei be 


‘(Suite à . 


ge: 


“la. page. ‘2, 


à ae 


"8. 


NUL — n 


(Suite de Ia 1ère page) 
Si dans chaque paroisse on avait 
un: homme de ectte trempe qui en 
._ tartageant là condition de ses sem- 
* bltbles. se mèleruit à leurs travaux, 
àleurs conversations, passerait, se- 
EU ‘occasion, les longues soirées 
d'hiver. à prendre pius ainple con- 
tact avec eux, à diseuter les objet. 
‘ tions, à éclairer les points obscurs 
et dissiper les malentériuus, il's'hne 
pôsérait par La droiture de spn en- 
ractére et la puissanee de ses con 
vidtions. "Dans POucest, Phiver est 
le temps. des fuslins, des “frieots" 
où doit régner. selon le-Lerime cote 
sacré, Ja plus franehe sgauioir. En 
. quelques paruisses où Pesprit nest 
- pas-des meilleurs, ef malheureuse. 
ménf Je cas ten préseñte, chaque 
hiver, come Fexpérience Le prou- 
.vé eë8t lé temps du “huile ct des 
guerres intestiness des  ripaliles, 
quelquefois hien nrrosées, ne sont 
plus des agapes frlernelies: on v 
‘ dévore Je frorlain, l'église et le 
prêtre vsont vilipendéss Ale eue 
re suriout'est la cible, Je po‘fit de 
mire. de. {ous ‘les projectiles âne 
“és par de pauvres iunorants qui. i 
à défaut de ‘iugenent,  ponséedrnt 
da brutalité, faut trouver 14 Pise, 
plication de de déchéunee de err- 
tains centres catholiques où la vis 
paroissiale, Join de progresser, re 
arde du contenive sur Fes salres 
localités si visoureuses ci si avan 
cées, En.ces circonstances, Papû- 
tré laïgue-a su place de choix, mar- 
quéé d'avance, la place de conibat 

e paix et.de conciliation. 


peine ranimert un feu presque 
teint sous des cendres 
soirée pour des 


ser une 


chir 
lontés ct balayer Les 
d'un iviste passé disparu, 


prédiables, mais c'est l'obole du 
pauvre, 
ï# Faction, 


tavaiheurs prets 


du pour Canadien-françents, 
Un PrunroCanidier, 


_ L'Evangile 


EN, Ve VIR Hi Se LS VI, 
2946, LL 
D “Vous avez appris qu'ils ct dits 
ɓOeil pour oeil et dent pour dent, 
 Étomoi je vous dis: Ne résistez 
pas au wiéchant, Si quelqu'un vous 
frappe sur lt joue ,lruite, presen- 
tez-lui encore la gtuche, Si quel. 
qu'un prétend vous citér en justice 


nt A 


pour vous vnlever votre fnique, 
abandonnez-lni encore voire man 
Si quelqu'in veut vous con- 
Miraindre à faire avec lui mille pas, 

J'aborde lu derniére question Faites-en deux autres mile (ii 

Si nous lüttons pour li même cause, "Donnez à quironque veus du. 
si fous nos efforts doivent être [mande, ct ne vous détournez. pas 
.nis- en Commun, chacun doit tra- 
vailler pour tons,  Muis nos idèrs 
manquent de voix pour les expri- 
iméré il faudrait done ulilisér tous 
les talents à eut effets it n'est pis 
nécessaire . d'exiver  l'éloquenre, 
- môt. émployé si libéralement : i 

dus suffit d'ivoir des cntraineurs 

hommes, ‘haut de difficultés it 
lourdisseit et relardent notre mar- 
ché en avant. tant d'obstacles bri- 
seht nos élins. que le peuple hotre 
frère avee sa farilité de dovination 
a tnison de saluer de son enthcir- 
siasté recorniisennes, Ces MICRO E 
de foules: ces soldats qui s'offre. 
paient, on seraient choisis, volos- inant, quel est votré mérite, el quel. 
tairemeout acharnes à lutter rontreite pout être voire 
li pesanteur des faits contraires \Fstee que les Poblieains cl les pé- 


arr 
Le missionnaire de la parole 1Gaur. 


Ge qu'on vous tavit ne 


inez point, (2, 


hassent, bénissez coux qui VOUS nv 
éablent de malédictions, cl privz 
pour ceuk qui.vous persteutent et 
vois calomaient, 


notré but. nous pousseraiont mai lehours n'aiment pas aussi ceux qui 


gré nos glissements et nes ehuleï {fes niment? | 
vers la ‘lmière des sommets. “ft si vous ne faites du bien qu'i 
Nul n'est prophète en son pays.|ceux qui vous ‘en font, que vous 
mais colui qui par Ia force des} doikon pour cela? stec que les 
dhoses ne peut donner In preuve dej pécliours n'en fonl pas autant 
sés eapaeñés en son inilieu habiiu A" Et si vous ne stluez que vos Frè- 
qui naturellement aime un peu le ires, que faites-vous de plus que lus 
tiouveni, ira parmi ceux qui olten- autres? Est-ce que les païens ne le 
dent sa visite semer un peu de hr-ffont pas? , ‘ 
Mmière de gaicté el d'énergie, An ét si vous ue prélez qu'à ceux 
séul son de sa parole magique, leside qui vous espérez reccvoir, quel 
cotseiences endorthies surgiront, mérite avez-vous? Les pécheurs 
à h 


D PR ee meme 


‘Confiance est b 


nanc | ien placée. quand 
. -êlles l'ont mise dans les 


ni 


. Poût les Fern 


à . 
: û + 


mes P£ 


s Pôles ét Faibles 


|poutle bénéfice d’autres fem- 
| nes”, Mine Hilaire Marquis, 
562, tue Champlain, Berlin, 
INC | 


. 


SA 
pe, FN 


_ se 
A 


7 Idaus le traitement de 1ncs 
“ai 


ljeunes filles quitoutes Irois 
étaient anémiques, pales ct 
amaipries, Ce remède est le 
meilleur pour refaire les for- 
ces et donner du saug. Je 
ren suis convaineue de nou- 
veau chaque fois que je l'ai 
employé”. Mmce-Aïimé Le- 
cuyer, 45, Olmstead, Cohæs, 
NY. : Lo 
“Te me trouvais excessive- 
meut affaiblie bien nerveuse, 
pâle et incapable de m’occu- 
per de l'entretien lé ma mai- 
son comme autrefois. Quel- 
ques boîtes de Pilules Rou- 
ges que j'ai prises ont suffi 
pour 1ü@ fonifier comme il 
convenait: Ma santé s’est 
hméliorée de, plus en plus 
dépuis”. Mme Médard Per 


ne 


*.: Mme’ LEOPOLD HEBERT, 
…28,rue Lalng, Grand’Mère, P. Q. 

,£ Je me sentais sans force, 

toujours lasse ét j'étais inca- 

pable du fioindre effort. ‘Je 

mmnaffaissais tous lesjdurs nn 

“peu plus, més neifs étaient 

- très sensibles et je dormais 

peu: Utiträitement de douze 

boîtès de Pilules Rouges t'a 

tout-à.faitchangée. J'aire- 

- eouvré V'appétit le sommeil; 

j'âi.fefait mes forces et mon 

- ‘péidss'est auginentédevin at 

livrés, J'ai eu ‘la plus grande Sr \ ea 

— éfacton de leur Emploi”. CRAT UITES. Les améder 
Mine Léopold Hébers, 29 [eus de Ja Compagnie Chr 
DE A0 SEA ERS ED Es nique. Francé-- Agrérictine 

rue Laing:Grand'Mère PQ, QUE Re 

TUE LME, GTA ME Eee donnent dés consultations 
. r,ffétais faible, nerveuse, | gratuites à toutes lesfenmes 

‘ «Sans appétit et, pendant plu- 

…  $iénrs mois, il me fut impüs- 

.… ‘élite .d’avôir un sommeil ré- 

- oonfortipt." Je me levais Îe 


Se. 
ron, 227, avenue Laviolctte, 
Frois-Rivières, PQ. 

. CONSULTATIONS. 


leur écrivent. 


. Les Piltles Rouges pour les Femmes 
Pâles et Faibles sont en vente chez toûs 
les marchands de remièdes-et sont satis 
contredit le remède le meilleur inarché, 
IN'acceptez jamais de éuksstitution ; voyez 
à ce qu'on vous donne les véritables Pi. 
lules Rouges dé la Compagnie Chinique 
Franço-Américäine, Sivous ne pouvez 
vous les proctirer dans votre loëalité.. 
écrivez:noué, nous vouslésenvérrons eur : 
réception di prix, +0 sous I boîte. ‘ 


“< ‘ 


OSPAGMIE Ci 


smipss IL méfait| " CONPAGUE 
dire aujourd'hui |fimitte, 424, run StDei 


ET .. cour 


4 


Eee 
sème | 
_ mPefftayait. ] El 
Pilules Rougesquiiavaiert 
"ÊtE rec 


Des, Bentréel : 


ns mme 20 mme ce cmmphereenee dofniees cérmemnddraner se Era manne 


{pour Paction, Là où un pauvre cu-aussi prétent, fin qu’ 
ré, et notis en connaissons, peut 4 
_iceuntilées 
depuis longlemps, fi méme organt 
, bounes 
oeuvres, 1 aceuetllora avec joit, ce- 
hi qui apportera un peu de grand 
“ue venant du large, pour raffrai- 
les’ coeurs, raffermir les vo- 
poussiëres 


Si j'tais à Ja convention de Ré- 
gina, telles sont en partie, Les idées 
que je sotmetlrais, à défaut dut 
tres offéanedes sans doute plus ap- 


ffumble artisan duns l'armée, des 
jap 
porte ra pierre à l'édifice qui sé 
Lve peu à peu dons notre DUers &; 
la gloire de Dieu el à Et grandeur i 


de celui qui veut vous operator: 
e réclae 


“SE vous aimez cenx qui VOUS >; 


réenmpeonse? i 


| 


qui. viennent les voir'oi qui 


MUQUE PANCOAÉRICANE 


mn leùr prète 
également, oct 1, 

“Ainsi done, aimez, VOS CnHGmis, 
failes du bien et prêtez sans oi rién 
espérer, ot votre récompense sera 


aut fait lever son soleil et doscen: 
dre la pluie sur les bons et sur fes 
méchants, sur les justes el’ sur les 
injustos.: ‘ ee 

“Soyez donc misérreoriliouft 
comme, votre Père est miscricor. 
dieux! ° : ". : 

“Savez donc parfails conune vo-i 
tre Père Céleste est parFait Pt | 
NOTES. 

(t) “MotreSeigneur ne condamne 
ing paint la jéoftfine défense, prais 
it déelure qu'il sera plis prrfalt 
ide n'y point recourir Jorsqu'il ne 
Caugif que de’sai: suriout si Fon a 
lon d'espérer que noire cxtrane 
cmodagion dés mers Bi fureur de 
celui qui nous Lnlie et le raetirs 
ue be ehomin de Li conversion? 
{Saint Jean Chrvésostene, 

€ Lu prudence et Be discrétion 
sout des vertus chrétiennes qui dot. 
vent nécessairement être consylices 
dans a pratique de res différents 
econsvils, ‘ 

(33 Lorsque vous vorvez nn ho. 
me qui aime son ennemi, dites fnr- 
diment: “Voici un enfant de Mieut 
On ne pout sv méprendre." (, de 
Lienvy.) ‘ 


| 


| P 
{ 


ne onte mette 


Réponses aux questions 


| 
” 


apini est-il catholique? 


Qui, c'est converti, 


Est-cotque Er Messe n'est pas tou-]| 


jicurs dite un Futin? | 

Elle est dite en fatin ans los ri- 
tes romain, milanais rf miuzarabhi- 
aue (execpté dans quelques virties: 
ie Hi Dalmatie); elle est dite ci 
free daus une grande partie durite 
byzantinsen syrviague dans es ri 
tes svriaque, imaronite, chatdéet ti 
ratiabar:--en coble das fe rite con 
ltoson arménien dans be rite avmé-i 
piens—on arabe par Jrs Voirhitre: | 
eût slive na let Slaves du re Lx 
2uubns-on georgion ot eu roue, 


Est-il permis à quelqu'un qui crefé 
tout-eu que l'Eglise enseigns, mas 
aui n'a pas encore été haptiss, de 
s'agenouiller devant le Saint Haere- 
ment et de prendre da l'eau bénire 
ut de Laire Le signe de La croix et 
sortant de l'église? 


| 


on à 

Oui, eela est permis, el ves actes f 
extérieurs de dévotion et de pitié 
qui montreut la conviction intérietie 
ire seront récompensés généreuse 
| ment par Dieu à qui ils sont offerts.” 
À 


LE 


Loi 


« | + 5 % 
Le. succès ugricole d'un ur:i- 
versitaire de France : 

A Nicolas Taitinger, de Clare- 
éholme, Alta, s'est lait une répulu- 

tion très enviable dans Îe monde 
pes travailleurs de + terre. Chaët- 
lue des expositions internationales 
sde grains acoroit Ja Histe dés Dix 
et des médailles qu'il a déjà rene 
portés pour le Blé ot Forge postés 
sur su forte N | 

M dager quita Ja räneé à 
LT uns en 888, el alla S'engas 
une gercon de ferme chHes ut 
cuhivateur de FOrteon. <Quiir 
“Université de Verdun, à 4 ve fe 
étre vecu barhelier ds-seieners, 
pour s'adonner à culture dans tn 
pers Élranger, SANS SUVOLr UE NO 
d'uncdais. ceci demande uie-cofint- 
ï 
€ 


| 
+ 
i 
ie 
nm 
L 
{ 

} 


| 
ine dosu le couruges d'antautt DS 
ique M. Taitinger étant manchot, 
savait qu'un seul bras il sn SCr- 
Eviee. . oo. 

H s'en servit si biën, et sut faire 
profiter fes 42,50 de son arrive 
à tel point, qu'en 1904 il. pouvait 
s'acheter une scetion de terre du'is 
le.sud de FAlberta, Y en. possède 
maintenant deuk. ce qui ne la pas 
empéché de donner. une bonne 
instruction à ses six enfants. 

Le secret de son succès dans Îa 
culture du blé êt de l'orge tiént tout 
entier, à son avis, dans Je fait qu'il 
achète toujours le meilleur grain 
de-semence: imais de plus, ajoutet- 
4, “il vous faut du bon terrain, et 
un bon clühat, et vous devez bin 
préparer le sal.” | 
- “J'ai quitté la France, parce qe 
je savais que. jé ne ferais pains 
d'argent t-tenir les livres ou à en- 
seigner Pécole où dans aucuns &9s 
arrières auxquelles les études du 
Collège me préparaient, Je vou- 
lais me placer 'sûr une, ferme où je 
pourrais faire de l'argent et le met- 
tre de côté. | 


mm 


. — se 
La colonisation à la Rivière 
... dela Paix 


LT - à 

, Le ‘discours du trone annonce 
‘que le parlement sert appelé à vo- 
[tev.les fonds nécessaires pour cn- 
loïiser et dévelanper la” vaste ré- 
gion encore inculte de la Rivière 
de la Paix. . | 

Près d’'Edmo 
lent. 850. l'acre 


Les-terrés de Ta 
“LRivière de la. Paix qut une gaie 
“valenr, affieme-t-ôn. , EHes “cou- 
‘[vrent une étendue de 26.000.000 
d'acres;  2,000,006 apparticnnent 
déjà à des propriétairest il en res- 
te donc 18.000.900 disponibles pour 
des fins de colonisation, "| . 

' Ce vaste domaine dont on'porte 
la valeur 4 S900,000,008. ne pour- 
ra êtré exploité ‘que: s'il est relié 
da côté du Pacifique par des voies 


< ferrées où mis on Communication 


avée los grands éhemins de fer dé- 


ft existants, ©, 77 D 
Le “Sant. de ‘Vanconyer.. dit 
qu'aucun pars àu moudé best en 
mesure d'offrir aux. immigrants et 

aux "colons une pareille :añbaine.. 
RH suffirait pour :neunlér:, cétte 
vaste région. de a. Rivière de ‘la 
. Paix d'y ouvrir'dées voies .de:com- 


U 
, nent de 

3e 
+ : 
1. Ne 
e 3 


wrande, et vous serez, des [ils “lu CCS, Los Les 4p 13 POPTES ! T- ou : 
résout @) qui ED mec | allier 4ix vierges, ononnénent canadien, conire 45 pour cent qui 

«Jos ingrats ot Jes méchants, Là Cé.qui est prescrit Ans es AB NT 
jour os ingl Jes hi 4e Pautét, niére sus relie 


uies “jour T'encensement de 


aux inafites, rt les nenf 


me meme 


mere) mm me ce 


RE] 
enr de cop 


Est-il-permis. pour un prêtre de 
chanter une grand'messe de sentai- 
ne avge. juutre cicrges señtement? | 
“AUS messeé 


“solennelleg dés gran- 
des” fêtes ct des dimanches iE faut 


Ce qui vend à pl 
grande. diversion iocomprébensible 
est le fail que de Winnipeg à Li- 
verpool, par la route juvérieaine. 1 
va 4,780 millés, Roidis que de Wine 
nipeg à Liverpool, par la route de 
Oléhee, il sou 2883 milles, et Lot 
iilles dde pis environ part Br route 
de Montréal La différence en fn 
vour de fa voute eunadienne varie 
dene entre 800 et 650 :milles, Le 
“Ut . prêtre ne maingie-t-il pis as blé cunilion prend doné. Ki route 
a vubrique. du hréviaire en récitant| EC plus tongue: pour - rejoindre Je 
neuf praures consécutivement ; CoOUsonINalen, 
lecons en-l. H prend/echose tr 
prétente que dans; route: fa pis dispondiedse, En 
y a trop “de. ven-i fo on ecoûtail FT84 soux ‘ji 


AUS messes chantées des fêtes dou- 
bles mineures ot Semi-doubles, pen- 
ilil.les octaves, Aux, Quaire- l'emps, 
sutx. Vigiles et aux férics de l'Avent 
et. du Curôème, quatre .cierges SufT- 
sent” Aux messes chmftées .des.fé- 
Les Simplés-et aux féries pendint 
laide, deux cierges, peuvent Suf- 
fire, | 


“+ 


ait Canadit © : 


1 
Jes 


suite? sous le 
son brévitire il 


vois ee qui de Fait eherehôr et; boisseñu pour Hansporter Je Dé 
lenillbter et Jui  eceasionne  untiiusqu'à New-i ork, par Voie de | 
y 


Îfalo el des chentins, de fors 16,65 
par hojssesu jusqu'à Montréal par 
la baie Goorgienne, ol 1545 . 
voie Mnvide instu'à Montréal 
corc.: Les:quantités énormes de blé 
eanadion exsporiées par MNow-York 
pavaient done f fatcsou cet 2 1-2 
Sous par héisseut  de‘plus que si 
elles avaiont suivi kr roule 44 plus 
“ourte, 


perle"de temps? 


L'on née peut ceuser he Foute véet 
nielle de prêtre qui récilerail ain-l 
si son brévinire, Si ee prôitre n'a 
pas de. bréviaite ronvenable, ‘qu'i 
s'én proeute un au plus tôt, De 
plus, le tenips qu'it perdra eh cher- 
chant où en lenilletant ne peut é- 
tre ‘considérable, el il va mille à , 
parier contre un quete prétre doit! Diverses enuses expliquent «clte 
verdre- bien d'antre temps dans léfanomalie, Rendu # nos poris de 
courant de la journée. -, mer, le blé canadien paie environ 
Fr - rt {rois sous de: plus pour atteindre 
‘De quelle couleur un prêtre doit- d'Europe que lorsqu'il était rendu 
, . Pre aux ports smcricains, En un not, 
il se servir pendant les dimanches lès compaentes de navigilian trains 
de l'Avent s'il n'a pas de viniet?—| 205 COIMPEBRINS CC ER EAN n trans: 
Re D * atlantiques chargent {rois sous de 
tplus par baisser pour Lransporter 
Île blé le Montréal à Liverpool que 
dr Sew-Vouk à Liverpookt  Cotie 
discrimination est en grande parlie 
idue aux congrignies d'usdirance 
inertie dont les (ET que 4 route 
. ‘ du SaintLainment ont de 4% pot 

y Après id “Muuda cor meum” qui: coul AT le 4 La 
précède l'Evangile, le urètte doit-{ dé Newark. Poriland paie même 
il haiser l'autel avant Ja leefure Gui {5 pour cent de plus que New- 
le chant de Fhvangile et NT I Vork, | . L 
ch En scene io, JE va gucatucs 
Non, canons" les élévateurs gitués à la 

: fôtr des Grands Locs pouvaient ete 


4 


ni 


Qu'il se praeure un .ornement 
violet fu plus vite ct en atténdifit, 
aril s'adresse à son tvéque qui. 
ent vas de nécessité meut dispenser 
de fueouleur des ornements. 


til permis à un prâtre d'assis-| {heposer 
ster aux funérailles Sun proies ot los élévatenrs canadiens bâtis à 
land èt aux résémunies qui se font os ports de mer, mains que #0 mil. 
dans l'église grotéstante avant l’en-|figne, La.sithation s'est un peu min 
tevrement, et eeta par simple eurio- {| ifiée aujourd'hut, naiss vas” sub- 
SET É  tahlicHlement encore, D'où l'on 

Non, : {voit que le egnduil par  eauet 


unge à ajoutef, | 


| 


200,000,000 de. Duissouux;! 


‘ 


| 


Montréal Duncan Mafshall, au- 
cien aninistre de Fagrieuiture dans 
le gouvernement le FAlicria, prar- 
lant à Montréal, dit que Le projet 
gouvornemedtal d'acorder des oe- 
rois à certains vaisseuux de Al 
leumpuasnie Peférson poin combhat- 
tre La combine Nértli. Atlantic 
{Shipping dininuera dé #5, 4 88, 
par tête le ‘pris ‘du transport dei 
rhestinus, et ec sera Je jus brand 
pas fait depuis longienps-pour 6n- 

L'étuvage au pays 
eme Le, : 


4 
4 


: courager 


L2n 


L'Assurance. contre la grêle a 
‘ün surplus de près d’un de. 


à, dres "pendint. Le dern 


| 
| 


| 


{in prêtre on Curé doil-il refuser | 
Pabsolution à un paroisrien s'il ne 
paye pis sa dime, étant ,eapable de 
lo ‘faire? ot 


Bien, des..circonstances sont à] 
considérer avait de refuser Pabso- 
lation À un pénitvnli Le mieux, 
duns.un cas partieulier est de réfé- 
vers Li chose à l'évéaue el de .Sui- | 
Vre Sa direction. j 


| 


le di monopole américain de na! clamations 


i gation 


ivires doivent ntiendre Leur four 


6 ‘. v: 
passe notre blé se rébrécit tout d'est 7 million 
cours à partir does Grands Lacs, i OT ge ° oo 
qu'il vu congestion, ct qu'alors le Saskatoon, -  fAssorialion nue 
blé doit prendre La roule amévi-| midipte contre x grêle montre, 
eaine, Celle différence énorme en- dans soi rapport un surplus nel 
re les facilités d'enireposnse à al de 8480,582.65 das Pexereico fi 
tète-des Grands Laës el à ne ports {naneier de 1924 Cette sommé 4e 
de ner explique eh partie Fempriljontée au fond de réserve des re 
| porte ro réserve de 
vipalion sur les Grands /Laes quil lAssocialion à SE600,000. ; 
charge des Eux de faveur pour Les Les portes Pan dérnier. ont été 
norts américains el des daux exagé- au-dessous de 1 movenne, soit 
rès pour les pérts ennadions, Elle ls51@107.47, correspondunt à 4,443 
explique aussi que de Montréal à {réélamations, Vu le bôün état des 
Liverpool les compagnies de navi-lfisanees, Le taux de Pusstiranee Va 
doivent ‘charger des Laux ètre diminué. [ os 
plus élevés quelduclois, eur les na Pour répontire anx voeux forte 
allés l'an dernier, une échelle de faux 


nton, les terres va-|: 


Montréal, of ainsi 'eñcourir 
penses nuls, | . 
 Eufhr iv areel autre fui sh 
gnaler quete poft de Montréal ct 
+ colui de Ouéhér sont fermés Phi 
muñiesions l'acites ei à bon mar! vér et qu'ainsi ils perdent Dear 
ché ut d'v attirer les flots d'immi.jeoun de clifitèle après lt fermetue 
jaralion par utic publicité retentis-ire de fa navigation, ‘ 
safe. ; LE PROJET SCOTT 
| Dour reconquérir tout ce trafic 
que nous perdons, M, Scott pré- 
seute au gonvernement une poli- 
que bien définie. . Tout d'abord, la 
construction, entrepôts à des en- 
droits stratégiques s'impose, Le blé 
suit los Hignes délévateurs les 
mieux oûtillés et lescplus: vastes 
AL Hall a dé | En second lieu, if faudrait se ser. 
lelarc.atu premier œiuistre que les vi du ‘Transcontinental, pour 
lénuénieurs du Paeilfiqié Canadien | ransporter le blé de l'Ouest jusqu'à 
el du Canadien Nélional accomplis. { Québec et à Saint-Jean, En 1916,-le 
étend un travail acuif dans l'affaire tarif de ce chemin de fer élait de 
de li construction du chemin de,Six sous par boisseuu jusqu'a Qué- 
ter la Rivière ln Paix, et qu'a- [bec et M, licid, ministre des che- 
dant longtemps. le rapport des in. {mins de for, déclarait alors que la 
sénieurs” des" deux compagnies | Compagnie réalisait un profit, Ce 
pourrait être soumis à leurs prés; V'OÎiL s'évaporait cependant: lors- 
ients respuelifs, " [qu'il fallait ramener le blé jusqu'à 
. - Montréal et-passer sir les vois! fer- 
rées d'autres compagnies. M. Scolt 
propose donc au gouvernement d'é- 
tablir sur le ‘Transcontinental qui 
_. . or est l'une, des voies les mieux cons- 
Hawa. — D'après \lorlow A itruiles dit pays des taux de trans- 
rs Dep M Nations tort de la Pose Qu. NIQ. du Cor 
pour le Pacifique Canadien, il nous beau. qui sont en vineur jusqu’à la 
pour le public. Cest un inimense 
ilravail, Notre .-députalion, dans 
j quelques semäinés, le citcra en n- 
bondance lorsque -le gouvernement 1 
présentera une Joi nouvelle desti- que, dans tous les.cas, il fabdrait 
née à amender.et. à modifier l’an-:l’essayer en conseillant aux che- 
ciehne législation des grains, Mais |mins.de. fer canadiens d'avoir des 
il est une pañïtie de ce.rapport, cel-| HAVITES disponibles ‘à St-Jean, en 
ke que Pon doit. à M. Je G. Scott, de hiver, aux mêmes taux qu'a New- 
Québec; l'un .des commissaires, qui | York, 
est d’un intérêt. hational et que l'on | us de l'entente de la Passe du Nid 
doit réellement semer à tous les {du Corbeau, sur le blé, les grains, 
vents, EE ila-farine, $e terminent à Fort Wil 
D us iliam, ne servént qu'à apporter du 
COMMENT RECONQUERIR LE  |trafic à la route américaine, et ne 
TR ANSPORT''DE NOTRE BLE Ra continuent pas jusqu’à nos. ports 
Co te | crade mer ouate M 
ME Scott a”étudié, en effet, les | AL. Scott parle en dernier licu des 
moôyens que ‘notre nays pourrait 
employer pour : reconquérir le 
transport de notre blé, larracher à | 
nos voisins les Américains, ét pour : 
faciliter l’accës “des ports de mer 
canadiens aux:.produits de lOuest. 
L'enjeu de la: bataille à livrer est ! so 
une somme, de: 145 million environ , sorbent le prix'presque 
dont se’ gonfle éhaque añnce le 
gousset de lOntle Sam aux dépens 
de nés compagnies, dé navigation 
et de. chemins de. fer, de'nos ports 
et de nos villes :. : Tr 
Cest un fait trop:poti connu, Le | 
blé des .pralries. s’en va en Europe 
par. l# routé. américaine, De ‘Fort 
William'et:Port Arthur, il oblique 
vers ‘le sud, :dépasse A. frontière; 
gaëne l’Atlantique”ct ensuite, FEu- 
rope. . En, 1921-22, les 1 


UE ES 


| 

{ 

i 
| dus .dé- 
sf 
il 


d : ; 


avant In ‘colonisation ! 

ns — Î 

On s'occupe duchemin de fer| 
‘ de la Rivière la Paix 


i 4 c'en preenenns 

Edmonton, Alta, — Grant Hall, | 
 Sice-prés. du: Pacifique Canadien, | 
ju eu une entrevue avec le prettior 
iministre Grecnfiell. 


LT 
Le poisson canadien à l’étran- 
. È ger ‘ 


qq 


serait aisé d’expéditr en Europe tête «les Grands Lacs. Au feu de 
le poisson frais de‘ nos pécheries, |" SOUS. GAINMTIOnES, A Québec, 


comme: aujourdhui, les taux ne-se- 
raient plus que de 40 sous. soit la 
moitié environ, et le CN,R, réali- 
serait encore des profits puisqu'il 
en véulisatit en 1916 avec un tarif 
de'6 sôus, par boïiseau. I pourrait 
imposer un tarif.de:11 à 12 sous 
d'Armstrong à StJean,:et ainsi le 
fermicr.de l'Ouest-économiserait 10 
-à 13 sous pour rendrg son blé à 
l'Atlantique. Et la nouvélle route 
établirait. sh suprématie sur les an- 
ciennes, surtout’ sur les roûtcs amé- 
ricaines que nous fréquentons si 
régulièremnt auiourd’hui:. M. Scott 
croit qu'une telle échelle de tanx 
de transport est possible. 1} ajoute 


et d'y trouver ‘üñ 
saritageux. 


| marché -fôrt a- 

: _ æ 

Comment s’y ' prendre pour 
expédier notre blé par ter. 
ritoire canadien 


; a 1 6fe e 


Le rapport de la Comihission 
Turgeon qui a étudié dans tous ses 
détails le commerce canadien des 
grains, est maintenant disponible 


| 


4 


#& 


et'àa 1,175 milles de 


4 


n'est qu't 450'millés ‘de 1 
de la -Paix.° " L 
Pour diminuer. 


consgille aussi" d 
dé-Nid 


rois; quarts: aux ports du : 


RSR st 


Pacifique, 


, » 
Es 


+ sr 


PU 


La pensée: lindigiie ‘que des l' 


taux de transpôrt vers la Colombic- 
| Anglaise, cl spécialement ‘de -la-ré- 
gion de‘la rivière dé‘la Paix. Cette 
région se.trouve à 1,850 milles de 
: Fort. William, par chemin de fer, 
: Vancouver, de 
sorte que les taux dé transport ab- 

rbent | complet du 
blé. Il-cst fngile. de Her. cette ré- 
| #ion avec Priuce-Rupért, en‘ligne 
directe, car ce port dela Colombie 
a rivièré 

Un 


À le: coût: du trans- 
port: du'blé pour ‘#Albertn ct ünce 
partie "de.ls Saskatèhewan, ÀL Scott 
tu: imposer les.tinx 
Nid di Corbeau -sur les voies de 
la Colombia Anëlaise qui'se rendent, 

4" à 


nu “té dressée, plus ou moins clevés 
solon quel distiiet à été plis ol 
auoins dévasté par a grèle- depuis 
ftraus. EU a six distriets, ‘Datis 
le district 1, 50: muuicipalités ont 
Gé axées à Je dde, l'acres dans le 
distriet 9, 20 municipalités ont été 
laxéos À fle.s-dans fe district 
5 muaricipalités à 1e. dans le dis. 
toiet 4.4 municipalités à 15e.;.92 
nuniecipalités dans Iè disiriet AA à 
Ze, et 8 municipalités à 4e. dans 
le district 24,7 r 

Si on avait chargé un lats uui- 
force, il aurail-&té d'environ 10e. 
conparé à 180. en 1923. 

L'an dérnier 4 avait 118 imuni- 
cipalités dans l'Assoëiation: elle en 
compiler. 122 celle année, - 


CS 
Un juif d'Edmonton deven 
général chinois 


Edmonton. -— La  eapitale. de 
L'Alberla a rocu Li visite dun de 
ses nancivons habitants, le juif Mor- 
ris Colren. Get mnbifleux fils d’A- 


braham était sergent däns. ni ba-|- 


laillon canadien à In fin de Ja gucr. 
re. A son retour à Mdmotnton, il 
se mèls aux Chinois, apprit leur 
lingue, dévint leur consvillér, leur 
avocat, 1} pârtit.un jour poôur, la 


Cine, el un an après il était deve-f 


nu général de l'armée chinoise, 


. ne 
es NE 


Une nouvelle lubie arnéricai-|.. 


ne ser 


Washinglon. — Un mouvement 
contré le tabac qui, croit-on, attein- 
dra les proportions Ac li campagne 
contre les buvettes, sera. lancé à 
Washihgton au cour! , de-Ïa semaine 
{où -auront lieu les cérémonies de 
Vinauguration du présidéent Coolid- 
ge. Une convention élaborcra un 
progranune d'action... ue 
Des millions’ de trav 
lontaires et des millions de düllirs 
sont nécéssairés,. dit-on l 
mencer la-campagne, . . 
Le büt de la convention sera de 


tats-Unis ‘et’ d'aviser aux nteilleurs 
Phabitude de 1 


bit lu ,cigarelte ot du ta: 
bau, ‘ Don 


+ 


Le plus long tunnel‘ d’Améri- 
oo que 


tes, nee Lori ie _ 

Le-tunnel‘Moffat, dans les mon- 
tagnes du Colorado, dont It'eons- 
truction‘est déjà moitié terminée, 
sera, lorstqu’il scra complété, lé'plus 
long tunuct d'Amérique. . 
gueur sera de 6 milles. Le-vecord 
iusau'ici détenu bar le Pacifique! Ca- 
nadien avec le tunnel Connâughl 


forage “dû tunnel - Moffat donnera 


da. route’ tran$continentale. la’ 
courte aux Etats-Unis. 2." 
Le tunnel du Pacifique Canadien 


plus 


s 
« 


pratiquer ‘par 


Suite. d’attiquer le g 
plusieurs "endrbits ‘"simultadpème 


UE 


5 
DA 


ailleurs vo: | 


pour com- |" 


foriner en fédération toutes les or- 
ganisalions contre le tabac aux Fe 


moven à prendre pour ‘déraciner 


a ‘Jlon- 


va ainsi passer aux Etats-Unis. Le, 


au Denver and'Salt'Lake Railway, 


‘est considéré ‘bar'les. ekpoïts £om- 
Me.un chef d'otuvre de. construc- 
tion et: de’ventilation, ‘Les ‘Améri- 
‘Gains: noñ seulement ont.jugé bon: 
Aladopter. le système. de - forage 
"a ” le Pacfique” ‘ êt 
qui. con$sisté- conimencer: par--un: 
{unnel “pionniér” permettait: En) 
rand tunriel ei pal 
e 


Jet SERRES TRE 


LT eee er 


Nbre sul; 
1 long 
nd sous 


+ 


rogramme du €. } 


LT 


nn 
OUI, ee Lo pronr 
imbrañehéments de 1x 
AVR SCPE CUT Dot moulifié. 


L'Euetlofoid 4 rom j 
ALUEU Ne placent col. 
RaVille qui se brolongera “ pa 
VE LOUE | 

8 UN point 


de. Bengough sent 
nés dé Wilow-Bu 
Le Dacifique t 
de faire leclracé d'une li 
diboia à Fife Lake 
‘de, con£iriitre au 
basidofnotait son 


“ont 
neh. 


aves |" 


Londres, 


: ee DATE a « 
ancs Gfficieles, 28 personnes qui 


dit écrusées dans les 
‘de 1924 21 


me snériodr, à bé de 21614 
-. ft . : 


nee 156 


viversité d'Edmontan, 


tudiants, 


point comparaitre, 


aux cours, 
dont col 


Tout 
Résinn, 


Sighséb el 
vo inlonso: 
diens,- "€ 


séritit 


ro 


d'usie quinziine de millions 


une 


vie 
et. lempoisonnelnent 


bresqu'aussitôl, 


"NORTH BATTLEFORD..- RE 
Lougiuore. de Hubbard, à été dl 
urtnd vuaitre des orangistes de E 
Siskatebewatt à la convention qu 
Set tenue ici de mererrdi à va 
dredi. - Le secrétaire est M, M Mr 
rison. de Tégina, ul l'ussishit ls 
crétuire, D. Malcomson, de Printed 


Albért. 


 Soumissions pour 


Es réparation de 


cachées 
pour. 
oussection (à) 
"de 


appr 


cubes (dt 


mit ctre vu 


cs: 
165 


ask, 


nistre, des Routes 6 
d'uné -compagnit de 
accoinipagher, chaque 
avant." signa 
soumissionnaire  A4tCCD 
poser: da -some de 


té 


fournir un bon de #ar bon Se 
ae : ; en }, boit à 
tuction de 85.000.01 ennent di 


üne garantie pour | 
contrat et le paicimet 
comptes “légitimes. , 
‘Le droit de rejeter Ut, 
sion, où.toutes ICS 
d'écarter de, celle-ci 
irrégularile, ‘CS CSP. 
“Miuistre-des Routes. | LS 
“ons seront: Ouverié 
danse bureau du 5 
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4 1e Dotibre sus aceident 
de vues à Londres, péntint Le mé 


NOUVELLES EN 
+ "QUELQUES LIGNES 


EDMONTON. Un eus ass op 
riuux vient de se présenter à [A 
D. À Rice.b 
fils du Rés. FL Ge ficu, at 
se souteltre aux pratiques vilia 
les ‘de l'initiation des nonveñn à 
cl Les universitaires le ct8 
téreut au Téibunal de tenr assoetah 
Hoi, et na denx fois il ne roulé 

Mors il li fu 
défendu par des fèves d'asisterh 
JU in afibela 4 prés. 
lent ai over de l'Univers 
parée" Qu'il était partailement ef 
réple sur tôus les shtres points, d 
les autorités lui rénondirent qu'u 
Fes he pouvaient lever dPollocme 
es, Piterdit iniposé par les lève 


TL est rouour que ks 
gratids Waonsins de vente var car 
respandince, Soeurs Boebuck et Cie 
le Chiesgô achéteraient li maison 

feraient une concurrent 
Caux marchands ca 
L'ansaction 


EDANM, Susk. =. 0. Wouters si 
aviadché une dent avec son coute 
de poche, piais it a Faillé perdre k 
CE s'était survit de son cor 
teau peu de temps subaravant pol 
ouvrir une bouteille de strvchnie 
CONNNCC 
Le médècn 
beaucoup de mal à lui sauver la vie 


le projet 
oussigné  iusqié 
Soussignt Is 
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compagnies de na xigation #tchare Li nn € là mer! 
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Néw-Vark et Liverpool, BUT don lei à expérimenté go lalieu Cat. 
soille fortement au gouverentuit de 1,000. vb-2,000 met, préfondenr 
de Hivrer nc Rierre î MOT à. CS | Méditerranée. EPA ae PS M 
compagnies d'assurance “Qui :SC- pareil pour: cinéruntoen el 15. 
raient. responsables de tout de éri fond dus mers Lu Se hier le À 
ue « Thé süle lide De CS Tél onr À 
to: Ps ù ER HEC SDICROES el les peer ou É 
(Le De Ji œE au! DESROSIERS, #6 développées en présence NE | 
€ Devon . "Mussolini, °° QE : 
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CEE 


ranco-Gananie 


SEE NES 


st-Boniface, Man. — Les %4, 


évrier les cémimissaircs d’é 
et 2 A languc franenise du Ma- 
nitoba tenaient leur premicr con- 
crées, Les séances avaient. lieu le 
<oir seulement, car dans la journée, 
les délégués assistaient aux séances 
de la-convention générale des com- 
missaires de toute la province, qui 
se tenait en même temps à Winni- 
pee _ _ D 

e premier spir, les commissaires 
se font contentés d'étudier les ré- 


ion de Winnipeg, comme ils a- 
Varent l'habitude de le faire les 
années précédentes. | 
Les deux autres: séances ont été 
honorées. de. la: présence de S. G. 
Mgr. l'archévéaue de St-Boniface ct 
de SG. Mgr Charlebois, vicaire 
Apostolique. du Keewatin, de passa- 
ge à St-Boniface.. Pa 


! 


M: L'ABBE SABOURIN 


A la sance du 25 au soir, M. S.-T, 
Dusseayit, président de TAssocia- 
tion. des Commissaires,” souhaite Ia 
bienvenue ‘aux nombreux délégués, 
explique brièvement le but du con- 
grès, puis donne:la parole à M. Pab- 
bé Sabourin, visiteur des écoles, 


Du choix des instituteurs 


Le conférencier traite de Ja ques- 
tion si importante du choix des ins- 
tituteurs. oo 7 
‘ Les commissaires doiveht appor- 
ter Je plus grand soin dans le choix 
de d'instituteur de leur école, tout 
comme s’il s'agissait: dé l'intérêt de 


leurs propres enfants. 
Qu'ils soient catholiques et francais 


: “, # ' 

fl y a deux. grands poinis. fai- 
bles chez nous; la formation -catho- 
Jique ct la. formation canadienne- 
francaise. Pour y remédier, il est 
absolument indispensable que les 
maitres ct les, maîtresses chargés de 
former nos cnfants:soiént vraiment 
catholiques ‘et canadiens - français 
dans Jeur intelligence, dans leur 
volonté. ét dans leur coeur, Cèla est 
plus nécessaire que partout ailleurs 


ri 


ici, où nous vivons mélés aux An- 


Ÿ ba 


glo-protstants, ” : 
Qu'ils soient-de vrais éducateurs 


H faut'parler a cocur des en- 
fants; leur apprendre 4 vibrer en 
face de tous nas intérêts religieux 
et nationaux, à -estinfer par dessus 
tout.cé qui concèrne la religion ct 
Ja: nationalité. On ne veut pas ce 
que l'on ne connait pas:'on ne fera 
‘junais. s’émouvoir lés : jeunes : pour 
“des éhoses qu'ils n’ont pas appris 
âaimer, ie oct 

nt i x D 1, 

D'où l'importance ‘d'avoir -de 
bons instituteurs ‘et institutrices 
.Qui inculqüeront ces principes .et 


a 


cc: ntimi CRE s Glèves, ‘qui nel -., | VD en pes 
es sentiments à leurs élèves.‘qui ne | Moyens d'aëlion el coopération 
L 


sèront pas seulement instruits, mais 
auront. la : volonté. de ‘former des 
petits .Canadieñs-français fiers de 
our race et. de leur religion,  :.! 


Qu'ils aient la mentalité voulue 


‘. Le choix de linstituteur est la 
fonction la plus. importante des 
commissaires, ‘Ils: doivent prendre 
des renseignements -et' s’entourer 
tle, toutes les précautions voulues. 


H ne suffit pas qu'ui candidat ait} 


not f is pour offrir toutes : 
Fe rançais vqur offrit ME acquitter toutes les charges, 
nes personnes catholiques et fran-: 


‘ çai$es n’ont pas: la mentalité vouluc ! 


es. garanties nécessaires, Certai- 


pour donner -à nos enfants la. for. 
mation, ‘que nous désirons. 


* Mi Vabbé Sabourin aborde ici le' 


problème: de.certaines. conmunau- 
lès’ qui n’entrent pas. suffisamment 
dané és, vies des parents au point 
de “vue. de: linstruètion française, 
}l'conseille aux commissaires, dans 
£e, cas, de parler. énérgiquement 
aux religieuses; de faire valoir léurs 


droits et de leur’ signifier claire-- 


ment ‘que, s'ils'n’entendent pas lnis- 


ser ‘angliciser leurs enfants par les 


anglo-protestañis, ils'ne petvent to-! 


lérer” davantage que Je même tra- 
vail-soit fait par des religieuses de 


leur langue et'de Ieur foi. 
.: 7 Qu'ils soient apôtres. | 


' 


peut-être apôtre dans sa classé tous | 


oblique -peut. dus- 
nl 


on:a obtenu que l'Histoire dû 


anadà ‘soit enseignée ‘dnns. les éco- 
HT frahcaises dès le IVèine grade. 


de 


“saires avées lex: 
titutéurs. 


as Commissai 


solutions présentées à la conven- 
‘tuteurs, 


| Les commissaires doivent dèfen- 


‘’i doption d’uñ: 


| La coopération principale qu 
l'Association attend des commissai- 


| Sa Grandeur Mgr Béliveau, s’ap- 


Les. preniiers 


(à. 
DS 
D © 
LE ES 


res dé 


4 


| og! 


ü 


ns ! 


S Ans 


Choix des commissaires 


°Jl commence par parler du choix 
des commissaires, auquel on  de- 
vrait apporter autant de soins que 
lorsqu'il S’agit de s'assurer de bons 
serviteurs. 5 


Choix des livres 


. Les commissaires ont le devoir de 
surveiller le choix dés livres pour 
leur bibliothèque scolaire. I y en- 
tre généralement beaucoup d'ou- 
vrages insignifiants ct frivoles,‘par- 
fois hostiles à notre langue et à na. 
tre foi. , 

L'année dernière, les commis- 
sions scolaires qui “ont demandé 
des livres français en ont obtenus. 


Choix.des instilufeurs 


Il y a de graves inconvénienis à 
changer trop fréquemment d'insti- 
t . Avant. d'engager une mai- 
tresse ou un maitre nouveau, Îles 
commissaires doivent s’enquérir de 
ses origines, de sa formation, de: 
ses antécédents. de sa conduite à 
YEcole Normale, 


Devoirs des commissaires 


La formation religieuse et mora- 
le.est du ressort des commissaires. 
La demi-heure de catéchisme ne 
doit être écourtée sous ucun pré- 
texte. . ‘ - 


dre les droits des parents contre 
les -empiètements de lPinspecteur, 
surtout en ce qui concerne l’enga- 
gement de Pinstituteur; maintenir 
l'union et la bonne entente dans le 
district; s'intéresser an concoërs | 
français annuel; visiter l’école: de 
temps en temps, etc. éte. ' 
. En terminant, M. Marcoux -adiu- ! 
re’ses auditeurs de ne pas laisser 
diriger Pécole ’ par inspecteur ct 
Pinstitutrice qui ne sont que les 
subalternes des commissaires, 


M. HENRI LACERTE 


M. Henri Laccrte,. président de 
l'Association : d'éducation, définit 
les rapports qui doivent exister en- | 
tre les commissaires d'écoles ‘ et 
PAssociation, ° : 


Rapports intimes ” 


L'Association d'Education cest: 
l'organisation des pères de familles, 
en vüe d'assurer aux enfants fran- 
co-catholique unc ‘éducation catho- 
ligue et française ce que l'Etat ct 
la lôi négligent totalement, Les 
commissaires .du point de vue de 
J’Association, représentent Île trou 
penent..des parents franco-catholi- 
ques dônt les, enfants fréquentent 
lécole dans. un territoire détermi- 
hé. Les rapports entre: l'Associa- 
tion et les .commissäires ne peuvent 
donc manquer. d'être intimes. 


Les principaux moyens d'action 
de l’Association comprennent l'a- 
programme d'études 
français, la: nomination d’un visi- 
teur des écoles, l’établissement d'un 
concours de français pôur. les é- 
.Jèves et de cours de pédagogie pour 
les. instituteurs canadiens-français. 
que 


res, dit-il, est celle-ci : quand ils 
ont accepté ln position, ils doivent 


MGR BELIVEAU 


puyant sur une pärole de Léon XII. 
a affirmé.les droits des parents sur 
‘l'édutvation de leurs enfañits. 

instituteurs, dit 
Mgr l’archévèqdue de St-Boniface, 
sont les parents, qui délèguent leurs 
droits aux maitres, et:aux maitl'és- 


-ses.. La première injuste violence |] 


repousser est donc celle qui .vou- 
drait sousiraire aux parents le 
‘choix. des instituteurs. S 
‘l'affaire des commissaires,  repré- 
lsentants des familles. ù 
pousser énergiguement tonte ingé- 
rence du département de linstruc- 
ition publique et des inspecteurs, 
‘sans craindre les petits incoñvé- 
|nients qui pourraient en résulter. . 


| , Conclusion 

“Ce. premier congrès, écrit M. 
Frémont, dans li Liberté, a eu un 
succès réconfortant, : C’est un nou- 
veau chaînon dans le travail de 
‘défense. que nons forgeons autour 
‘de nos droits scolaires. Nous som- 
mes en droit d'attendre beaucoup 
-de Ja nouvelle filiale de l’Associa- 
tion”, —. . LE, : 
l “En effet, dès le second jour, lé 
corgrès. avait sanctionné le projet 
“d'affiliation .de l'Association: des 
| commissaires d'écoles avec: PAs 
sociation-.d'Education. . 
uant au travail pratique de l’As- 


lique an 
in liste e 
scolaires. : 


en ne —m'tt 7 


Mgr Béliveap se’ prononce 
outre les” écoles : cansali- 


a, à 


8 


cependant révélées seules efficaces, 


auidable assaut contre les bourses : 


RD 
[res 


Ceci estiq 
Hi faut re-|ré 


LE 


alors: que les grandes  éca- 
les ont été un immense fiasco, Qn 
veut détruire action directe des 
parents au moyen de la municipali- 
sation et de ln consolidation des 
écoles. La consolidation est un for 


, 


celle a fait augmenter les axes sco- 
laires de 300 pour cent, sans comp- 
ter qu’elle est préjudiciable à l'hy:! 
giène physique et morale des en-! 
fants. fe n'a pas donné les ré- 
sultats qu'on attendait dans l'On- 
lario, comme le prouvent les pa- 
roles prononcées ces jours-ci à 


an tetévupereurmeenma er emrgen tone re ennemies ngeq 


| LES NOUVELLES  . 
‘ CHEZ NOUS ET AILLEURS | 


M. J. À. Marion réélu prési- 
dent des commissaires d’é- 
coles 
Winnipeg, -— J, A, Marion, de St- 

Boniface, à élé réélu président et 

W. H. Cox-Smith secrétaire-tréso- 


rier de l'association des comimissai- 


res d'écoles du Manitoba. J.Gib- 
son, de Virden, a été éhi vico-pré- 
sident, | À 
: . Une résolution demandant à. l'as- 
sociation de s'opposer à la recom- 
mandation de Ja commission dfur-| 
ray relativement au prolongement 
dés études à, l'école normale .a ‘été 
battue, 
La convention a adopté une ré- 
solution demandant l'établissement 
d'un bureau pour l'obtention et lai 
distribution de livres de classe 
dans les écoles de la province, Une 
autre résolution recommandant une 
assistance spéciale aux écoles dont 
les finances sont en détresse a été 


également adontée, * 


en ee 
Des plaques bilingues au Par- 


session, l'hon. Rodolphe Lemicux, 
vrésident des Communes, n fait 
remplacer tous les indicateurs en 
carton par des plaques de cuivre 


rédigées. en français ot en anglais. | 


Parce que ces indicateurs ont un 
caractère permanent le président 
dés Communes’ a tenu à ce qu'ils 
fussent bilingues. [1 convient aussi 
de signaler que l'on a iraduit avec 
soin Île icrme anginis. ; 

C’est “ainsi que l'historique 
“Press Gallery” est inaintenant dé- 
signée par la formule bien fran- 
caise, “Courriéristes -parlementai- 


Le barbarisme “Privé” se traduit 
maintenant par “Entrée particuliè- 
re”. On a traduit ‘“Sessional pa- 
pers” par’ “Documents parlemen- 
taires”. | | 

Cette heureuse innovation qui 
restitue'au français la: plice qu'on 
lui avait temporairement énlevée est 
accucillie avec admiration par la 
dépulation et: les : visiteurs. 


ares mm LE Emmenrnne mme 


S,-: : es 14 
" Ce geste du gouvernement .cana- 
dien est fort apprécié des hauts of- 
ficiers çcanadichs - français, car 
l'état-major sanctionne ainsi ‘une 
loi fédérale qui oblige’les membres 
du service national d’être bilin- 
ques. D “ , re, ‘ 
Nos jeunes officiers canadiens- 
français, la plupart bilingues, se 
trouvent ainsi mieux qualifiés. que 
‘béaucoup de collègues de l'armée. 
‘ SE nee + u 
‘Pour livres de récompense 


choisissez des livres cana- 


 diens ” 


qui ne permettra pas la danse pen- 
ant. les réceptions de l’année, : 
<' Gette décision a été cannue à une 
récente répeption royale. 
réception, il.» 0 
Mhabitude, un: concert qui s'est pro- 


_ pendant une héure: ‘puis la [QU AVAL pi in, 
EE Fe leu. d'inviter line Ps Ait ‘pas qu'aucun ‘nouveau cardi- 


; : présentes à danser, a’ an-|nal soit: créé. j'Le Saint-Siège. ne 
personnes présentes à: dan, A “ain | créc - généralement pas. de. cardi- 


cour, durant toute l'Anpée ainte. naux pendañt une anñéé sainte, 


noûcé:qu'on ne dânserait. p 


Le - ,. ? : 73 


et Mme Ronquette 


- Aprés Ia me les cuferses Cérémontes ltrument: A AR 

out, couûfie c’est dé. canonisation, Sa Sainteté Pie! “Li.dcssus, a aiouté Primo de Ri. | 
vera je mé rehdis à Madrid êt îe | 

prévins le gonvernemént ani ne fit 


LE PASRIOTE DE L'OUEST, Mercredi le LT mars 19257 ù 


Due te ne na a 2 D M 8 AE D 


en nt qe mb RS ee SU 00e es end bn eq 


FUM 


ms 


{ 


4 


à dun ot me emeqmn ee ppt 2e de à msn er nten eg 


Winnipeg par Le Dr Cody, ancientee que cette année unt consaerie à 
ministre de  Pfnstruetion  publi-{la pénitence tandis que FEglise se! 
que dans celte nrovineu, On s'est réjouit lorsqu'elle élève Fun de ses 


ee 0 + dé ed 


Ï 
apereu que ce système avoir le :évèques au cardinal. | 
même programme pour les enfants CR Ce ETS ‘ 
des villes et de In eampagne ane Une religiense-poète }; 
nait falalement li désertion de la lue ee i 
terre el on l'a abandobné pour ve. Ottawa, — Seour Movie Fhomms à 


venir à un prograntume plus ra-, d'Aquin, directive 4e 
tionnel se limitant à quatre ou einq{leaune d'Are d'fHiawa, virtuel de pis 
suiots. blier un petit one de pabsie UtrR 

È Lt ent : : * pse ae MOMIE SVT 
La munieipalisation scolaire vise nn UNE Vers % en, | 
à tuer les petites commissions en [fait suite à “Vers le Hien paru it v! 
contralisant, alors que Je véritable [a quelques unnées et est Pavant 
progrès consiste à décentraliser”". coureur dun troisitne: Vers le 

vrai, 

—— Voici ce qu'en dil dans le D»- 
voir, M Joles Tremblay d'Otinwa: 
‘A côté de midvrerics qui semb'ent 
tre commandées par les circons- 
ces, pièces d'ovéasiôon et vers tron 
aisément alignés en rimes nécessi- 
teuses, des poèmes se montrent, 
Jfremnplis de bonne sève et de fortes 
idées, 

“Des retouches sont à faire; mais 
malgré ses trop fréquentes uon-va 
leurs, Ses inégalités, Vers le Beau 
. ne dément pas toutes les promesses 
Montréal. — M. Louis Frédéricide Vers le Bien, Le. derniér livre | 
sont aeluelle- | de la trilogie les vemyliva, n'en dout 
ment en voyage de noces au Ca- [tons pas, ent Maric-Sylvia est assuz 
nada, °M. Rouquetté profite de ce | riche pour ne, pas éviter Jes vois en 
voyage, pour faire une pttite en- neignoir que “le bon Saint-Suëni, 
quête sur les sentiments. des Cana. | poète intéressant à ses heures. ape 
diens vis-à-vis de kr France et pour pelait des devoirs 4 harmonie, . 
interviewer quelques hommes.d'5- |. Et M. Tremblay ajGtte: Mavie- | 
at. M. Rouquette, qui à fait ptu- | Svlfia a gardé hi poësie de son il 
sieurs fois le tour du monde, con-}me’sans permettre à ses malus dû 
nait déjà le Canada; il a écrit deux [rester oisives, Elle a édifié, ru 
bouguins sur notre pays: “Le grand | Sussex, un poème de pierre et de 


— 


Un journaliste de Paris en vi- 
site chez Mgr Grouard 


silence blanc” et “La bête errante”': brique où des jeunes filles esseulées | 
il en prépare un troisième consa- | bar les hnsards dé la vie viennent 


nuiser l'inspiration d'une vie chté.! 
dans tienne; elle a prodigué sais comp 

ter Les, travaux, de sa charité. 
était juste que ses loisirs fussent 


cré à l'oeuvre des missionnaires O- 
blats de Marie  Immacnlée 
l'Ouest canadien, 

"M. et. Mme jRouquelte sont en 


route pour Grotuard où ils vendront ASE de pate rêve «le 
visite à Mgr Pierre-Emile Grouard, ° “* “. 


L'opinion du maréchal Foch 
sur les préparatifs de guer- 


O.MI,, vicaire apostolique d’Atha- 
baska, Ils feront ce voyage sur 
le ‘chemin de fe National Cnna- 
dien; de Grouard, ils irout à Sent- 
tie en passant pur Jasper Park et re allemands 
Prinec-Rnpert, buis & Vancouver me à 
pour revenir dans la province del Pauis, — Le Conseil des nmbas- 
Québec, . | sadeurs a enteudu de rapport du Co- 
Te +0 em mité de guerre allié an sulet des 
Les élections présidentielles violations du traité de Vaèrénilles 
par PâAlemagne, . 

en. Allemagne le 29 mers Après Lecture du rhpport par le 

7, = | maréchal Foch, le Cofseil 4 des 
Berlin, — Les élections en Alc- matdé au Comité de Cuire les sup- 
magne, pour choisir un successeur {ucstions qu'il croyait-propres À n8- 
au. défunt président Bbert, ont été [surer le désirmeinont de l'Alema 
fisées au 29 mars 7. gne selon les termes du traité de 

Les dépèches. sont contradictoi- Versailles. Fe 
res au sujet des funérailles du pré. | Dans les cercles ‘diplomatiques 
sident Ebert: les unes disent qu'el- | n Gonsidère cela eoïnme une preu- 
les ont eu lieu à l’église catholique ve que les ambassadeurs étaient dés 
et d'autres à église luthérienne. | ià persués ie quelque chose doit 
Ebert était catholique de natissan Eétré fait pour obliger l'Aomägne à 
ce, mais étant devenu, socialiste, Ltenir ses enanfg@inehts., Lo 
il .p'avail pas pratiqué $a religion Le maréchal Foch el: son, comité 
depuis de nombreuses années. 1!sont d'avis, qué le rapport de la 
a été inhumé au cimetière Betg à {mission de contrôle militaire mon. 
Heidelberg. | de que le, atemnnds persistent 

, parti jaliste oct à recuoil [ans tour détermination de miainute- | 

7" TR Rae F5 preencile nir des cadres complets d'officiers ‘ 
monument en sa qualité de pre- 


mier président de l'Allemagne. 
De PRE 
Po : ; 
La France ne veut pas d’une 
nouvelle conférence alliée 


téricure à 11 guérre, 

Le Comité pense aussi que non! 
seulement lAflonruns Forme des: 
officiers dans es Puit juats qu'elle! 
entraine 4882, d'hommes panr 
constituer une forte armée cute | 
pagnes qu'olle edf toute pile 
produire des pass enipoicnrnetirs: 
qu'elle possède de, tuocdätes et des 
moules de-ennon di vos le plus 
nerfectionné, tro 


4 ame 


Paris. — Ttms les cercles offi- 
cicls de France, 'on continue de bat- 
tre en bréche ln propagande bri- 
tannique en faveur de 1 convoca- 
tion d’une nouvelle Conférence al- 


liée, pour prendre connaissuneu et en él de servir, 


disposer des rapports de Ia Com- peu de temps PRE ER k 
mission militaire interalliée sur les NS , | 
infractions de l'Allemagne au traité Contre les missionnaires ca- 
de Versailles. La France répugne tholi ques Foot 

à se mettre dans,le cas de délibé- qu d 


rer Avee. ses’ anciens ennemis, en 

même temps qu'avec ‘ses alliés, 

in 

Le Cardinal Mercier veut uti- 
0 e La ’ ‘ . 

“ liser le cinéma pour le bien 


Nome, Aluck, - Lin {ubotiqne 
association du Ku-Klinx:kKküs (du! 
depuis plusieurs années s'aidilé Avec 
tant de rage contre Les catholiques 
en Amérique), n'oublie nième pas 
lés missionnaires ‘éloigs, Mmèénie 
näs ceux de lAlnika £Là.conmmé 
nartéut'et comme toujours, Ja tac. 
tique’ est la méme: frapper les 

Î 


Son Eminence le Cardinal Mer- 
cier, de Malines, vient d’introdui- 
re en Belgique uné série de pro- 
jactions cénématographiques qui 
font «ssister les habilués des théà- 
tres aux cérémonies d’une ordina- 
tion sacerdotale ‘où lui-même pré- 
side, “TI a semblé à Son Eminence, 
dit une revue belge, qué pour mieux 
faire comprendre ‘aux jcunes gens 
et aux fidèles legs grandeurs du sa- 
cerdoce et orienter d’une manière 
discrète leurs aspirations vers la 
prétrise, il fallait les mettre direc- 


coles ‘ catholiques, et soustraire à 
l'influence et à l'amour de l'Eglise 
la génération qui monte, . . 

LE gouvernéinent: fonrnissuit 105 
médicaments ef une potile shbveri- 
lion aux écoles nour lés indigènes. 
Tout cela est supnrimf pr une igi 
que les K.K.K, ont fait adopter, 


mont, S.J., vicaire aypnstalique d’A- 
Jasku, une perte de 47,000 par au- 
Pi al 


, née. à 
tement en contact avee les rites de TD 
’nrdination sacerdotale elle-même : Fi a P , 
en évoquant devant eux l’ensemble Primo de Rivera A l appui de 
cérémonial de ceite fonction si im- ‘toute l'Espagne 
posante.” ‘ ‘ ' 


. Madrid, -— Une dépulation renré- 
seftant un nombre énorme d'autres 
représentants provinciaux a remis 
nn général Primo de Rivera 51 al. 
bums portant la signaturé de nln- 
*ieurs millions de partisans de Pri- 
mo de Rivera et de la politique du 
Directoire, . -" 

, Prenant ensüite. la navole à nne 
grande réunion des Unions patrio- 
ti ges, le het du Directoire É rame 

le bien, et un fléau dévastateur dans [097 105 CVEngIments qui ont Dré- 
les mains de ceux qui le consnerént |; 1 g2g 28 ement ‘qu 13 septem- 
à la propagation: du inal. repas 


Voilà dé Paction bien comprise 
confiée à, une méthode d'éducation 
la plus excellente qui soit, Si le 
cinéma, mul .difigé, fait tant de 
mal, sa püissance est li quand. mè- 
me, et il reste de Ja mettre au ser. 
vice du bien. "C'est ce qu'a fait le 
Cardinal .de Malines, 
: Le ciféma est comme les iangues 
d’Esope: une invention :merveillen- 
se pour ceux qui s’en servent pour 


-. |. Le gouvernément de Bareelane 


ee ee a déclaré protarment : le nr 
“‘enéiatoire rimo de Rivéta, m'a dit alors: “Si 
Un Ne ru Fes ou les ‘conflits Actus ne sont nas ré 


dés, ie. m'empartiai de tois les 
instruments, de.travail annartenant 
Ai ,1 te baux patrons et ie reetirai ces ins. 
iverses cérémonies truments, aux dlivricrs,” “ * 


2 em TT 

Rome. — Comme c'est la coutu- 
avant, les à 
J tiendég. un, Consistoire en maïs 
“avril prochain, . Mais on ne. 
auclin, cas” de ‘ect avertissement, 
L'almée eonmrit 'flors airelle de. 


par-| et je fis le pronunciamién 


4 #0 
"> … “ pe . # 


* 


Fhustient ve 
t 


pour une arniée égale à colle an : 


C'est jour la mission de Mgr Cnil 


vai imtérvénie pour «ihvép lé pays! 


# 
! 4 vièuie cle ne 
Mts qui peuvent Cire Pin ee Los | 


J 


*_ Mrei à tous noë généreux bienfaitäute. ts Emi. 
nntg: perannages. ét ch-inetitutions ont édifiaies v 
l'oeuvre eten la survivance française. : N'êtes-vots pas 


4 Le Séminaire de Joliette." 


CM 


l/Hon. Juge Coïsinéads Saint-Lautont, Qué... 


un &, ve ARE — ! 
Patriote de l'Ehiest 


ane nmens a anennns anne 


Ont droit au titre de “ Bienfaiteurs du-Patriote ” 
ceux qui versent le prix d'un abonnement à vie au “Pa 
triote de l'Ouest”, c'est-à-dire 525. i 
Comme l'existence dés institutions se prolonge 
d'ordinaire bien au-delà de celle des individus, elles s'ac 
quièront de droit au même privilège et au même Uitre 
que ceux ei par une cobsalion de #1 OU, 


UN BIENT'AIT EN ATTIRE UN AUTRE 


Conterttunnenuise dos cnumrer trois. 


ta 


Ho Ca open ca fetop, 4 vous et à Padmintifrae 
Lio ae journal 
et gauee de fFarnin? du boet de fs ns 


votre Jouruai est payé pour be reste de ven rai 
chaque année, il vous épargne des Frais de mandats 
poste où d'enregistrement, ainsi que de correxphite 
dance, Dot 
Ï Rue deu souci, plus à vous uccunôr de 
votre abonnement: plus d'enniri de récevoir tif ott 
deux enrtes d'avik, clusque année, d'avoie à faire un 
Voyage an bureau de poste 6Xprès puit cela, ele, être 


8 tte oaadntambh fs ne moque meme à ME dr 


Les abonnés à vie Bienfaiteurs du Patriote. 
Ur livre d'or où Te Patriote" 
à vie, liurent tes noms de: 


Sa Grandour Mgr Maihion, arehèvêque do Régiha 
Sa Grindenr Mer Prud'homme, évêque de Prines-Alhort, 
Sa Grandenr Mar Langlois, évégque auxilinire dé Œüéhec, 
Ka Grandeur Aer allé, évéqne de Uearat, Ont, 
Sa Grandeur: Mr P, É Kay. coadfufeur de Québae, 
Mgr JL, Bradeur, PA, VU, lrince-Alhert, 
Mur Marois PA, VC, Québec, 
Mgr JL, Ruuleuu, PA Québoe, 
Mur CO, 4, R Mourdet, Pr D. l'eud'homme, Sark, 
Mer Je, Bélanger, PD., Moutréul, 
Mur de Richard, D, Montréal. 
Mgr Plerre Decniles, P. D, Stityneinthe, 
Mere L.0 Lafiätome, D, Québec, 
N LE, Bbuberse, P. D, Quéher, 
M, l'abbé HN. Desmarais, Prinee.Alhert. 
M, l'abbé G, Carpentier, St-Louis, Sagk. 
M, Hi, Couin, Gravelbourx, Sask, 
M, l'abhé Morneau, Shell River, Snak, 
L, à. Lauglais, lécumseh, Ont. 
Philippe Moudor, Willow Buneh, Sask, 
l'abbé V'ortier, Willaw Punch, Susk, \ 
Achille Chabot, Lac Pelletier, Sask. 
Alphonsé Chabot, Lae Pelletier, Snak, 
M. Osins Duclos, Vallée, SteClalre, Snsk, 
Quatre amis du “Patriote”, Las Polletlor, Susk. 
M, le Juge L, A, Prud'homme, St-Honifhce, Man, 
Emmannel Breton, Müntiantrtre, Sunk, ‘ 
Philippe Lerron, Montmartre, Sask, À 
Trois autres bienfaiteurs, Montmartie, Sask. 
M, l'abbé J. A. Ouellette, dir, des misslouninirés 
siteutrs, Montrénl, , 
M. Île chanoine Lattrent Consinenu, éconime de l'Art 
chevôdhé, Montréu)l, 
Dr. G. A. Henri Dufresne, Montréal, 
J. , lrovont, nère, Labrot, Sngh, 
Dr. W, À. Plourde, Lebret, Sagk, 
Un hntre hionfaiietur, Lebret, Sangle 
M, le Chan, 4, B, Houle, Marieviile, Qué, 
M. l'abbé HA Hourassa, éilise du SneréCacur, Mont- 
. réal Fo tt. nue dou, 
M, l'ublé JL Monoré Fréchetto, Ste-Clairé, Qué, 
M. l'abbé K, X, Goyoile, Hermminglord, Qué, :": h 
M. l'abbé: D, oupin, N, D. du Mt Uarmel, Lacolle, Qué. 
AR l'abhé Ed: V, Laverie, quétibe: nn 
M. l'abbé LL 1, Lamaréhe, Joliuits, Qué. | 
M. Liünel Audet, Sle-Murie do Bentes, Que. 
M. le Chanoine © Beaulieu, Qué, 
Pabhé L-Z, Lambert, Hennceville, Qué, 
l'abbé BK, Murtin, Sté-Anne de la Pocatière, Qué. 
l'abbé AS, Deschônès, Miss, Chlonisateur, Qhébec. 
l'ahhé A. Fauchur, Québoc | ‘ 
l'ubhé À Huot. Quéfiur. : | 
lahhé PS, Pilehat, Hlftomuald, Qué, 
Pabhe 1H, Coté, (nébue. . 
l'abbé D, Guron, Sé-Viblor de Tring, Qué, 
l'abhé Le, MeCren, St-Cashnie, Qué, 
M, l'ubbé AM, Dréapenu, Bippar, Sagk 
M. l'abbé P. Grondin, Lévis . 
M. Fabhé N, Favroun, Montréal 7 
M Phbhé Cl, Michaud, La albuie, Qué 
A l'abhe JO foclote, Chüta à Blondont, Qué, 
Fou, Pénateur NA, Beoleunrs. tire 


volotit- 


rérolre, Quéliue, 


CRTC DE) - 
€3100,60) 


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à 


.Québèe: 


de 


NL L..Térreau, Commander : dé Rt-Grégoiré, 


ne Saëk, 
Qué 


M l'abbé Contant, Malsonnduve, Qüé,. : 
, :Mnisonténve, Qué, 


M. 
M. 
M. 
M. 
M, 


Jabhé 
l'abbé 
l'abbé 


Les Cléres de St-Viateur, Montréal. 
Lé Séminaire de -Quéliee, : ‘7. , | 
. Collège de. iSto-Anne-de-ln-Pocntière, 
: Dépariement de VInstruction Publique. 
Fo de la Province de Québeg:.: .… 
… har l'hon, Â. David, Secrétaire Provlactol. 
"Les Uraulines de Québec, ». °. : 
| -BR. PP. Oblats, St-Sauvour, Québer, 
CETTE SEMAINE: : | u . 
M. l'abhé G. V. Fehrephjch, Qu'Appélle; Snak, 
M. le: Chanoine -Myrand, Oiltuwa, Ont, 
Pabhé JA. Curricre, Hull, Qué. 
M, l'abbé M, Houx, Montréal. 
M, l'abbé Begudoin, Montréal... " .  ‘. 
A5) l'abbé If. Bernard, ‘Outre ont Qué. 'e 
À Er en du 
M, l'abbé J..Verachelden, Montréal, , 0" 2 
Von. Arthur Card, M É la Marine, Gtésvé, 


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li? ‘La'listé reste ouverte. 


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des conditions rationnelles. On ne du poëte.  Hs”n'ont fninais bencé. prononcél., Le souffle en a suse it . . ; , 
peut non us fermer des veux sui four esprit de J'harmouie d'une Ja réalisation, Lenr force n'a jamais été faite Fayonnez!... ravonnez!...  va-ltre aucun des manifestants qui sont finitivement, 
t les «périls qu'elle offre À ceux qu. page bien pensée ct bien écrite, Les unions paroissiales surgis- que de notre licheté. vonnez!... ee , ne ses amis, Mais in "était pas fier, |. : Parmi, les miracles Atiibués à 
Ï dépassent FR but. Ou encore ils n'ont pas lu un vo-[sent partoul... Puis elles st fé- Unions paroissiales de loute la Picrre L ERNITE. Sat majorilé.avail moins de honte. | “saint Pionnier”, ii y 4 celui qui 
! Ésope : iSurail, un jour, qu'il n'x lume, une phyr ase, une ligne qui dérent en chaque diocèse, et les a rmrerrrnme a , Pur des appli acissements inoppor- | conf iste à briser los familles en 
| avait rien£au ‘mrénde: de incilleut ! semblait répondre À Pune de leurs | diocèses se fédérent entre eux, . tuns, par des rires au MOTS étran- tronçons: alun côté. les vieux pa 
que Ja lafeue, Le lendemain i | aspirations ‘cu résoudre un problè- Déja, elles forment une masse... LES NOUVELLES : ses, efleavait presque Fair de trou- |rents hors. d'ustige, dé Pautre les 
persuaduits son maitre” que rien [me morgL.dont In solution Lf in quelle masse!., Un mur vi ivant de ver naturels les événements dont le jeunes ét: VÉSQUTONX athlètes du fu- 
1 n'est pis. dl oi: va de. méme de La l'quiétäét ! . voitrines chrétiennes... | récit Jui ètail fait, L'ivresse d'être {ur 
| lecture. FEV a du pour et au con Que dire? 2 | Songez done!.. le seul diocèse || CHEZ NOUS ET ASLLEU S de: plus, fort conduit à-ce deni .de “Nous, les jéunes athlètes, ceri. 
tre en ceutté those, belle-et: bon Prose Luc epianne qit de Paris compte 180 paroisses dont ° touie justice. Anis duel avenit pré {vent des pionniers du: Khaïiovniki 
| ne en soisinais que, l’on: proluns re. ou ts science où li é- | certaines: ont des Unions de 500, = — mms # | pare un pareil État d'esprit? Club de, Moscou, nous :sommes en- 
| trop souvéilt, unie tant ‘d'au: | ü “ PEER OT ann “ae LE 860,... 1.008. hommes, Multipfiez | — — pags" dans une Jutte sans more 
‘tres pareilement bienfaisantés. te et couvert de fle chap SCI ces chiffres par toute la France | Une réunion de 45,099 catho-| Les incidents sanglants de\ | Les responsables du sang ver- contre nos parents religieux." 
est nfoire que la lecture es “aste et COUNEr le Le sole les colonies. .… Entendez le: ji R . | Marseille À er “Nous, erivent à PSbestio (ty 
u indispens: NE à ‘qûi véut entrete -OUl: COUX qui veu en V -glaner. | Dis .% Ce st Je “catholicisme qui iques à ennes se | méro de Noël), les pupilles d'une & 
nir son Bitellect, L'on ne por daélle que soit la portée de lintel- |S'avance. ——— I —— cole primaire, nous COmprenous 
: assez déplhrer l-dédain-que pre pence, dans la formidable quant, PERS Rennes, — Les journées “atholi- .e8 journaux de France, nous s ap- Los rgsponsables ‘du sang versé, CE, ce que : veut ire: ètre des pion. 
fessent ded'homnes, méme des per h. ré de matiée à live, il y'a juste. | 11 s'avance, masse homogène: ques à Quimper, an Folgoël, à SE aetan des détails sur 1es inc idents sont les chefs radicaux, les Herriot, Pniers, : Nous sommes des garcons 
sonnalités Efhportantes, pour. “ | nent Co qu'il Tatit” pour satisfaire Son ‘eiment n'est pas le désir Brieuc, furent imposantes; cecile dt T sat auts de Marseille, ie 9 février les Painlevé, les Chañtemps: les‘ qui he ‘croient ni à Diou ni nu Din. 
médium « édnention ct LAl'instrut es Esprits” és plus: Txigéants. | qu pouvoir. .…., pas l'argent..." pas Rennes 1 été triomphale. où deux *atholiques, M, Louis Vian François-Albert, qui ont.sans pro-}ble et qui comptons bien agir on on 
tion, Non savons bon nombre & Juelle ques soi lPimpression 4le{la politique." mais là seule dé. | 45,000 homes y ont revend et M déiphrem Ville. furent. Lués, et! vacation aucune, éniquement pou" conséduence, L 1 
personnagÿé-@uinents dans la pe -houre, Ten ‘nous ANEENT iristés | Fense religiouse. les, libertés catholiques. Lie défilé RES LRE où, catholiques re és, à |reprimper au pouvoir, brisé P union | L'Isvestin prétend qu'on million is À 
hitique et es: Affaires, qui anraier' 2 pi les pistes — 1 itheques, | Aprés avoir été piteusement à la imposant qui se rendit sur Hi place | rentrée ou 600 A sor ie ( une rer sacrée Née de-li guerre, contracté d'enffets sont déjà enrôlés dans les muy 4 
iniérét à rénrhter ledrs cognais À CSJUTTIES HAN FAR halanaecs OÙ remorque de partis qui l'ont tou-} Hoche pour, entendre les diseours on le €. 5, Ménérai de Cas si alliance. avec les . sovinlistes de li etubs, scokiires dt que Penscionse 4 nn. M 
sances—fufi ce seulement eclle ce “rent touie Var € 1 RPETOPE ié De jours trait, DA ne fut troublé en, aucun instant. LATE Qu gOnerali dc astoi- lutte de classes, à qui ja guerre ; me nl qui. leur. est donné, sv Lému tas " 
leur lang el qui font f [oesoin i de Linstan : ‘ | Aprés avoir mis jadis toute #1! “Jamais, dit le Cardinal Charost, pRaU | m'a rien appris el encouragé lan-:tiquement dépourvu de loute pen rar 
teeture, Este pardsse [RE Kous'' avons déjà mentionné le Sonfiauce en de vieux fauves, qui tarchevèqu e de Rennes, il ne m'a Ces/incidents-ont été plus consi- |daec des communistes, " sée religiouse, est He gage certain nu 
part Ÿ Es des inrnique de. fa langer du'uvre,  Nôus avons fou- {ne daignaïont lui accorder leur [été donné de voir un spectacle hy_|‘dérâbles que ner Fannonçaient les Gustave ne RVE, de  Pét blisscment définitif du Me 
etre purs indolenec? 4 “hé aux périls, de cette “ebose fres protection qù'à l'heure juste où eux- {main d'une aussi inpressionnt inle dépèches, . du journul la “Vieloire" . cholehévisme en Russie ct peut-ctre nt Là 
Quette quefsoit la raison qu ‘ils don: HAS en doi’ comme da langue inémes devenaient des descentes de fot relisie use grandeur, ;d'aiété À Toute la eanaille de Ja ville avail A —, lé son expansion dans Le monde, ous: Ji 
aent, si lafanestion. leur est posée |: #S0pe dnis quant an en use a lit... Lille. l'évèque d'unw:grande caue ëté”mobilisée par les Comités s0-| Où M. Chantemps se fait |. Un professeur. russe, récemment ce, 1) 
cees individus se privent d' uñ agrée repos ef dans les bornes raison. ie" Après avoir ‘hjustésses espoirs à In [ses je suis devennsauiourd'hui l'é- cialistes où communistes CL CnCou- | coiffer El évadé de-son pays et arbi.& à Lon: 1 
ment délit eh méme ithps quil inblos. . | | | mesure des-éircophages de Carta [Se d'un grand! pe uple, el ie 1gée par laffiehe révollante du! . … tdres, vient d'exposer au Times (nue vu nn 
se déteuragot.de ce qi tr sort". : Hoy a de très manvais livres ines momies}... la. masse eatholi- in° aurais pas éru qu'après avoir été maire, C’est surtout la sortie qe \L Chaute ; Tour. ,p.  néro du 1er janvier) 16s ravages À 
une dorce et un appui, OU s'agit & | "est prouve. Pour etre ainsi. ippque ? édevient vlle-mème. à Ha peine. Dien nraurail anis par Iles tipachés ont donné libre car- , C tautCMDS, ministre de Pin que Cause, dans éf patrie l'enseigne. SN 
. videmment-dartePuspice, de L | rest pas nécessaire qu'un véluime Elle se réconnail et elle croil eh lvous, autant à .Phonneur, rière à leur Ice férocilé. AU Leontinue ses le cabinet. Ierriol,, mont sans religion qui x. ost maintes 
" Jegture sérieuse, en rapport avec ls où obscène ou le nuture, à éveil, vlie, “ “Aucune éloquence-he peut égn- "€ que de pétits”"sroupes ou,due de continue ses Chauctes Jndiserétes” nant denné, “De tous les poisons. *”* 
citualion destes Dersétines, ehoisi { er des pires passions: Nul serpent |  . BLE: .…. [ler celle de'cette assé: lée imnien- ratboliques isolés se détachiaent de aupres des .… Gongrégations reli- que-le communisme, a. inoculés AU 
dans un hui dé pertestionnenen | Fest plus à craindre que cclui quil Formidable par sa seule résis- se, telle aue In Bretagne n'en à ja- Ja foûle pour rentrer chez eux, ils gieuses, ‘ Mais-les religioux contre, mon pays, ditil, celui-ci sera le" 
‘intelletuel UT. sunpe sous des fleurs; comme aus-; fance passive, déjà elle dépasse cet- {his vu de pareille se cours de ia Lt tombaient sur eux à coups de ma- [lesquels AM. Chautemps el ses mou- plus effrovable dans ses consé quen- 
Qu'én Homme oil dans Paidus nul, poison n'est pire que ceuiite résistanec, [longue histoire une assemblée qui. traque, ‘de ‘bâton, ‘de briques. L: chards organisent le sysièmé des tces, Cr fi est manifeste ‘ que l'école, 
trie, Ja. fidanes Tes professions ho laut méèle sa virulence au vin gé-i,, Lu souffle a pousse en avant. à elle £eule, Quit le ve 15 favrier lête, du cortège: OÙ sc trouvaient les fiches, n'ont” Das, tous froids aux “SANS, Dieu x prépare des généra." 
bérales, les arte fui fautese'te creux d'une coupe, Le mal res Vale. k une.bol Le. ivurméc historique de no- généraux, -t pus. escortéc par, une VOX? Les fournaus. français nous {lions qui ménriscront tout, même 1 
nie au court de ce qui se fait.ot le aal quelie que aoû Ja sé Elle ne réckune pas de faveur, Le province” jorte troupe de jeéunés gons; défiler rapportent le fail suivant: l'idée de famille ; # ‘4 
se passe, de diar. le! non el en Ce ductiôs de es dehôrs, Dans rien À Mais elle veut avoir durs son pic tue h it ue sans encombre au milieu des hrail. | La Société des Missions Etran- | - + - du, tré 
: Hygnet: petites, LS est dans BL otantiqu'ens th lesturé ces vérités FANS Qu cle a" défendu eonnre; déct ARE, es Rte Het quon nous ü laure S. “M: dis 4 . Nr éi ont réussi à] cèr es de Paris, Fuae des gloires de: LL Espagne “est sous un gou- " sir ; 
pélilique tit La" ion Los ot soutent leûr applie atiun. HE faut: toul le mannvde, les droits de tout le oi Me EE et ee conte en Ru des ti “fraclions, motam| |a Capitale, occupe” Dortians Une - vernement. franchement sise 
rés rporahre Han ME dus Aer ne done sen tisbr ver” dise eee dr lo EL. tenips nouteaux!.. | vie AIRE & sean PA joire Elle Linent à Parriore el c'est alors que, | maison “sur laquelle le sous-préfei nt Cae “in 
déc gompteslée l'piitrén ut peuplé [UE pe ti we dierc er le: illusion Ge CL, selle le veut: d'une volonté dé- n n ns À el 4 lrersaires que à où ils se sentaientiies -pius forts, |d'Ebernay à les Feux, auelque sou) tholique nt; 
dés, Féforffies “ane Les “Houvrrne dont ke Rratent Wilde consgieit ! MOTTE infrnngible. eur elle ‘sail Peu fe el ds eu TRUE ol inipuis- its se sout aharnés CODE des ci que lai dénne Ltèche;de reb: dt - = —- Fat 
i Hientst des Rééphrre au OTHUS 6 "es CASQUE Célles t'diconl: QU “sur qui éf'sur oi S'appuver., cn cs pe our. TRS inquiétu- Prune sur Cenx sui étaient lei pit tir les: villes et les. vill ages détruits in ins une Jétlre ‘les PP, Rédemp-/"# U# 
: particuliers Lasée of? électoral: re : ui Lont Jife: Jé’ viotis préjugés | di File n des chefs religieux, ar RCE défaite Le LUE unille a EE 4 ée. au 9 l'as per ki guerre dans son arrondisse |loristes. d'Espagne à leurs confrères” ! 
i confinent Swii-lit ee qu'il Pi “iv “soil plus de anises Pespyit nai 0 lo de ou orthodoxie, Je _vons Je dis Mééiatistes à ARPRPRITE Gt CET UROIRER rEES 4S- [me IC, à Îl écrit au maire pour qu'il d'Olwa, pubtié par Le “Droif”. 
: soir, coment opphrofonttir: HE “cut plus ètre restreint dans es | netint ue nn ehefs'eivils pour son jiupuissants: Ness avez pas d'atra-y SONIMICTES. ‘ Piiforme ‘des. conditions dans les-l5ous disons: ‘ 
les questions vitales A8 ae Hi pas À inités Fun convention ridicule: t ae vu #jiviln, | | | cher notre foi de noire € doce ur Vous D Age Champavier cet he sénéral de quelles une ( “Gngrégution reluietu- | “HO ne-faut point s'étonner des 
Dans” ect ordre Lidées, la lecture | es idéns ne supportent plus d'en | ie 4 surtout un progranuie sûm. [êtes trop petits, trop éphémères. Castéhian aviient donné “l'ordre se est installée au château de Dor- uitaques incessantes de li presse” . 
est pas ceulrient bn Passe LPS AVES" à pue: oùr } fon ne Lu plus couper un attire que les mains vides de [très strict de ne porier auteure ar fmans” Le maire, avant vblempé- laussi bien-européenne qu “aunerionte 
c'estun deveirs î SC st un isonnement stupide jeRCreuR € Le 6.42, nuisque. ce pro | Et: d sotiabsant seront impuissan- lex cl Pésiter même d'avoir des ré, comme dit Pandoïre, a recu uneine,senr ces attaques ONE anus 
Tout. its, “ue “hiL Je jeun | fe esfnitt, Non, non il ne, faut | SEMI cs uiquuement religieux, tes conire nous cl que le régime de j'canncs, lion n’v fit ‘Toute une réponse ‘où il a lu que “P Instigut inanqué Torsqrit s'agit de lPTrspa- 
;homine qûi ddépuie dans uné-ear À jas tout lives nous, devons, au çone Soalevén # . + au Fi matonnefit niveleuse nous Sera | tourbe révoluliontire —  Granuers, [des Missions Etrangères étant lo- pes surtout aujourd hui qu'elle 6sl 
ritré il fui reste louiours LUE aire éviter les ouvrages des “au À Le: oulevet Di ous COUT e sttii pas pargené. | repris de justiec, He du peuple, fc cutaire, répülivr de Linneude, en luouvernée par un régime exthraor- 
cho NOR EETTE pendre: { doitierair Leurs connus pour leuÿ licence Le à € fe Re a done a direstivet CAL fan au pan des var communistes DeCupait les ques pee selon $66 conven: uices?, C'était dinaire semt- dicttiour el foncière. 
dre de laiiser ss: aettiés se rouit Lieur mépris de doute loi moraie, ‘le oreee bal llementaires d’eet-Vilaine, ‘affine et encereluit le thédire des Nalions, signé du: supérieur général, Mer de; ment “ulholique. Les nations, Où 
Jr où partictéme nt éatrephie: J faut tenir: bien eomple du plus 4 . c un pa avai devant sa Dor- me fa volonté des Franeaie de dé Elle étail armée de eines plont- Cuébriant. Ha fait résumur Pinei- | plutôt la paidie malsaine de foutes 
Si ferme à jaunabt ses dévres, Lou moins de culture que nous a nee Face (3 je “it . UE ANA fendre jours libertés religieuses. Dés sde matraques, de revolvers, de dent au Bulletin mensuel de son iles nations ne pardonnera jamais à 
Pinstru ction drequi " vendant le ons reeue: car une intelligence e!Lienne, nova balascr devant al “En paix relieicuse ‘que nous couple. poings américains; cit ei lugfe-Sociél {ë! PÉspagné d'avoir &é*pe ndant de 
années défaites risque vai, de mètre | cdairée parure solide instrution oo dire el le . Jvoutons, dit Pancien-iviee- “président! desecllsit Les pavés où brisait | La Sociélé des Missions Eltrangé j si longs sièe les Le champion du en- 
qu'un cenilal ani placé, Si laie À vermel de mieux juger la leur Lie el Fa ï qi F raetun dl evri î du Séual, ne consis{e pas - en des fonte les bouches d'épout pour [res est un sémipaire de héros; des Liholicisine el'de lavoir, seule, ane 
de de côté tort entreinemin. intel À Lun livre etes dangers qu'il pré Lignée RS inter Sul qu autres mots que viennent nier des fails sen faire des projueliles, Si le mai-| vétérans tels que leur supérieur sé urRU, CONSCPVÉ dans toute l'in- 
éetuel, il verra bientol-ses talent sente, D ovuibilités inédite de ses Leone ls SUHDÉESSION injustifice de ne dont on avai Si bien entendu Enéral ‘sont des doux inais aussi des légrié el: Pintensité des plus beaux 
s'étioler, sn mémoire ce faire plu {  Outruite bien légèrement Fin. 'nelles d'aclion édiates él perso! Pamnbassade au Valican et les mena- cinpele était absent, plusieurs con. | forts; ils eh ont Lu d'autres que les fjours. Voilà raison Ues attaques 
paresseusé Ci 84 conversation le À dex, en certains miruus.  Pour-: Gi aus foules Los . h. tees dont sont l'obiel nos frères d’AT- sell urs municit aux se’ trouvaient enquêtes dû SOUS préfet d'Éper- {dent le Gouvernement Rivera doil 
viendra vie baaale et sans intéré | avt ge n'esti pas une‘chôge dont, cn vemplit ec ave rai char {sace et de Lorraine & qui l'on pré- lit À ét QUES bandits, nav. satijourd’hni subir les couns. Mais il 
Par gn'ben livre, une-revue-hier Fon peut vaiiai faire 1. Es bientôt eus: onidi ni N Nos ei tend honoser tn régime devunf Tel vint h "de ds ile Si ieiérent sir NET jartive à Rivera comme à T'Estise, 
pensée et bin rédinée, des jour }ie fait rien par caprices est Dar ipa masée saine Laure us pro EC ciauel, le Poche lui-méme a reculé. un soupe de rat! rss ot des ot, L'œuvre de Ferriot qe Padversiié Le rene plus fort oi 
maux céripux el Penseighés, OU e.qrelle peut memjrer Le mal fuit! ane conscinnre de Reste MEME TLa liberté ne se donne pas, cite se Lu Maierent as chant de Vernet , Ti ns viaourbdire:-hralgré ces Tuners 
pouvons loujours « tre Lonis aû cor \. sur dles tivres à fendanees ipiens, Elle n'achèters ‘ ue us urn: pren, Nous la prvegdions cute NT Î cuis ils curnèrenl le thé. La vuici en résumé, préseñté | ateet finis ORRTH courent toul À 
ant des idées et dés faits qu il fi; 4 rest préeé qu le sait Pocüvre née à elle, “saehänl au, eh je jun rx que sorte, à,07 importe quel bris. dtre pour É ARS OX T de Roux eau teur par M, Jules Dorior., lestour de nus sronticres et qui 
opperfin de connaitre, Le- joùr Î vastes du Aoute semé dans nb Ale. lres, © nl ‘lonper À ae Me. t i 1- | Qui! oui? sécric Pimmense au- ! N nm un, a hoflie. port: ils nftir- “iT S'est ncliné devanp les Afle- iles. passent quelques fois notre tr 
“ral où le hr 6 pous-Mmettent en-eor hr des dignes suintagtee doute par des rartouches à TES matin, | diloire qui acclnnedces énergiques holi ANG PHASE ICS, STOURES de ymands. : | gouvernement $se trouve louiours 
, tact direct avec es modification "ouLES icurs Svhgbes, c'est pour cui EL par autres. I “ente nds Je: nn | déc laralions, : # US re 1e u dinsiants, tie “Il à envosé en Orient, pour Y debout, bien jeunc sur ses pivils, 
.\ qui se ‘produisent. incessammen À a que d'Eglise” défend’ a ivelure : vais et surtout fes neulr +5, D ‘ nt tr jen NS ee VHS ent l furent Des Lsuccéder. à un Gouraud elea un Sins cr ainte pour-le passé, car il 
dans toutes les conditions del'exis | le certains ouvrages. BE cette dé mauvais que les maonvais Fu ET: faut .que lk° France * ve’ ge. Fe he “ wi ï “ it RU E COU M Wevgand., le frinemacon Sarrail |est conscient dé kx bonne besogne 
NT Etetest var‘ fes he eu! énse est lornrelle: “ceux qui pas-!" "Lo verre. n'est pas srapd, mais b d pierres. avier J'ut, assailit à COUDE EE nn, dénéral, DEN rafcarvi pour accomplie, esans- crainte non pis. 
le que ce cantac! peut se l'aire ent outre “chargent érellement: le boira dans son verret orracse du gouvernement Las ineidents "de \nrcoille incompétence, notoire durant lag Pour Paveuir, eur it compte sur les 
Ce que nous disons pour l'hon-Ÿ çur:conscienee. On l'oublie HUTE - LE ‘ de- la franc-maçonnerie sé l bic V h s' bte greil e vol grande guerre, capable d Hetivitel suffrages 61 la Die aveillanee se tous 
ie est égälcinent vrai pour.la Fem | acilemeul, ‘ | Touiours sous le souffle oui pae- CT PR a (lune in erpe alion en 6, de: site atégie sürtout coatre los les gens | ile bic - - Golte Mabitié est 
me, Noté. mission, plus modes | Mais voici que, notre causeris ourt lepays, a masse devient Fié- “Qu'il soit. bicn entendu écrit! livre PÉrmile, dans lt Croix méines el les églises, el qui sf en |#i:vraie, que Poi ne voil pus Di 
‘te tout en: ‘étant. ki plus sublime d irdiment pr énd des allures de vo en pensent. qu’elle posséde in | Gus: ive Her Vé, que Le “jour Le no- Lcomm nte k " à à ri HUTAU voie de débrutre au Liban le bresti- qu: “utjourd hui: la “possibilité d'une 
toutes, n’èst pas purement phys! | ours de théologie ou de didacti- Credo magnifique: ., un idéal plus [tre vicloire ver a la ti Eu Mu ouvert TA ès es réval svencmenls ie. 40, dont lt free x jouissait dec substitution . favorables quoique le 
que. Cetté imuternité pour Jaquell |ue par correspondance, Notre su-; magnilique CReOre. h nement de la frane- mue dnnérie sur res, ous Sommes ANR Dane [PUIS 5 croisudes, [désir consrimment exprimé par I 
Dien mous a faites plique Da: |'et nous a énbrainés-dans des sen: Elle sent que “eroire"-n et, paslce noble pays que le eatholicisme l'immense collision Où dont ce quil, à rappelé lous ceux que I [UE soit 'dabdiqueg. Le pouxoi ni 
seulement Je fait brutal de donne. fers que nous n'aurions jamais 1 seulement. vne vie, mais encore ne lave dt placé, à la fin du XVe siè-| ne croit pas ve ut anéanti out Ce QUI T patrie avait dù exiler pour SC Site de le-remelire en main dun SOU 
le jour à Ja génération prochaine À eg devoir parcourir. C'est qu'il: aristoeralin, car ‘on ne vaut quelele, à li tôle de l'Enrope el que la | croient Pre anéantir Ceux quil Ker de Fennemi, cl commencé de | "émnémeMseivil qui en soit dise 
nous. devons songer aussi à CC LE onferme tant de choses à dire ‘Dar ce qu'on croit, “udic aille a réussi, cle, en cinquan- | Ge sônt les deux cités chasser les religieuses: 6 Au ‘suict des liches contnies 
maternités mor ales à ce devoir in | Résumons-nous bien vite + ent Jaflis, cette masse rougissait delte ans, à faire désriñnsoler numée | Cest, hèl: is! aussi le loup et li SH travaille ha faire perdre & lancées par. Tbanez- COLE" P'ESpe | 
prescriptible el quasi-divin-de fé EShrases coneises et claires: I faut! Et Groix, k ' riquement el'politiquement au rangl encau. cu LOUP COR LErance le sent rane qui soit digne | Ant et son Hoi, voifi: li belle els 
conner l'âne, -léscéeur él Fespri ef Ge lire, on Le doit, c'est néces-}. Aviourdhui, elle Parbore. de nation de second ordre. À" Toutes autres explications ‘sont d'elle an Vatican, le premier: êE a- Éhrétienne. réponse tai Bu, “FPSDRe 
de nus, chfants. :. Comtient NPA À airecet c'est agréable, Mais on doit: UE Lu crois au fumier? hr ° vaines. St xplicalions s Pan avoir ‘ôfficioHoment. reliré. FE ne n ag n e 
vicpdrongnous Sfnous EUSssons no À mn U . Moi... ce : £ Li | se + Lu victor Pambassadour fra Feuis GULrCS ‘ D) à i L À “ 
plus nobles facultés” S'entiser (tan tons. tit a DAT nes Si ML og a rois sx Nains join Un Congrès de la Ligue À- alors Si nous foutons exister ape, ih s'essaie à bréer un a nl t-il ils à me srévilier pour 1e Bien 
la routine matérielle? Régle aënc yier, un, outil efligace. Au seul [ot Dieu infiniment beau et benLs postolique . à l'existence, c'es,” fatilemént, Et lacre ambassade en tichant.de de PEspagne er: à Amour À ven 
rale, en otre paye, a ee enr est et T oint de vue de li jouissance in- le rois que pas un oisvau ne Loin | ne DURE faire entrer un représentant de PAI poste si fe givoir exit pur 
mépnie tanins Bi-sorvante au lover k. à do APT à se eu |: re St n vi . OR 0 © nu sh ", A accbLorraine par cealior ser: dl € HRITOTENEE ile 
si ce n’ ee pas absolument UC qu. dir area Les VS am du Pi ni terre sans la PR erolst a T IE Comité Natiopal de 150 Meses tons n 1 5 _luës el. ec, ECRIRE pa Fes calier de ser ant dé Blissé Hbinez, Dicu veuille 
cuit la sotipe et fait veluire-les par, nes: OH. Juênie tenips. qu'insirus- ‘ 4 | | imposante Leu: RTS local Te puisque dé Fense voit ue fai le nue “Enfin, pendant .que “toutes ‘les qu'il se convéèrtisse et'aue sit piunté $ 
quets, c'est ele gui doil-toir à tout” sente RU Un DO TEtre est sale | “ous Jà Souffle sans rouen gene ORNE t Dit pion. a dut ec: t es RE AP POELE ae par aux devises iles pays sutopéens teñdont qui distille hu venin puiri patrie, 
descendr d'a l'examen de:fous le aires autant est dansé RTE celui. .dissant, Li masse s'aécroit tous ls | lu denue d' sas res érandioe Si les 5000 catholiques de are à se stabiliser oi plutôt ä.se rap éerive nn, our des pises plus de 
dél mis di terre aterre amotidier ui est mauvais, 1 faut. suvoË en ‘jours. _——. ne lée au début de Phiver procl in. Lalseilie avaient cu, chacun, leur re-| Procher du. hair, ce fre ane, baisse dre. PeRE Pexaller RE 
rats NE à LP eue cela Se 1 1. Pivraie dur bé rain. voue, rie adiViduelien HE Ligue” Apeslolique a. Gé aprouvée | volver avee “Six balles, alors 30,000 SOUS rte on su re La: 
ent d'ébre nourris el Conseien Et voilà ue. _ SE . cnnis massivement. eloment Ppar les Papes Benoit KV. et Pie XI: ug touches fouillaient les rangs des “RP € ' | Séssic n° cniérale des Confe- : 
cieusemeÿt débarhouillés, d'être vê. a. SLISR, Chaque jour. en France, elle ae elle jouit slu palrona we de vingi- béta de el c'étail la première, 'auvies en ants. a .gé P L; 
De et sobnes des leurs tnladies À2" #7 . VS TN EN PART PENSE ete sepl ei ardinans el d A gran non- allé de là plus friste. guerre qui ee rences, de $: Viñcent de Paul ; 
À, mesurc "qu sx ançent dans le. L'Eglise ‘seule. pourra. sauver. “aient ou d'antres qui. “reviens et des Put LAN RCE RUES sav aient . suisse. RU suit a un E ë ulaire 4 
TT LOS ge CT x “hr po *e # 6 , : 0 D , ue comen: cire i Le 
rte juive de — l'humanité En ee qu NL PS St RE  aHlhe  So  daplee LE enre se Fot d'eu |rsg  n Q 
: nie \ a pa ip ! DECT e tels, à Dieu © QIS : cop cuse- mêmes: . dônn des ilérences $ de..S.-Vint- 
velopp( DU mou Que Le Hp ‘humanité: devrait ‘plus “que | Di CT DE surd'l des: : {Jésus-Christ elle Paul instaurer mot profité, . On, a rer à Londres, ces ‘iouts donnés. P at añs Je monde SN 
! ourd’hui des né aphytes dns toute société et dans toutes les D'ailleurs, en.assommant un ca derniers, le numéro de Noël du \:de Vergès; président. général de Re 


4 


; Lire cs 


7, Hiveau D 


7 es un" 
èf CLS ’ : ‘ 
“ ES ts e | Victor Hugo. Le peintre en. âti-! 
a Ê .€ on , Le 
 NéLire + ments een DE de ne pas Con LE» souffle passe 
CR Jnailre LE critiques de Jules Lea l 
ot cine . tre ou Foeuvre de Désiré Nisard, 
qi Faut-il Dbil:on: lite? Que La femme du manoeuvre, mère de "Un souffle s Post élevé sur la ter 
. oi , 2 dix ou douze ‘enfants, m'est pas te-lre de France, . / 
Tr pois fi gros Points d'interrogation. nue de discuter Ihsen, Schopen-| Ecoutez. 
d'stre ao DES ut valent | hauer. où Niezche. “Tont de méê-7 1j passe! il passe! "é 
“discutées,. Ceci Po à ec £ Ds s un ne nn . 
‘ forme.un $ Ï “mé, si coux-là conuaissent les tys- Soutfle lait de mille choses! 


bien “iotég 


PACE doni je saisis | tères de Paiphabet qui leur dénic: 


éégure. Où pren- rade .droit. de. lire, soil pour Sa {souffle montant de Bt terre encore 


déchirée des chainps de bataille", 


“draije J'édi ele trniler un su NO 1e questions dR jour, soit pour 
.& aussi Épÿa AUTRES Dans ma vô-| rpaser Jeur cervean. Fatigué par souffle sélevant des Lombes racer 
ontt d'été ti fe stiVant-mes hum-lle tracas toujours Pbarcil. qui fait tfle fait des’ininstices et dès per 
: bles moyéhse d'aider, de, mon qé-| leur. vie quotidienne ? Dans ce) EE utions. ris le PESL. ha. 
” vouement Étoutes Tes bonnes cau-| cas, "St la lecture n us pas indis: jetant re its Pindisnation d'une 
ses. C'esbquand..mème, un, diffi-| pensable'à ceux qui s'v livrent, elle “l Vince trémpée.…... de toute lan- 
cile progrémme, : leur ést une détente, une récréa- iété d'un Dats ‘qui, de nouveru 
Faut-il litre? pôit. on Hire? . tion, ni amusement, Soit le Fhin S'CMpOUrpr ‘er... sour- 
Oui, Cefles !*Eest une nécessite | Con nous améne tu cote riant | le de la race qui, d' instinct, tend 
. Si Pon voilf Cu HE vET sen intelligen: de la -questiun. vers sa survie. ..? souffle de par- 
Sete du 1e po la Les “Quand ca n'est plus uné nécessi: tout! 
“Hire he vilté de ure, ca devient et ça demett- » le s 
vacité de Resp, assurer Ja. grace) pe le plus aimable des passete ps. si” 550 Je souffle. gl va à i il 


* de lexpreftion et lintérét des er Quel charme on 
. tretiens cure 


& 
Pal 


public. 


La lecture a ses gétracteurs € 
ses’ défousgurs. H'ancuns lui attri- 
buent des étfets slutarres: ils on: 
D'autres a proscrivent e 


ruison. 


la, rendent responsable de maintes 
désastres HHOTAUS ; 


i 


à fait tort£ 


t 


plus puis 
cher pot 


aider dans eettr ardents. commeaux premiers ‘siè- 
tâche aulune “bonné ët saine ‘ec ur Chrisicet à .ceux" qui: MQUTHr. eles,+ Dos énmmunistes frappent 
Je.rôle de cette | ‘ent pour propager: ses ensçigne-| pour: + entrer. àe ln pole, des 


ture, cellé qui-iou£ : 
con fraidie 
sur les 1fntes 


maison ? rs 


anes, ne 
.disnensa 


prit: res 


sHnces:. 


utilas auŸlabeur: ET 


Vus 


avantages d'une -Jocture faite dans 


1°” ons : 


une. bévessite. ‘en, mère 
tombes qi "ane ‘forré: aioutons qu 
c'est lat ureffienee dés: gyimnasti . 
j" Der 


se” ranir VALLE Hominn : de Pes : 


goûle, en effet, 
À parcourir les pages de Pauteur ta 
vori ! Que peution deminder de! 
plus reposant qu'une bonne et belle tr 
tectir e?: On entend dire: parfois: 
ja nons ennuie ‘de dire; ren ne 
dus endof{'phits sûrement.” Pau- | 
jres gens ,Œut coux ‘qui partent ain 
& lis n'ont done punais compris 
‘Jar pénétr ante-beauté d'une pièce 
de vers en fnquelte palpne Lane 


crie. Là, il explose, 

CAE LE D 
Chaque paroisse où il V a un pré. 
ele sent frémir..., crier le Garde 
& vous!... à son clocher. 

Les ehféliens, hier poussière dé- 
daigneusement écrasée sous les 
pieds des Sans-Dicu, s'organisent. . 
bntin 


Or yanisation 


intimes et avec lé 


‘is n'ont pus toui 


On ne peut nier le 


.. mol tant de fais 


amais: reconnaitre ce. qu ‘elle: doit 


Grands Séminaires: Cest: Vous, 
ai avez Jes. paroles: de la ‘vie éter- 
nellel” 
= Pourauoi, vous, Bielon:- ne vos 
Per vols pas avee nous:.? déman- 
dait bu jour Je-sous- livütenant Dé- 
rontède à Renan: 

Le vieux sécptique. sonleva: ses 
gl HOIVE paubières:: . 


mènts, “Le: christianisme; qui ‘a dé- 
Ye. l'humiinité do ‘a, * harbarie, 
adutra seul encore”’la sahver, : la 
és server des dangerÀ qui da: Amen 
Ént cet” V'afflisgent ‘+ Au, milicu des 
fhtories . vrronée s. et. pernicieuses 
qui en. sapené: Îles: fondements, Jui 


(QU ‘tous «les jour. 
qui embellirant. LE 


, M * 


ñ 


La lecture est in 


QT dont let ravai” 


LE PATRIOT E DE L OUEST, Mercredi le 11 mars 71925 


LE AIVPC-SON CHTIFLTE vis | 
it! 
LT 
Poussière dhici. 
Masse formidable 
masse crovante..,, niasse aujour- 
d'huiérginisée,..; masse où, de 
paroisse on paroisse, ‘on se touche 
enfin les coudes... ha 
Masse oùt circulent &t la tradition 
de la race cF-Pétertielle icunesse 
de PEglise, intass: ble OHECETOUSC" 


ntpolique..., 


de tous s65 adversaires... CoiM- 
ment, sur Ja terre .de.Frarice, 4 


gberas-Lu ta batailtei, 7 E 
La gagneras-tu par tôt Seul geste 


de bon géant qui s'éveille? 
Je ne le-erois pas. 
Faudra-t-il que, Dieu te remetle 
sur Penel@ne de la souffrinee pour 
te forger. .., te cohére encore da- 
Vi nage. ..? 
faudra-t-il mème Qqüe ton sang 
coute comme tant de fois, an tra 
leo des siècles, il a coulé...” Ceci 
est le secret ‘de Ja haine et de l'a 
mour..., le secrel de Saian et de 


Dieu. i 


k# 
Mais, catholiques. sachez- le bien: 
Plus vous serez unis. 
Plus vous screz disciplinés. 
Plus vous serez en haleine tou- 
jours... plus aussi les autres hé- 
siteront dans! leur offousive, 


% 


instituiions publiques et. neivées les 
Brincipes de vérilé: sens” print 
bes de salut pour les nations. 

À Poceasion de son-Cangrès 1925, 
se imellrs dans son plein jour, cot- 
je “affirmalion incontrstable © qe 

Faboutissant ‘fatal ef nécpssairé du. 
régne nos prinei inus. amodernes, 
est le désardré individtiel elsnei A À 

La Ligne Apostolique ne. fait pas 
da politique; Nnié. ne 
iadisot pns, de faibogss 


de 
; 
“ennnail. 

dans LES 


een inaintient à son, seul, au milieu : des. ténèbres qui : done hommes 1 France. se plie ion des péineiniè sAlordre, qui 
ETTP | lé Toids. ‘te connais l'aveuglent,” ui” ‘soul pourr à lui MIQFE. © pe troublez. pas son Lu sais peuvent. nous À ue a: 
rnfonmatio au, d'idé epontier ta route. qu ‘elle. doit suivre, CARE Lo TE re s de RC ELU DT ésent ni voye 
On: v'étend nas: A Dindters du” sa chséiger: ès vripaines durent tt Fils Pate le. Fehançlet | à LE 7 
houlanhd} la corûne d'acrer d'un ua soit” rôfes set SR pratiquer" -  lorgin, “ghgnait “la ‘+ :bathillé:: É de pi 
ED: DAVID. (au.soir, de: sa vie). ame re Be VE 4e js bis” pans s Tan 


ire" qu +Sache: tous les Vers: LE | 


Î 


$ 


/ 


LOU 


à 
| 


ner ee mme nee ee 


DS 


memes 
sumas 


a 
France ct de loutés les colonies .. ee 
dans I ealme, le dravail el la priè 
re, intansifiez votre vie intéricure, 

On ne donne pas ec qu'on na 
pas, €E vous devez redonner la vie 
à eus foules irompées, sur lesquel-| 
les pleurait le Christ, 

Soyez. done chrétiens, non “poli- 
tiquement, mais chrétiens  pro- 
fonds d° intelligence et de cocur, 


EL puis. .. 


s 
0 


tholique, Je dernier des repris de 
fustice avait a joie. -de: pEnser qiril 
faisuit pléisir d'la riuiorité. 

Si vous aviez vu, avant hier, ? à 
Chambre, s'esclatfer les députés « 
eauche:.. el, :‘conime, 


la 
le 


v ivement, 
! 


3 
' 


Firterneil: tion. fut. “a fa 
sue”: ' 

Et Jours ‘jot&rn minx !, : Quel: prit 
ils ont dépensé. à “hanter la ‘der. 
nière victoire, de ‘ionsienr der Cr. 


! 
li 
} 
Frères de Ouslelni, général, inars 


r on ve w ée: 


|auis'el “apôlre pays des, Cia 
eaux... 
ès chameinx, c’est noû UT 
“Pauvres catholiques! à où seu: 
Jtehtent oi VOUS ASSOMME et où | Vous 
“line, quais mere de rire ‘dé 
Ajes -tadavress © : 


a 


OGDEN’S LIVERPOOL 


Mais heureusement 
songe plus à lheuge actuelle à°bat- 
ire ‘on retraite, et se terrer, comme: 


rompu 
en 


ersonne ne “pour implanter l'athéisme 1 
otal ef 


révolutionnaire dans lPâme des pe. 
tits, En exergue à l'article, il \ ; 


LLA 


di 


jadis jux Catacombes. . [eetle devises A mort tous ‘Les 

Le-Journal des Débats, écrit en Moines, tous les rabbins, tous lus 
ceoutant l'exposé des faits trop Cor: Papes; Nous gr impérons jusque 
ltins, Je gouvernément avait, mal dans le ciel :pour en chasser los 


gré. tout, un sentiment-de gène. 
était bien décidé certes, & ne pren- 
dreaucune sunelion contre le mai- 
Ave, ni contre les adjoints, ni coptre 


les organisations politiques, ni con- 


journal soviétiqne fzuestia, Pargane 
officiel des” dirigeants bôle hovis- 
tes de Moscon. Sué ln couvertur 
de “ée numéro spécial est “dossiié: 
un “bère Noël” qui ‘un ‘soldat 
rouge, armé, d'un “tait, défend. de 
pénétrer en derriloite dé lÜnion 
des. Bépublis iues soviétiques. Puis 
vi cn ün' cite de Noël intitulé * 
Noël: sans te Christ, dans lequel 
on explioue cite’ “a spléndeur de 
ae Hoûiv ile éloile “rouge qui see 
-Hovée Phst" celipse loujéurs. la 
fade: étôtle de Bolhléem”s Te - - 
Mais ‘bicn plus. ‘signifieatif que: 
re alléoories est unonrtidle. tie 
és Saint Pionnier” et dédié aux 


| 


fan ‘enfants qui font partie. d jure. Ligue: 
|sommünistoirée emmlent icodétituée- 


Le 


“Pie.:X 


frères qu'une session. 


-dé Ava: où 


“Papé 


"dicux." 


L'article insiste sur la nécessité 
d'un vpscignément primaire privé 
de toute bre religieuse si l'on veut 
que lc bolchévisme S mplaute de. 


À Päris. informe ses co 
générale ‘des it 
‘conférences dans tout # 


licu à Rome, sôus 
à L'ocension 


n du MOIS sep 
juin pro- 
cordiilément 


Péeuvre, 


tlélégués ‘des 
Punivers aura 
Pégide ‘du: Saint ère, 
dé Paniét, sainte, “à Ja fi 
dau COQUE de 
“chain.. M v. invite 
tous: ceux hcaui le vovage sera | DOS" 
Ces srandes ngsises du” “Par- 
anité catholique ür- 
ation de 


sible, 
lement: le li..Gh 
saniseoi Se Pimmortelle fondation 0 
Frédépie Ozanams ser ont une Fi 
dition splendide de. colle de. 19 ï 
air débreit” UT CM D présidente h 
plus: de douze, cents" roufrè- 
res dé MES Vincént: de 
cire DES ubilé 4 du vénêré 


Fontife.ty (2 


. 
sup 


X 


tien] 


! 
coll 


NUS 


Paul, pour Ce 


7. 


_ 
LE PATRIQTE DE L' OUEST, Mercredi le 11 mars 1925 
Hi PE nn en ions de cn 
Fe peer pee rt rp _. : 
= po ' e-tène a de ee Mains ml ne Re A + dm naine Eeemmemeremes) 
je ° $. 
À “Fleur de: Lys Le nouveau monastère des Soeurs) Pour votre > Santé 2 JEXPERENCE 
connait votre caractère . : 
É D CS CO ETETLUL Précieux ang à 
A sert | vous devez es ce au PIE RE Q 
! ‘il à D) 
; COUPON : _. . _ | a œ ù y à de mieux RIE NE 
É » nstitut des Soeurs du Précieux ] Rom | 
: L e, elle 3 appellera ensuite ses , ® 
É -DE- ge Apt sûs gi Hyacinthe au {filles”, Elle ne pensait pas elle- Lisez coment telle a été - £ 6 jours pour l'anciotosse vis hi... 
É GIE MATE feu Se à os DE Taroce de meme peut. être si bien dire. Le soulagée par le Composé É + Plymouta 6 
: GRAPHOLÔ et par” une ref oseph Larocque, Pêre franciscain canadien, par une |. Végétal de Lydia E, Pinkham | à S1vous allez en Prance, pre £ 
E More Cather siege canadienne, aftention dôlic: ate, vouhit profiter Arnprior, O “ f nes un bateau qui vous y 
5 TT 573 |dont À + in uraie : Grouctte, | de: l'ocasion - pour recommander "vous räconte et ete fe.) à débarauern directement de. 
ë sp'LEUR DE. Tvè" we ne AO e | 1onneur dé. l'institut où vivail SA Soeur au votre rend e er piece avec à ln passerelle sur An Qu 
& Adresse: RER Ë mil a vie si élonnante, si mer. cardinal “protecteur” de l'ordre de * [une usine ss qi, travaillé dans vouvert, au Havre, à 3 Bee. 
£ ! Révi » veillouse même, ct surtout si fécon- {saint Er ancçois S [b incoe rois ne et je devirix res seulement de Paris. | 
D 5  ogaz rue Athol, ReRin de en fruits de salut, il y°a deux [Mer Giorai, picusement jé inence si épnisée que j'avais des faibles. | der | 
| € ! , É ent déctdé j ss ses et ct \ * L 
4 at , Ë , : étais foveé ° ! . 
D © on POUR UN MQIS à Rome, à “ombre du jondrtion x à quelques semaines. D lit relier ti 1 1500F moi au moins un our par sem LE France, h mars. 18 il 
= are 1925 Coeur même de la chrétienté, ? Fe Meg Ale. volume de la vie de es © plus - pür et Île plus scientifiquement Les médecins vont traitée pour El ® 2 murs, 25 avril | 
= 11 mars ‘ nouvelle “fondation”. dont Pinot to attherine “ urèlie en chagrin préparé qu” ‘il SOIÉ possible de se ro l’anémie, mais cela ne me faisait Pagoebots à BRe, classe Un t 
ANT PP MU pnt. inau- | ronge ct le noïta au prined& de —E ] procurer. aucun bien. On me dit de me re- . New-Vork—{luvre—Faris. 
EEE SEE \ pour 1e 4 Eglise, © Celui-ci en prit connais ssayez-le. poser, mais i S $ s, 22 avril, ! Û 
1 sn, avril prochain; en Ta fête de sainte [sance et s'intéressa À l'oeuvre, se mon état en pien les ne |: Men 9 mars 22 avril, 27. 
EE lus coupon de chantilon de mon écriture catherine aennes PATES a ses {proclamant heureux de “protéger” |" me RE EE SEE One À UE nr! 'atfectaient,. Qualqustots a p Gr 16 à eus 
| ZÆ Cum . s Ù “IisC » À: ! £ DNYIIR : , sse h HE DC #£ 
à aan pour l'analyse de mon are ncière, “eo Saint Hv DATENT VIS Lors a aison qussi js Augorattices du précieux | Cl venant à ET milles de la sta-p QUEBE LÉ. Mer LA Paquet n passais trois mois, et laEsqU'ET | ë ‘ Lana 6 HIArs, 15 ner} . 
ea ee cer l'oeuvre en 1861, el portera. en. itn. sun. nr l'antichambre même dugtion de Red Deer pour fonder unc{donné une confét ence sur saintes revenaient, elles ‘duraieut trois Ë Ro hanibe: lt avr ° 
5 Pants se parnisee dune LE Eltien, le nom ‘de Casa di Ma-|Fr: nal tiorei, voilà que notre | Paroisse; quelques colons arrivaient | Vincent-de-Paut à l'assemblée tri semaines et parfois, J'avais des dou- Ë cran G. mn Et avril 17 ' 
S Joe S demployer 1 dre Eatcrina-Aurèlia, La supérien- Den Can ’ union - rencontre {aussi de France deu près en mè-lmestrielle de celle société dont M.Ileurs si fortes au côté droit que | à juin, 46 nil. à 
£ pATRIGIT et vous prie, Fempieter ie re actuelle du monastère de Saint. [Fi X se pLe Ércole, curé de’San time Lemps qu'eux et d'une pauvre- le commandeur €. 4, Magnan est le jo pouvais à peine marcher, Je | £ La Savoie, 6 mai, 4 inin, 2 , : 
E paeplunre suivant, ce ee  Aacinthe fut proposée à us PAU pe esen À qipa, une paroisse «de té ne leur permettant pas d'aider président, La socittè a dépensé n'ai que 19 ans, et pèse maintenant B . juil . . , 
Ë Lu lusececee cilléres par le: Vénérable Ordinai- Valies is ( ans le voisin ce duiies missionnaires: ces mêmes pé-]près de S5D,000 Hour secourir Îles 118 livres, et ie né pesais que 108 ! & New-York — Vigo Cu)” 
; ; ms nm À e,cogme devant être la. 'ondatrice demander a C: Ar ” de jenait es POS sis a rendre des héme-lhauvres au cours de l'année, AN jai prendre por VER - RUE 
ÿ a ns it re nn L ! rer ‘ st ana «oc “uideristoads, à Les travailler ot trois mn ce tal. ‘ai: été maladive deux ans a Bourdonnais JA mars, 4 
M DENTAIRE laffivme d mremière dre dec cite Maison à obtenir un couvent de contenr- d’entre eux, les Pères Anciaux, Re- |" MON PREAL. -- La Commission | mes amies mé, parlaient du Compo- à mn ‘ ° 
EN SE mice, Que À ANR x du serulin ra-[p atives )OUr. SA Daroisse, Voûsinut et Forget, .n ‘étint pas encore des Ecoles catholiques de Montréal sé Végétal de Lydia 1 Pinkham Rotuisil onvril. 2! \ | 
ou sur fa conseiefiee, 4 (É ia ce € tUX, D'autres religieu- {devinez La onctio tord Û bligé 5 Wicite def ln Légisk Ù ù el « tispillon, 1 avril, "2 LES Nu 
la mai béfense et In signatuir. “es seront “êlues” évalome k à “jonction, qu'on nc ft donnés, obligés d'étudier teur {sollicite def fn Ggislature l'autori- et j'ai constaté du changement après y Le j 
pee BE bé D'aillents À sartiront avec | s" également, et [pardonne le mot, qui se fit incon-} théologie aprés-lenr Laval termine sation de négocier un emprunt dela première boutoille. Ma mère l'a | Ë Chicage, 4 juil, 19 août ET 
D'ELLES oie les barres de orLa Ducs tee eur supérieure «laris linent dans. Pesprit de l'Eminence, [sous Ja diregtion du Père Bazin, ÏS 3,04 AUTRE . pris pour d’autres maux et l'a trou l'È ae . 
‘Li a a Dour l'emportâl sur Îa Last, là ae ÉÉREMON conte. gas voit LE ‘il jous ue dite Le Père Renut-fat perdu pendant MNT AI, = Mme B, Atlard, vé satisfaisant. Je, veux bien par LE. d'Éurop S'Halita Ê 
«| pour € ve: ail cote en lui montrant fe trois jours en été car les hal ii er. de ce remède à mes amies. et | “urope 1 ne our 
‘ le dans Phistoire de ai ne | jours en été car les habitations [qui tennil maison de pension rue ‘ HER QE LUE : cut? 
Done est un mélange des tem. pa ass son cr sn el Don Er cote ei ana tout gurelies ctuient rs et matlar ë une équipe !eanne Mance, el st Setvante kuby Re Res Lettres sen infor- 1 Anentn locaus à PAlhort TS 
ED ja main : 1 , - * suite { de chercheurs à cheval lut inwou- Gallowar, ont été : ‘ é Mlle Hazel Berrdt, ensier . Géra . 
A rental et moteur.  Sé à ous, dL ns Phistoire du-mouvement [à être mis en relation directe avée | val lon, gt té assommees el dé | 700, Arnprior, O “ | Murs 
EL pérane nie t de \ i avée lvable, A la lin du troisième jour pouillées de lcur argent de , prior, Ontario, E W, A4. FOURNIER At uus,t,t 
E pe vst gouverné el grande de Papostalat religieux de notre la supérieure de la maisoi vie CROP CUS Manq ° US 
E dentaires! x : à : , aison premié. | il-apereut enfin: des bâtiments in-[de leurs pensionnair quor an jour pur semaine compte - var À: : 
parie N le si OA PAS Suter ce \ roue an Dar nVee San Ha Fans, ‘ CURE -dire{ connus, ‘Très heureux il $e rendit} mirent ensuite e au aux pre bles le re Si UT souffre de lui M ” ns s'sat AL ‘ 
k sirs, H : a ne à lt eo il vacipthe e cher P, À: mn e esse, idiquée nav l'épuisgeme {, an N rs 
tons el dû À A | D à hi cniaison, ouvrit la porte el a- coins de k | sement, ET ot 
pe dénote cle Lt visteut physique. \poslolique. " Franciseain ne se fit pas prier pour {perent le Père Bazin en train dé [les ompier à opelés Ha Ne sutions de fatigue, douleurs ol irrégue à 
dl intellectuelle HVeC UN intérê, Jusqriei, Le Canada a donné le présenter à ses amies du Canada, Jludier.- Îl était tellement égartitre locataire ‘et'un ASSAE " \ à. larités, recourez hu Composé Végétal _ 
marquis ans Aout ce qui l'entoure | ombre de ses fils et de ses, filles Sa Grandeur Mgr Décelles fpyro qu'il nc reconAut past 4 propre ha | rent à Lemps pour Dave fes Fe de Lydia &, Pinlchum, = : 
Jet impaisit, nues vif, j ardi Ux oeuvres d'évangélisation, d'e- ‘a le pro are clfusion. IG {hilation, mes les deux victimes. Ja police ‘ 4 | - 

« : sinie et des en Etucation el de charité, t » v- | Cecmnbre : a supérioure dd inttai Be io 
ane de Li eontreinie en des € É de charité, un peu par- [4e a supéricure dl an , Gt à 4 de en hu 
traves, Honnéète, ouvert, Nitis OÙ: out dans les cinq: Mlnier du mon- Saint-Hfyue inthe mandan # Don Er D: Ant Père Bazin “hé ième 6 mil EsEux trousses tes matfaileurs, | TT 0 1 Pensionnat de ttleford | 
méme Lnps diplomate et ne SAP [le Mais Cest tt pyémière lois, si cole ses conditions elle 15 fé | Fest égaré une nait däns une in | MONTRI rêtée sous li direction des | 
tendant ps por Pet 4 "on mn - ous ne le cher pas crreur, qu'un Na derniers les mesures étant L'inense prairie par 20 degrés de présid nl APR à TT ti vis a ! : on ces k 
voire fout ee qu'il di #4 une nstitut de ehez nous fonde une lprises lä-bas sans doutes nn väblo , Lans pal ent du Paci ique sanadien, ane Élson x x A 
Û bonne vision des gens CL derE ‘mission «dans Ja ville éternelle | gramme arrivait à S HVacintite HAUTES etranvi le malin à moi-fvient de 1 rentrer d'une nee ü to par de re | SOEUT 8 DE 1; ASSOMPTION DE 1. 
ee D eonressit, outre: À 3, ce qui est plus, il s'agit d'un Sinsteoncu: “Rome > Biuvenues, dé se ea ne es AE distançe [travers l'Ouest, I dit aue les. af- D mle French M SV, |. 
prenant, dite confiance suprême en: ordre contémlatits voué “simple. venez. Régler installation sur pla- de maison Moi tit parti Li [aires reprennent partout avee Ni "contre Vpilep- où tes élèves reçoivent ‘avec unell 
dui-mrme, et un er in magnétis À tent et uniquement à ln prière ta [ee signé) Giuseppe Ercoke!, Le 11 Î ues à Red'i gueur. Lui et ses compagnons S'ex- sie et, Grises. É éducation soignée, l'enseignement 
ne qu ini gagne des amis partout D 'imolition, Or il v en a tant de ces février, c'était l'anniversaire de LS HE à Red Deer pour so prinent avee enthéusiasme ia sue | Simple traitement à domicile, lus Dbréparatoire aux examens d ‘ta 
Ja volonté assez forte est souven Eroudvents où de ces monusitres de Papparision de | a Ste-Vierge à Lour in provisions duraient{iel de l'avenir de 35 années ‘de succés, Des mil- | Pro ince. ; 

: Le coctir cs des Toul eclas à une semaine el dutienl rés  fati- ne iers de témoignages de toutes Îes À ovine 

vobntaire et tenace, Le coc icuses orantes, dans le vieux mon- out cela, évidemment, € es Pants soit pour ‘es “hommes, $ nl “ artic de, Faites venir : 

bon, gros et chaud. Comme Con e, gen particulier à Rome, qu ‘oniirés simple. Mais, pour cenx qu pour les chevaux, € ar le ter ° QEPAWA. = Les ministres fée b arte su ie ‘nites venir Ja ÊL Attention partienlière donnée 

séquence ui tempérament molcour Jouträ bon droil se demander Con n-tont vruiment la loi, c'est fort beat, 1 \ RAS crraiu CTdéraus ont reeu une puissante dé. | broéhure gratuite donnant détails aux futures institutrices . 
ait tres. 'accidenté et le plas sou féurtion des. Provinees. Maritimes, bilingues, 


tel très riche de promessus, 


et un pet eapricieu , ee de ce , 
I al ent Pidée de cette fondalion ea Cent nv avait pas de chemins 


son humeur 
härmant et don 


adienne dans Ha vitle des papes Enanai dernicr La prenière chapelle” de Sle-AMir. 


Les curles à jouer sont la parole. 


e l'ordre des Franciscuins, en sé- [tion avec l'année de leur fondatior [-Pabord duns-une école prolestan- di 


buts, : 
res "angoisse ef les contradictior 
Forte dl 


ti cordon bleu. 
en me 


avec Lex petitssentants: où AVES. 


: QUELQUES LIGNES! 


4 


nee ee ane ne mans memes ee cent : 


né Jui ont pus fait défant, 


venue récluner un traitement plus 


aujourd'hui, ATOR .etonn 
a coute un princes 0 demain, i pu préndre corps ef est en train {ions à Paltention Dablique 1 Tan cie de"Fineliolirax fut AÉNIC UN pe: ns RH Ut, les port nés 
re des euments, voire MON e devenir. un fait accompli, C'est dation d'un mon: istère du-Précions sil mag sin que. Pavatse Tail on [éaten de PAtlañtique, Les délégués 
des cunseilé duves, si vous voulez Ÿ e qu'on nous à prié de raconter | Sanu en Chine, à Sienhsien Perche ruire Sur le fer clin Mes Pêres 0 élrenl lus nombre de _ sis. cents 
moi servis froils et à sec, 1. grand public, iv- Sud st). Deux autres fondation | qui lit âffectè- sux excreires" dn | pari lesquels ville ke Guebee "U 
La Providence, celle lois ercore, [après celle de Home sont encor culte lorsque.je pris un Bontestead ht ' | . lle ni qu Son 
les ehillres et un tour de naih : “tout conduit par Jes  eircons- brojeites, l'une à Edmonton, lau Pétais aussi présent. & Rod: Docr N ‘" NONQre e_ maire Samson, 
a mécanique, .TÙ ances. les ulus ordinaires en av-itre à Alexandria, Los Soours dr {in iménie Lexaps-que M. Ravmondl O'TT AWA. Lord Bvne, go 
Maintenant Les défauts? — ET arence, Une religieuse du Prés Précieux Sapg auront ainsi vins Denis lorsqte, le Père. Voisin one! vernour général du Ce Mn 
mon Dieu. quant an homme, n'efff ‘eux Sang-avail un frère, retigieux | monastères, dont voici Pénumére | la la poisse La messe lut dite lüne. eauserie à l Association can 


enne d'Artillorie, soutient que 


donner 


LIMA. Ohio, — Les autorités d'ici 
“ssuient de résoudre 1 


e mystère en- |} 


“ 
Ë 
ne 


TRENCWS REMEDIES  LIMITED | 


19 cue Adeluide Est 


À 


En 


COLLEGE D'ECMONTON ' 


Rl Adresse: 


SOEUR SUPERIEURE, A. 
Battieford, Saati 


Écrivez tout de suite à 


1177 St. James Chambers k 
Totonto, Can. * 


(Découpez ceci) 


Pengionnat Notre-Dame dû 
Sacré-Coeur, Prud'homme : 


: 


UN DOLLAR VAUT : ‘PLUS MAINTENANT 


pas trop oise, pas ion faible n 5 5, en rec l'année d 
ns trop l'ont. EE n'est pas loin Sn à Bone. uand notre livre [respectites Sainte vacinthe, 1861 [ % est à » : . 
me parfait. La pureté el'la clar- Uère C'atherine-Aurélie eut part, Toronto, 1869: Noire Dame dd de suis houreux de ponvoir PTT RAR con ee Dour à tient de ‘ ' ' Sask. : ns = 
jé de visinn de sédentaire lui font ou plutôt quelques mois après, | Grâces, Montréal, 8742 Ottaws | ner, ee témioieriagé aux Pères de dépls wement facile, <de rélérgnee dirigé 1 : " oo 
Éles entrevoir des ehmes? I v arri “xactement en uvr il 1001, cetle relie | 1887: ‘Frois-Rivières,, ISS9: Brook Ste-Marie «le Tinebobras enr Jeu: aux batteries fixes D DES ie MES Lu ae ' F * 
El erail peul-cire en arrètant de temps cuse envoya le volume à-son Fri y yn, 1889: Portland. Orégou, 1892 dévouement et Tenr abnégntion fe Le Un PERES JESUITES 1 Désirezivous donner à vas enfants 
En Lenps <a pensée vagabonde st ve qui .6l: tit très naturel, El “‘herbrooke, 1895: Nicolet, 1896 {rent vri dinent adinh dbles surtort OTTAWA. ün vien! dappren- …. €, agrégé EN PUniversité Laval pune “éducations soigiée, qu couts 
Sn parole Dir escalfenee- du hor “sait à ce suiet: Notre Mère for, lanchester, 1898; Cuba, La Hava fans les premiéres, anyiét 4, ; dre la mort. subite du sénateur P. COURS CL ASSIQUE bilingue, à ba- w études tel HALLE à detandé var În 
Maitre, pour la faire -ensuite pas, atrive egtre ainsi ‘ln première ie, 1902: Lévise 10D6: Jolictie, 1907  JCMCHON. LC. Murphy -à sa résidente.de Tige -fraiaise, conduis: rovitiee de a Saskatchewan? A+. 
Ar dans sa vies Apprenez de MO ondon.. "1913 2x Saint-Bonifacs, “Duck Le, Enish LEE, 1 devait se moliré 6h se françnise, conduisant aux de-| dressez-voiis. aux . religlensés: de da: 
Re je ouis ee éleesse. A GO em | 1018: “frinceAlbert. Se: Sient CT LR "e outt Je lendemain matin pour, OÙ grès de bachelier et donnañt nc- Providence, 1e 
el d'esprit aussi: Amen, ns maiades..en- atiendant quelle se | jen, one, 1925, et enfi [is a, pour Pouverture du sénat, LT CËS à toutes les. carrières, shéer-| "pire lé (rançais qui fe 1 
ec Po 'âticse un nid qui scra charmant: “dmonton et Alexandrin: qui se: Une violente tempête abat” lei" actuellement six : enats al: doce, droit, médecine,.ele, ., PNR UT ne 
CHANTEBLEURE,, La Lettre Een suis süry, cl reluisant conne nere à are: Edmonton, LH TA chêne de Charlëmagne. remplir à du chambredhaute, : É ASSPS, ON, CNSE ane à WAR b. 
le Chantenloure ainsi que.cinq au LP n sou nou, he hain: Alesandris en juin pre —— re 4 ren ‘ ‘COURS COMME RCIAL, | en “anglais, dessih ‘et dés tatrnx à HE 
s arriées dans les premiers et RE Une autre encore en pers Paris, - Le chène de Char Let, Ottawa. La delle du Ganada | tenue des livres, clavigranhié, ste tous gonrés, 
ours de mes VACANCES, HV ent .ête “ELLE S'ENNUIE, = S'ennuie-t >ective. . pe, vieux de cinq siècles, Pun-des {a 66 diminuée de, 84,275,156 40 nographie,, ete. Collati te ‘di ; 
Anfaties dans un tiroir, ct ce n’est He encore? E va si longlemps di Déja, en 1900, du vivant de 1 rbres Les plus gros el Les” plus. an-eours du mois de février, Elle ost uion de di-! Les ieunés filles désireuses de se 
Que dernièrement qieles-me sont} a! Quel prince chwæmant lui à fondatrire qui cst morte en juille siens de la forét de Fontainobleau, maintenant de 82412,196,407; soit plômes d'uffaires, | jiivrer à, La carrière .de Censklgne- 
mbées sous ki main en faisant ur Lait donc volé son. coeur, pour [1905, il avait été question ‘d'un |! éié abattu par une viglente: tem | rien aue deux wilions de plus que | DOUBLE COURS PREPAR STORE, yen trouveron Hans cefte ape F 
me-ménage, Je suis contrariée LE u'elle Fengural si fort, elle qu ohdation à Rome, ainsi qu'on pet Jêle. 1, Pañ dernier à pareille date, bien ! ion” éntiére facilité pour 6e: pré EE 
lu rer et j'espère qu'on me el ‘est pas une désocuvrée. Loin d° {'e constater dans Uhistoire de He | "Un granil nombre d° autrés arbres Loue les revenus ordinaires du pays, franenis et anglais, préparant aux fer qu différents aimes faq A 
wdanera, cle est active. adroite, capable. lre Catherine-Aurélie, {page 354 [nt Gé. déracinés. et des dois "de faient marqué une, diminution de “cours Classique et Commercin], cet 6 Va: cles sout donc q Li 
Cl vraiment reposant dexa À ienveillanie, enjouée, simple | Mais ee projet ne put aboutir, L { vaisog" ont élé enlevés Un DO Dar HAUTE, Adresse: Rév, l'ère RE TEUR n tout de, es partons saut i P 
hiner un graphisme qui montre u | roite- el: sincère, sensible et Len oridence eommanda alors ‘de qu | out dans le pays 4 : es FÇ cités, jusqu'à. leitr, treiièiné ns ‘à g 
ei belle combinaison des quali [ve Son imagination gracieuse KE Eccoir le se fait celle année, ving Plusieurs vaisseaux à vapèur get. TORONTO, Dans nn banquet Collège des Jésuiteu ‘ n du, Pour, (ETES tumples renseig ” 
hautes: luelligence, sympa | corte ax jolis rôves ot lui ovci Dans après la mort.de notre ’héro sont échouës en- divers undrois, qe offert au Conseil ennadien d'agri- |. : 5 s'adresser h Réséreide ro LS 
lie, bon jvvemont, constnes pré sonne de petites Lristesses quanc [ie Mère Galherine-Aurèlie ccitre | ‘is Dunkerque jusqu'à Biarritz, etteuiture, A Poole, président des | EDMON TON - - ° AUTA : eut, Pour 
rer. pafienee, affection : vraie Jui faut redescendre des nues. L'énait ellesnème et a inculqué lusieurs ausi ont envoyé ‘des mes! fermiers unis du Manitoba. à pure N 
Lurahle. L'esprit est-cjair,. cul. “n peu nerveuse, oi portée à la dis Lsus filles une vraie dévotion 4 | SACS de sans fils deme ein ‘de | lé contre le danger de la “oarteli. 
ivé, réfléchi et méthodique, Pas ssion.- Pas égoïste, bon: goût dans Loupe, La Providence ‘récompens eCours. - PR) sation à excès des produits de a 
sule ABLE ation elhez Chinlepléu. : toilette, sans Hinité ou bien peu aujourd? hui son instilul, en appe Près de Larockelle, qualre” Put ferme. LE stabilisation des prix 
pe Toul est pensé, calculé, mûr imante. et. enpable de se dévouet Tant ce, rncher fécond à essaime | nes seu enent sur un équipage ‘dé ne peut étre ciiectues par ls cui- 
is sa été avant d'en sortir, L'in | isqu'au sacrifice pour quiconque sur da colline du Vatican, la plus i lix-huit ont été sauvés. du vapeur | vateurs seuls; elle ® stabilisation |l° ee. Prix élevé du Grain. 
don qr'elle possède, jointe & l'ai montrera de la sx Dé athie, de lo lustre des sept! Aussi, quel ioveu mistinacRuedn, qui s'est: éehatié, | nème u "est bits désirable, | 
ne bonne dose de bon SORS, er gnsidération ri dé a générosité, Le Bsumn nat -Oh DES ch anté dan ep membres de l'équipe « de .S{U- Di « ‘ ; ï a : , 
ut Lie conscoitlére - appréciable, lénnvore avisée, cle l'esprit dé Lious les monastères du Précieus | "etape se sont uovés, alors que WFOUDSTOC K. \.- 4e L'église |f "M £ 
mn amonr modéré du bien- être | vouillard ‘et de la vivacité d'ac léine à Pannonce de la grande nou 'f Cur chaloupe chavira au momentie atholique Ste-Gertrude à été dés l evrait vous aire songer que le. chèque de érèine | ‘ést 
4 le dou esceplionnel qr'elle € | on. -voulant que tout" soit joli ct vole! ee A ils essayaiont d'atteindre de vais- Ltruite par un incendie. On croit l'unique assurance contre Ja perte totale au rtielle ‘de 
ide à charter en pleurant la aude “denné autour d'elé, Pour cout |, Comme loutes les oeuvres 4 “eÂu. | aue Le Fen à élé mis pur des fils | pa 
Jont jeune longtemps. Ki Chante: ‘téter le lout, un talent eubnaire Diet, celle de Mro GCatherine-Ai ra me LR Le ne ee électriques défectueux, Les per- th votre réco te. La sécheresse, la grêle, les. insectes cau- 
Pleure m'apparlenait, je la place Li en For avant lôñgtemps ? UE a té disentée lors de ses d ÆS. NOUVELLES EN : les sont estimées à X50,000 à demi fl sent toujours des dommagés. on , . 
. La Jondatrice. cut des he : conmensées par les assUrane es, l ‘ > 
Lil 
Al 
4 


UML, | jun de pieux fondateurs, "Mg nl NNIPEC. " ie cé uni 
.… - - ; LaBocque ct Mar: Ri al songé à municipaliser letser- 
es maux : dé reins fur ent bic: ntôt soù a NL ocque et Alat n ane | ce load des tram ways, I a dé | 
; 1] par le saint Mgr Moreau, qui le constitué ün comité étude, pour |} 
gÉS et mes forces: ‘aigmentées!, ail lui-même éprouvée comm | crue à-fond le problème, li ehar. 


e de Ja compagnie cont vssronnai- 
‘€ expirant en 1927. 


MONTREAL. A a. suite df 
remhlenient de terre un eommen- 
-ement d'incendie s’est déci uré à 
"a cathédrale qui a causé S15.00 
Je dommages. Une conduite du 
hauffauge à l'huile s'était brisée nt 
‘ours Qu <remparent de Lorre, 


QUEÉBE GA TA date du fer mars 
[ ést tombé né 1-2 pouées de, nei- 
se, Cesta-Mre un pet plus de 9 
sicds depuis ce commenceme nt de 
‘hiver, ° cote 


par une vue du ciel ef par le dign 
Mer Maxsine Décelles, qui mouru 
le ème nuit qu elle-même, elle 
palicmmnient ot fortement coutinn 
dans la voie que, le premier, ‘1 
grand Mgr Bourget, lui avait indr: 
quée comme él int la sienne,’ $o: 
effort persisle dans Paction.de se 
filles, qui lui restent attachées c 
Si dévouces, La récompense vient 
voilà son inslitut /à Rome! 
Puisse Je nouveatt mont istère ca 
l'andien de Rome vivre el prospére 
pour be bien des âmes et lhonneu 
de jÉsise et aussi pour hr gloir 
de | ’apostolut de noue cher pay: 
ln Cusa di More Calärina-Ai 
DT nous disons du fond'du ecoen 
le souhait des grands jours: 1 
uiullos .annos!. ’ È 


“abbé Eliecs. 


dit M. Médard P erron. 


:«p aieu , pendant plusieurs 
annéés, Doc aucoupdedouleurs 
de : reins; parfois il in "était 
im possil ble de inc rendre à 
inon ‘ouvrage et les crises 
‘étaient devenues si fréquen- 
tes quexje-craignais d'être 
‘arrêté de travailler. Mes 
forces avaient bien diminué 
aussi Quelqu'un ‘ni ’ayant 
avisé de prendre des Pilules 
Moro,ines xiatix de reins ont 


—— 


MONT RE AL. -- ne Dandufand, 
“pouse. de Phon, sénateur Diyndu- 
sind est décédée. La défunté qui 
tait Tillé de Phon, Marchand, un- 
‘ion premier ministre de Québec, 
'étoit acquis une place enviable 


EE 


AUCLAIR. | 


| 
| 
Ë 
: 


pre es 


5 


ploi duuit quélquetemps et | 
_leurs-eflets Ÿ furent des plus : 
. satisfaisants”, M. Médard: 
7 Perron, 227, avenue Lavio- 
| lite, ‘rois 5-Rivières, P:Q. 


“JT; lionrme doit veiller côns- . 
nent à se maintenir ‘bien 


ï. tinpn 
portant, toujouis de plus c cu. ü.plus gouréux: Les Pilules 
° ner se forces et" 


ae Soul ce .ŒU ] il yat de: an 
Clotis 
ner les mala dies a suxqUe re 


: 


œ vs avec le plus vif plaisir” qu 
ie viens de Leriiner la lecture ‘« 
Phistoire des Missions dès Pères { 
Ste-Maric de Tinchebravs Pair 
lprouvé dautont plus de phuisir e 
{lisant « ce” “récit, aue j'étais prései" 

IWOË: amûme À la Jondalion des. ni. 

roisses 116 Red Deer et de’ Sté-M: 

rie de Finehebraviyle nuis eanfic: 
= et confirme l'exactitude: du ré. 


M. MEDARD PERRON, 
227, avenue Lavioléttes ro 
Rivières, P. Q 


Se. 
" 


cit; Je. dirai même’ que la modé: 
tié 4 Ruidé la main.de celui qui:P, 
los ‘débuts ont. été plu: 
snême ne 
Consifér OÙ 
l’enscignemer 


cer, 
durs- que le récit ui 
donne, Pinpréssion, 

des-prétres vou 


ne 


x Î Pilules Moro pour 


remèdes. Nous . 
réception du ve nitro en France cts eKhatriant. au Canad 
D A plésieurs. milliers de milles à. 
COMPAGNIE; MÈ lenrs famitles habifués à une vie | À 
Vrépuliére LS à une. certaine aisance, h. : | 


: 
« : 


3 
4 


‘ ‘hi, , » ère € ine-At - 
été bientôt soulagés el je pus 1 hist nu de Mére Catherine At: uns le mobde des lettres: et de lé 
Supporter : plus dé fatigue. Lu bennn squence.. Elle avait van le pre. 

Û y cnière revue ffancaise., féminine au 

F où IL. ire cons rer disps au Les Pères de Ste-Marie de “nada. ‘Le cain du Feu”... 

TA vit j'en ‘at Tinchebray - + 


Soient ercpile | 


ouraut fé meurtre hideux d'un en- 
né, oroi-0n, de 4 où À mois, 


fant, ñgé, 
Hncé dans une souc ponr être dé. 


voré par des pores, 


mme 


*ANCONE, Balio.  - Ence forte se 


cousse sismique s'est fait sentir ivi 


1 heure 40 le mars: On ne rap 


parle ecpendant aucun donmage., 


‘id DIS JANISEHO, Dix per. 
sounes Mées ct trois. cents blessés: 
cest de’ bilan de Pexplosion dun 
dépot de poudre et daantres ni iutiè. 
res très, combustibles, à ile Caju, 
non loin de Rio-de-Janciro, Brésil, 
Les dégats matériels sont estimés à 
&100,000,000, 

+4 


LONDRES. — A eatuxe PAU ses 
constantes interruplions, péndant le 
discours du suerétaire des affaires 
étrongères, le député écosstis Kirk- | 
wood du parti ; travailliste a été $us- 
pendu pur l'oraleur dela Chambre, 
M. Hope. TFaul le parti tr: availliste, 


avant'à su (tr l'ex- -prémier minis 
ñ 
La motion de 
SOUICHUS - par 


est sorti. de 
“hambre ü sa ‘suite, 
uspensIon. avait 6 


945 contre 119. 


tre MaeDon: il. 


in vote de 


Ær 


) 
& 


en 


D 
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D — 


29F CR ALOn Ge 


Ternpletons, 41 St. note % jo Montroel . 


+ 


() 


pes 


tant pour les dépenses courantes. 7 


| . -cnAVRLBOURG, MAPLI CR 


:: QU'A L'AUTOMNE. Lot e 


D 4 t!, 


N° Gubliez pas que la crème ‘apporte l'agpnt éomp- ; 


“pion oi CR 


Nous avons 27'crèmeries et 8 entrepôts, fi tigorifi- 4 


ques à votre service, 
votre crème, vos oeufs, vos volailles et votré beurre: : 


sn (Q: PERATIVESRSSE 


Le emmenés dant ne same og mmece conemenee conne se mue ne ns eme cornes meer eiene amende nnnetannn 


Nous, pouvons disposer de toute! LL 


Le fourrage à à bo marché t é rend. 
l’industrie laitière profital 


4 


LE ad 
.. N 5 7: 
Si tous avaient béaucoup de fourrage à è. bon maçélhé 
à l'heure actuëlle, les vaches séraient mieux: nourigs. : 


L] 


. la production de crème plué considérable € et: les cha 
de crême. plus. gros. Cr NE 2 


4 sJ 


rains. pour des plantes à fourragé: blé”d'i indé, tourne-f 
sols, mil, trèfle, etc... afin d'avoir: du . ‘fourrage. à boni 
marché l'automne et l'hiver prochain? "Ces planta-\ 
tions améliorent'le sol, et augrnentent : votre reveñu cni 
. produisant beaücoup de crème que. vous 
* Achetez votre graine de sentente tout de'suite, elle s6- BC 
ra peutlêtre rare et’ plus coûtetisé plus tard." 


È 


Saskatchewan Graal méry 4 and Ju: Gream-C0, qi 
‘Bran ee FU 


ASSINITOIA. CAREN VLE 


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STAUNAVON. SWEFT 


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* Avez-vous'songé à réserver urie partie. de volÿe tr 


8 nous een. À 


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; LE PATRIOTE DE L'OUEST, Mercredi le 1 maro 1925 


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La ane nes cena rennes 
. on pme à sen er , + vs em enn: , = , ’ . L ldnté est une plus grande, dire aussi que nous attendons im-| je. . snires 
TE RENTE Jusqu'au bout | ire que l'argent ma, pofigune paiement un docteur pour avoir | FPHSIER SRE eo ni 
at ge. l À A ; s“ PT _ ne veut s’en rendre compte, Pour | les remédes-sous ! “À un) ; L 
ir 2. LES NOUVELLES Sénateur, “Beléourt, a Congres de sugner argent, maitre de tout, sa ns neuptions en vue |: . .Commeyce Salada 
L a L , Sourget, Ontario, nous sommes | # it, ” . - ‘demande un hômme compéteni | ” ' 
, | dans la lutte jusqu'au bout, Jamais | “9Mmme on dit tenir sa boucherie ouverte. La compagnie de thé Salada, dans 
CHEZ NOUS ET AILLEURS nous ne céderons d’une semelle, NN TÉL PU n auitré hominé, de, la place | un jugement rendu le 16. février| 


ar nous comprenons les intérêts en} MONTMARTRE, Sesk. qui veut commencer tin gurage vou- | 1925 par la coûr de l'Echiquier du 
drait s'associer avée un bon méca- JCanada, a eu gain de cause contre 
nicien, celui-ci pourrait s’occupef | une compagnic, qui plaçait sur le 
marché une marque de thé sous u- 
ne étiquette tellement ressemblante |. 


ectenen nana eee es peer eee | Co se: j| s'agit de l'âme même d'u- " — , 

} gén De e » , as satifi- | "€ race, L'héritage sacré des} Une belle soirée donnée sous les 

À p:6pos des élections gene- Les canonisations et “béat le aïieux, il faut le transmettre intact auspices de l'A. © F. C. a eu licu de la forge en même temps, | 
à nos enfants. le ler mars dans le soubassement EUR ! _ 


i 
8. 


n Ki q Costes » d , , JU & 
dales. Syétème sméricain et cations de cette annee Voiki de nobles paroles.  M.[de l'église. L'ouverture était un ie à celle très bien connue de ‘“Sala- 
éyetèrac britannique | Rome, — On sus anaintenant que Belcourt, de santé délicate, très çpant:intiuié pre Re Toscoh Mort d’une descendante de | da” que n'im omte, quel acheteur 
Û ! rte me —— “ire s a.liDris par ses devol S els, ! cu ar MM, E, Cadi ) Un Ce ait s’y. re. 

ie nowbre ues cérémonies de Ca louve le temps de faire de longs Beauchemin, Jos. Fournier, Philip- Louis Hébert pouvait Sy meprendre 


: L'idée d'avoir des élections géné- ; 

ent: ! pomsauon et de peaurication qu.|. femps © , à 
raies ceîle année ne semble pas SoU- auront tieu durant l’année sain jure d'assister les congrés dé 
lever ‘beaucoup d'enthousiasme à s’élévera à quinze, savons : frous ‘ournaux et de revues, de faire de: 
Gitawa, Voilà ce que déclare le pour l'Italie, une pour l'Allemagn 1; | conférences, de travailler à la créa- 


e "LE t dix pour li Sp é 
correspondant du Star de Saska- une pour l'Espagne el CEX PO Ë lion de l’Unity League et de lui re. 
F srance, 1 Convient de lEMPQUE. ériter des membres dans les sphè 


an, Les progressistes, dit-il, sen- je je uombre des religieuses qu. res les plus cultivées du pays. Qu'il 

in que leur position à la Chambre ;&ônr benuunves s'éievé à ute jous permette de lui envoyer d'ici 
des cominunes n'est pas très sûre, tai, EU ie nombre, Arte : Jan merci du coeur, car tout ce qu 
qu'ils ne seront pas réélus si le par- <ARERS IDANISTES HEC st fait là-bas doit se faire sentir 


pe Perron et Georges Gratton avec  , ee 
sostumes gui ont fort amusé l’au-| Le 27 février 1925 est décédée, à| | 
ditoire et soulevé son _enthousias-| Delmas, Sask., Alma Augusta Couil- || 
ne, Neuf parties de Whist ont été lard Des Prés, épouse de Léon Ri- 
ouges avec entrain sous la diret-|chard, âgée de 66 ans. Les funé- 
tion de notre nouveau Président |railles ont eu lieu lundi le 2 mars 
mi s’est acquitté de la tâche avec|au milieu d'un grand nombre de 
“uceès. Malgré le grand froid,|parents et d'amis. La levée du 
assistance était assez nombreuse et] corps: et le -service ont été prési- |} 
les résultats financiers furent très | dés par le Rév. Père Pascal, OM... !| 
remplaçant du Rév. Père Portier, |} 


Gratis-Livre den 


ë 

ê ny | 

2. y à d ; 

‘ ! Écrivez à Tho gets |] 
4 Co. Limited, Monge | 


PER ER PAT ER AE LAPS ENTER 


oû retour il prendra sa retraite, 


Poe a met AR MERS URERR us suivantes: 19 avril, béatifics | À le français dans l'Ontario: c 
.sssème britanniques et système ton de Mgr, Gianelli, Rédemplu le la Riberté, mais les ténèbres de: 
os américain riste italien; 26 avril, béatificatior | és se font moins épaisses et 
oi de Mgr Strambi, Passionniste ita | bn Le luiga bientot ce Qui san 

Aux.termes de la loi, la vie de la lien; 3 mai, béatification du pri vera Je francais au Manitoba. ec 
.raure actuelle peut se prolonger re italien GCafasso; 10 mai, béat: era l'Association d'Education, Au 
uen janvier 1927, Le système f cation de la religieuse espagnole | LD [ütte individuelle, si intelli. 
- .tuoral des Etats-Unis fixe la pri- M'cheline du ,Saint-Sacrement. pl ‘ente qu’on la suppose, °ne viendra 
+ + du vote populaire à des dates dé- pourrait se faire que SoCur MICRE D put du travail organisé et cons. 


lanent est dissous. Les conserva- chiite ne dos céré ies de bé. lici , atisfaisants. L . 

Lors ue sent pas grand espoir ‘ esta ation son Nous nous reprocherions de nc] —-M, B. Colican et M. Jos. Perras OU  isttent le deuil: Son mari || Avocats et Notaires’ 

Dour de np es tés à. ur. lisées par le Pape lui-mé | as profiter de l’occasion pour re E + sa dame se sont rendus à la con-} IS Chadde ses files MM | 

pour le mement 4 sont portés 400 ur, HAGS PAR CT nc | nercier également les bons lutteur+ | -ention .des Municipalités rurales|‘M Léon Richad: ses fils: MM. r 4 sen 

croire que deurs ctaneët a Pois. i jee S dre es par lu |1e l'Ontario et en particulier l'A | Saskatoon le 4 courant. Arthur, Adélard, Raymond .et An-|{ ; RTE 

aneilpores igis set a as ss ge be du moins qu'on puisse ociation d'Education. —M, Jos. Rochon, notre agent |toine;, ses filles: Eva RésG (me À EE eo mn 

ue Lois ta astnt da Te noi come certaine {HASsociation d Education, .don | ‘u Can. Nat, est parti pour le ud area, ; Î ñe, cine elien) À craväLRoURE ‘gask À = 

D , che +. 1e “ . t sta à n a » Li ; 1 si n } , il: e ! A L. ë il  . . é 

comme probables les de elcourt est le président, a san | n, vacances e q Latrance: son coustn, M. Emile Ri- {| : RG ASK, | 

b 


ASPIRIN 


— charde Les porteurs étaient: MM: nues 

. © ellavance, Douville, Roy ame 

TISDALE, Sask. poux, Bernier, Goulet. Une foule … 

M. G. Ladouceur. est revenu de "OR et pou aux funérailles, | = ’ 

: : e laisse. pour la pleurer son 

Montréal après quelques semaines |mari, 4 fs et à filles, ainsi qu'une enri Coutu BA. 
TT AE nceur on ce la don. soeur, religieuse du Bon Pasteur, à AVOCAT--NOTAIRE 

eur de perdre à deux jours de dis. |Québée, et plusieurs petits-enfants, || Sade 

‘ance, son vieux père et sa sœeur|;fére Iamille —- éanadienne-flan. 


Méfiez-vous des contre À | 
çons! 


.Cinées. |A l'excepti in de la mort ir rédât sa place aux religieuse Ant qui. se fait contre nous: seu CE 
"8: ÿ bréger la durée du VOrange auquel , cas, Ja ce, 13 i Ï ( L , eligieuse. . . : ise, rai r long de men- F See 
Pr) d'un Congressiste ou d'un rémonie de sa béatification aurai Ra senisation a quelque chance del Plusieurs familles séduites par ja fair ici Soute la lignée de cette | eme 
1 quelques semaines plus tai On se montre parfois aimables au |. Putation de, fertilité con jouit l£emille et cependant d'après les ve- | us 


‘e district de Tisdale ont éxprimé 
t M. Ladouceur leur intention de 
-enir prendre des terres ici.: 
—Tisdale se vante d'être üne des 
‘‘illes les plus musicales de la Pro- 
“ince. On y joue de tous les ins- 


‘ ésnteur. ST enenication de Soeur The 
ï uw bris : , . LS nl, CE £ C , ‘ f . 
arc. revoit l'apoel au pays mime 1." 2e PEnfant-Jésus: 21 mai, ce Pulonant AGUveoneUr nous disait 
NN PEER au A PTE _ uwnisa‘ion du bienheureux  Çani £ is j 1. 
Le and ane AE ue ins due PAliemagne et la Hoïlar | hignenent de rester filélemen 
Don one d le gouve nement est bat-1° revendiquent chacune pour so: oir, M le professeur Osb rne. de 
‘19h quand le ROUVEr Lcorin'e ?4 mai, canonisation de | , M, ie, D sporne, ( 


gistres gardés, elle était descerndan- — a 
e en ligne directe du. pre- 

mier eolon franchis Louis Hébert. à L GUAY 
L'ancêtre de cette. famille, Guil- (ENTREPRENEUR) 
aume- Couillard, sieur de s- NC 

pinay et gendre de Louis Hébert, du Collège Mathieu 


tu sur un vote de confiance. Te . : Université du Manitoba, disait fai oi U k " 
‘ penneurente PO pi etde la bien ue les deux langues et Îes deu ruments, Mais ceux-ci, comme les a laissé à ses descendants des ar- GRAVELBOURG, - - - SASK 
EUR dou “ aces du pays se complètent l’une >ccidents Heureusement, il n’en laoiries représentant une colombe 


d’or aux ailes dénlovées sur bla- 
son d'azur, portant dans son bec 
un rameau avec la devise: “Dieu | s . 
aide au premier colon”. A 

Mine Alma Couillard Richard é-|à  ” Jf 


tait la femme forte dont parle l'E. 31.00.8100 
: 
| 


Avantages et désavantage Îtion du bienhéureux curé d'ars £ 
nai : ; Au hientenreux Endes, À nartr 0! 
Le principal mérite de ce dernier 7 ‘nip. de dimanche en dimanch 
syétème consiste dans sa Snupiese RE Jian divarens béntification 
isélectorat des pays, bri ann iques dont la date précise n’est pas en 
reut changer $:s législateurs dans OR fin A cpunire Bernadntt: 
l'espace d'un an, comme la chosc Conbirons, le P, Avmard. Me Tr 
s É pot Ha Angleterre Fer, ; novt, marivrisé en Corée, et des Jé 
ment, sil change d'opinion. De rites français martyrisés au Ganà 
cts il permet un appel a l'opimon da É smart) L,cane 
#“elique sur une question impor- ' , ue : 

: : fixe 2e at récice: 
tante, au moment où cette question a aie Sent da 
se prose. Dans la vie politique a- Gameigpne fanmatités nar ln Canaré 
suéricaine une question de ce gen- tion dec Rites et de la déricinr 


autre, Mais la médaille a un re. 
rers. Pendant que les sommité: 
‘olitiques et universitaires se mon. 
‘rent aimables. en nous invitant ? 
léfendre notre langue, plus souven’ 
à leur tour notre département d' 
‘Instruction publique et quelque: 
nspecteurs d'écoles s'efforcent dc 
“ous rendre la tâche difficile. 
Nous rencontrons des bonnes vo 
‘ontés réelles et nous en somme: 
#connaissants à qui de droit 
Nous goûtons aussi à l’amertums 


st aucun qui ne puisse être remis 
ur pied, grâce au docteur expéri- 
venté qu'est M. Geo. Gamache, Vio- 
‘ons, cuivres, bois, il les ressuscite 
ous et il leur redonne la voix de 
eur première jeunesse. 
—Baptisés : Irène, Marie Rita 
‘farleau; — Fernand,. Joseph Dé- 
vs — à Tisdale, — Cora, Eva, Dick 
te Éldersley. LL 
—Le lundi 23 février a été cé- 
‘ébrée la messe de mariage de M. 
W, Berneskey avec .. Mademoiselle 


A.moins que vous ne vai 

nom de Bayer en croix sur |h 
quet ou les pastilles, vous d - 
nez pas les véritables aspirine 
j| ver reconnues sûres par de 
lions et prescrites par les mél 
depuis plus de vingt-trois ani 
tre 


fangile. Elle a passé sur la terre 
en faisant le bien‘ Elle s’est pré- [à MONTRES RECUES’ PAR 
POSTE ET PROMPTEMENT 


varée au dernier passage avec foi 
et confiance, comme ses ancêtres. RETO URNEES EN PARFAIT 
€ # ‘ 


Sa résignation à la volonté de Dieu à 
était toute entière, | 
A la famille éploréc, nous offrons 


SPECIAL pour l'hiver 


re. peut Se présenter, giisons, deux An Pape, Certains milieux religieux | autres procédés; nous voulons er |'fgrie Caoueite de Crooked: River. | n0S sincères condoléanses L 81.00 * Rhumes Maux de 
ans anrès l'élection Qu président. 4  Gécireraient qune par | ,erûre Je souvenir, Dans ün Cas! \yont la messe, M. Berneskey a lu QUE Nettoyage de montre... : 
: ‘ ‘omme dans l’autre, efforçons-nou 3 15 Grand ressort, première Maux de dents Lumb 


Celui-ci ne neut interroger directe ee simnnies de héntifivntior a profession de foi à l'Eglise Ca- Maux de reins 


Q 0 se +, : ! tdèà s 1 . 4 . ses A 4 
Tube MO LE dem envoya Eee | hole a re Le bapiô 6Be) … eine Pere S100 || Nephrie Run 
se not À te -aptembre ou ortobre. : ; . | litionnel., ne “ pion ; [à Travail Garanti -. | en .. 

st r'r âre tompee L lence et des actes. Nous n'auron: |‘ Le Rév. Père L. Leconte, Pro- Le Novotro du Dr, Pierre est di. M. N LANDRY, ‘| . Névralgie Doiled 


ne d'être loué” écrit M. John A. 


N'acce tez que les “Pastilles 
pirine .de Bayer”. Chaque 4 


nn 


vue ce que nous prendrons, Il fau' 
lonc prendre malgré certaines dif 
“’cultés. La menace doit durcir 
‘es résolutions de ceux qui ont à 
“oeur et non les ébranler, D’ail 
‘eurs de la menace à l’exécution * 
“ a du chemin, et l’épée est loin d’ 
omber aussi souvent qu’on nou: 
‘ait Pamabilité de la brandir. Pa: 
l’excés.de timidité; consultons qu 
ide droit avant de fléchir. L'’'As 
‘ociation d'Education n’est päs unr 
hatterie d’attsque, mas elle travail. 
le assez efficacement à la défense: 
achons rester en constante com 
nunication avec elle. 
(La Liberté) PERTINAX. . 


LR — pm 


‘incial des Prêtres de Ste-Marie se 
“emet rapidement d’un accident Ge 
"oiture, après qu'iques. jours de: 
raitement à Prince-Albert, 


VAL MARIE, Sack. 


dans Je domaine du vassé et de TT +. — à 
rer La tème hritanni Un institut de 10 millions à 
; , systèt riianni- ne OL 
SE st de .permeitre au parti x; l'Université de Georgetown 
disait: de fixer les élections à la nn, 
ur + $ enpyton! de mieus à s sin Washington. — L'Université d 
és. Fn effet. on a ‘isu de croi.  Corgrtown sous fa directidn des Jé 
ré qus. quand un gouvernement bri- “uites, la plus ancienne universit 
tannique, soit en Angleterre ou dnns  ‘tholique des Etats-Unis, vient 
un Dominion. considère une époque ancer un, projet colossal: celui d 
u tine sûre comme pranre.à des fonder au coût de #10,400,000. ur 
lections,: Ia questisn qu'il ‘se pose ‘nstitut de recherches de chimie mé 
‘’n’ést pas de savoir si le pays a be- ‘licale. Georgetown s’est inscrit er 
soin d'un nouveau parlement, mais tê‘e de la liste de souscription pou 
‘si les chances du parti sont bon- une somme de $3,680.000. 
nés I parait qu'avec un institut com 
me celui-'à on va pouvoir trouver | 
Tradition canadienne cause de toutes les maladies d 
. . corps humain et les remèdes pou’ 
Quant à la situation actuelle au lrs guérir. Le but'que l’on se pr- 
Cäïada, il faut tenir compte de la pose, couper dans la racine [a souf 
Hähdition qui veut que le gouverné- trance, la pauvreté et les désastres: 
dbht dillé devant le peuple après économiques, sent bien quelqu: 
düätre ans d'office, fn an avant la peu le charlatanisme; mais le “b'uff 
fone son terme. Si le gouverne- est une des conditions du succès 
éht Kihg fait comme ses devan- auxi Etats-Unis. Du moins il fau 
ciéfs, houûs aurons des élections en le croire, puisque l’Université di 
1994. . Georgetown ne dédaigne pas de s’e 
“Oh peut douter qu'il soit avanta- SETVir. .. 
MAS Boile ennéss. Les dort ont Le Raï d'Esp b 
hns cette année, s esprité: Son , 2 
, ‘hé:mal montés dans pliéleurs pro- Le Roi d'Espagne membre 
uinées: 11 est facile. d'en inger nar Ge l’Apostolat de la Prière 
‘na chaleur avec laquelle on réglu- : 
wie certaines mesurés, On courrait L’Apostolat de la Prière, en Es- 
le risque de connaître, un peu trop nagne, a offert à S. M..le roi Al- 
frinchement peut-être, le sentiment phonse XIII qui l’a accepté avec vi- 


tt de Belfield, N, D. “J'ai souf [? 
fért de maux de reins pendant doa- |} 
ze ans, J'avais aussi des douleurs |} 
dans le dos. J'avais essayé toutes |} 
sortes de remèdes pour Les, reins Re 
_} sans éprouver de soulagement. Mais outer 1 

Où se trouve Val Marie? C’est | depuis que je prends du Novoro dr SE EE SE STE Poutetiles de %4 a Te ns 
e que nous écrivent parfois des | Dr. Pierre je jouis d’une parfaite , 5. EU "À 
‘ens qui veulent des terres. Prenez|santé” Pour le traitemen. des ERNEST COLPRON. .| :Asnirine est ln marque te 
‘ne carte du sud de la province, | reins dont la fonction est lente ou on que: (enregistrée au Cana) 
‘oyez la ligne du C.P,R. Weyburn, | irrégulière cette vieille préparation : "7 ‘ 

Ssiniboia, Eastend.…., au-dessus de] végétale est particulièrement effec- 
“elle-ci une autre passant à Swift| tive, Quand vous ressentez des 
‘urrent, eh bien, tirez au sud un| douleurs dans le dos, essayez-en.|. 
rait partant de cette ville, descen-| Ce n’est pas une drogue de phar. 
lant à Cadillac et continuez jus-| maciens, des agents spéciaux la 
mu’à la rivière que vous rencon-}fournissent. Ecrire au Dr. Peter 
‘rez presque sur la frontière, C’est | Fahrney & Sons Co,, Ghicago, III. 
à qu'est Val Marie, point terminus] Livré exempt. de. douane au Ca 
our lé moment d’une ligne venant | nada. ‘ 

le ouest, Nadeau. R ë ré ti 1e: h à 
—M. Ovide Nadeau, propriétaire | Jai fait la guerre aux gophers || 
de l'hô ie, © É a ; 
de l'hôtel de Val Marie, a loué son pe nant 19 ans 

Aucune préparation n’a surpassé |: 


\ôtel pour deux ans à un M. McCo- 

nn de Eastend, il se réserve le 

droit de la vendre. Comme nous! les poisons de Mickelson en cffica-|$ 

n'avons pas de notaire ici, il a été cité; vous aussi vous pouvez vous |} 
des procurer pour vous protéger li 

coïtre la menace des gophers. 


-bligé d'aller faire'les papiers à 
‘onteix, Nous aurions bien besoin ï 
Le liquide Ready-Rodo de Mickel- !f 
son est le résultat de mes années1l 


avoir tout de suite un rotaire ou 
‘omme d'affaire assez dévoué pour 

d'expérience. Votre ferme infectée |! 
de gophers le réclame. Rien dell 


‘ommencer une place qui promet. 
Nous ne pouvons nous empêcher 
le jeter un cri d’alarme, en! nlus facile que le mêler à un peu|i 
oyant des gens d’une autre reli-| de grain, et les résultats ne se font | 
sion (bien entendu tout le monde | pas attendte, f 
a le droit de vivre) s’emnarer en H y à 19 ans j'inventai la pre_|l 


Retour par poste à vus frais 
Orfèvre et bijoutier expert 


GRAVELBOURG, SASK. 


| non décacheté contient un À 
| d'emploi éprouvé, Les boites {à 
nent maniables de douze pl 
né coûtent que quelques cl 


ENTREE LATE NRTEEUSS AS ARE) 


° D ‘ Fruanufacture -de Mono-aid 
 AVOCAT . jte de-salicacide de Baye, Q 


qu’il soit bien reconnu qu Ki 

. FAspirine signifie produit de 

“afin de protéger Ie public conl'4 

‘ Laflèche, Sask.  : contrefacons, nous étamperté 
, ‘Îles tablettes de la compagnie 4 
_ rene la marque générale de fabri 


Le personnel du Conseil Su 
périeur de guerre en Fran 
ce 


mens ne en me ee ee mu 


re mener. 


DEEE IN 


EL. mort à la vermin 
EXTERMINATION COMPLETE ET ASSURE 


Poison concentré pour punaises............. SÛ 
Poudre de Roach ........................ S 
Tueur de rats et de souris. . ...... $1.25, 62.25, S3l 
Empoisonneur de poux (volailles et favoris) .… 830 
Enterminateur de‘mittés .................. 90 

Les prix plus haut mentionnés vous procurent ul 
-quantité suffisante de poison pour chasser la vem 
pendant un an de touté habitation ordinaire d'une (à 


, mens vos | 

Paris. — Par decret rendu sur |: 
proposition du ministre de la guer 
re, sont nommèës membres du Con- 
“eil supérieur de la guerre pour 
l'année 1925 : Les maréchaux de 
France: Joffre, Foch, Pétain, Lyau- 
tey, Franchet d’Esperev et Favolle: 
les généraux de division: Gouraud 
Sertholot, Guillaumat, Mangin, De 
Dane Duport, Degoutte et Wey- 
gand. ° 

Le maréchal Pétain exercer» 
rendant le cours de cette année 
‘es fonctions de vice-nrésident du 


4 


om 


nous . .ve reconnaissance et joie sincère | “useil « i , OT0 4 
MU . ‘l'inigre de cette association: un onseil supérieur de la guerre, articulier de certaines terres: en-| mière protection pratique contre lai , , ne sateur à liqté 
ut, chances des partis vodéle monté sur platine et or. — rironnantes. . Il y a un bloé de | veste. des gophers: depuis lors j'ai[f] Zaine d'appartements, ainsi qu un vaporisateur à !gii 
Li ee Ne . ecré de rubis et de diamants. | Un sous-marin trës conforta |''elles demi-sections d'excellente | constamment perfectionné ma dé || de et.u fflet à poudre; les frais de poste sont égih 
lfés-chances du parti libéral, qu‘: oit “en hommage au Souverain bl «re sans roche droit au sud du| couverte jusqu'à ce que j'obtins le|£ sun sont à poudres P 
e : ’illage, qui n’attendent que des a-} liquide Ready-Rodo. Vous le trou-|}} ment compris. 


. péféront plus que n'impnrte quoi qui a témoigné de Son grand amour 
“i#hs la .balänce pour ou contfe les pour le Sacré-Coeur,. quand sur 
' éléclions, . semblent: paraître -assez le Cerro de los Angeles, au 30 ma, 
favorables, D:$ six nowveñaux mèm- 1919, il consacrait solennellement 
pag: introduits, ces jours. darniéfs. son peuple au Divin Coeur”, en 
Aûx. éommünes, cinq : étatent .libé inaugurant le monument grandiose 
aix, és progrrssistes dé "ouest que l’Esbagne venait d'y élever à 
in'oët. pâs remnli: les espérances Jésus-Christ, Roi immortel dé: 
“fn avait fondées sur eux. . L* Sociétés”, 
“arti constrvateur n'en apnellé au ———— !:#: ; 
.psau Sentiment national, et est af- ps: 
Æ4bli par des’ dissensinns intérieu- L inventeur du nouveau mo 
céé au -sttét du choix d'un chéf re- teur éolien pour bôteau est 


FA PRr tous, un mhitre d'école catholi- 
que | 


. Nos poisons ne sont pas sujets à caution: ils tu 
sans merci et n'importe quelle espèce de vermine. F3 
sayez-les. : C'est nous qui prénons le risque. Si voi 
os " \ckelor an. n'êtes pas satisfait du résultat, renvoyez-nous, dans là 
isiteurs. | nton Mickelson, résident, An:|} 4 on. £ s remcé 

—Mme À. Dunand lPun de nos|ton Mickelson Co, Ltd, 143 rue} 30 jours, la portion non employée et nous vou : 


arehande Rénéreux est rentrée de Srit , Winnipeg, Man, , 1. trons votre argent. 
ôpital « nteix avec son en- abricant ‘ e 32—3 
ant guéri. C'est une occasion de’ “Rod Powderse 7 OV” #t de) Chambre 32—357 rue 


mateurs... Leurs propriétaires | verez le plus approprié, le plus mo-{|} 
sont retirés aux E.-U., mais veulent | derne ét le plus effectif des poisons {| 
vendre, Dans quelques semaines | sur le marché, Si vous ñe pouvez |} 
“ela va être certainement océupé | l'obtenir chez vous, écrivez moi, en [à 
ar la vente des lots du village au | me donnant l'adresse de votre phar |i| 
rois d'avril va attirer beaucoup de! macien. 


Londres. — Le sous-marin géan' 
nglais, Je X-1, construit À un coù 
le 820.000 livres sterling, doit ter 
miner bientôt sa période d'essai e 
partira probablement pour un vo. 
vage à Singapour et retour. Or. 
dit que c’est le plus puissant sous 
marin jamais construit, et il a at- 
teint une vitesse de 37 noëuds à l: 
surface, ÆEn-dessous de l'eau, il = 
nn déplacement de 3,000 ‘tonnes. 
Il renferme un vaste local où de‘ 
repas ‘peuvent étre servis pendan: 
qu’il navigue sous l’eau. 


F0 


Ste-Gatherine Ouest 


Q. à 


RE" 


n FL Fi ‘ 

ou 4 e 1e nu , ! Re . 
A MON du parlement d Ot 1! Cologne, — Aa. Fletiner, l’in- 
WS . aura. 53 cloches venteur allemand qui.vient de cap 
ER hante :: ” tiver Pattention du monde par son 


Une fondeuse de neige 


Assurance contre la grèl 
.: . Agents demandés 


Vien fin de | i i 
ne.—Afin de pouvoir faire 


NT AR : 4 fr "ai , 

s Op - La ‘maison. Gülett et! bÂteau à vent san$vyoiles, est un|face à la situation causée par le: re ” on 
» ’ € ancien instituteur À liau la | terribles tempêtes de neige des der . ! e. . u 

sat SHTTR Hiquer le carile: prévinee prasslenne de Hésse Nas. | nières semaines, on vient d'inven || Pour deux grandes compägnies d'assurance aux en- 
“Jon-quiidevré être. installé dâns ln |sau. Son rève de jeunesse était | ter une nouvelle machine pour fon. - droits où iln'y a pas de représentants 

Tour * fde devenir officier de marine: |dre la neige. La neige est balayéc ( ( 
. JOU : êt entassée par d'immenses ehar AJUSTEMENTS QUITABLES | 


LES CGAMHOA él tiera 58: clo- mais il dut v renoncer et s’enga À ses. 

1 rt] es comporter RC | ver dans l’enseignement, u pes automobiles, ét ensuite absor. || 
on F ét aura 8 pledé et 2:-pouçes Son invention. dont le “Patrioté” |? ALES de. vastes bassins sur les- || 
ÉD FA été lbs légeres 15 he -déerivait le méranismie il y a quel-| {uels on dirige de forts iets de va 
4e ‘auta: 7 pouces de diaruètre, me femns a été reronnne comme | PEUT. On fond ainsi 1350 pieds cu 
lu plus grdsse:clothe aura le son. nratinur «i hien que de grosces bes.de neige par heure. 

' smi-tonsuivant n’éxise rrnyagmies die, ,trananort mariti- ‘ % 
CFA: p ès ‘notes : des, Autres me <onsen reisher sup leurs 


Le 4 me Mussolini est un rudes travail. | EE 
“an: suiront, par démi-tons, la ; vriseenux marchanÿs. L 
pme: chrômatiqué, D. re 


Jeu M. "3e d’ ‘di 1] . 
nn A emo Léait! LT 7 . | : HI 
Li DRE D Da M À 28 mél ou bc our un) nerp tree sat er] NIOYEN pratique d'aider 
Ô Poe La à pieds de diamètre | "banc 4e glace donne quelques détails sur la ca- . À e: “D ATRI QTEK Il. 


. Mentionner l'occupation en faisant application. 


B, 242 Moose-Jaw, Sask. . 


RP E CEPPE AQU DES SEE eV ARS PT D 


rs 


RAVELBOURG, S45k. 
Immacalée 


. COLLEGE MATHIEU — 


_ FOMesMiont installées sur les 4 fa-j. shot | noces. de travail Au icons ji 
1. : 4 Qttasva, — L'nn des gardians de] lien. D 
set Garillon- part Nalenn, Fred  Becchuk., ubl  Mnssolini ne défeune guère qu’à 


| | PART LI PEN S 9 Mussolini ne défeune 9 Po Tirage d'un abonnement à vie  . 
ES PNR MERS. ie vnern, était a visiter Von de çne enres de Paprès-midi et ne dine , s = CHADRA ” » -”  C 
Ce a US A ET ‘én niègne enr Ta glarn à quelqne Aie | 19 plue sauvent à 2h. 1.2 duma.] . Don de M l'Abbé Constant, curé de Maisonneuve; Montréal. 
ÿ NGUIRE € fanpe An hard.-minnd In marée des. | tin, Pour: sa "s0 au DT. ‘parom Un nitdo : st Moi 
a jelavier enndante: Aétnoha le blar de glare | bre, il ae nr Aer SON cer hi Découpez le coupon. cidessous et envoyez-le nous avec la som-| 
LEA sup. lement 11 se fennvait ot In | hnnne le: sert: pne, d'autre compa. | né de 10:soxs et vous pouvez être l’heureu: de nem 
PRSAISS eu. Ven il : sert: , autre comns. ï e l'heure : 
CU M lténentrte à pen nrèc à 95 millns] gnia, San honnêteté, indiseutée |: " D: sé si u ot x sApant 46:00 abonnement | 
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nent: est, dé la M. romnagnane alärent à sa rorher. | farmit-eon ponvoir:-on:sait qu'il nel "7 "4 7 y CR AURA CES | 
éelui ue: ht és té, mais inntilement, Ts furent jtonrha nas ses. apnoirtéments mi. or ge. LE -TIRAGE À URA LIEU VERS LE ler MAL Mi _ 
Bslon ‘ésth" faire tout surnris À ln marée montante | nictériels:: que. sa famille —habitans. ER TIRAGE. D'UN. ABONNEMENT . AVIS | a ie 


’émictire des dinlômos dé cours commersial et 2€ 
-, :Le COURS PROPARATOINS conduit soie ann. 


fe 


Ü 


-Soit au -cours .commopcinl Îcs plus. jeunes él 
tionts ‘s'adresser au! 
VEREND PER RAP 
Collège. Mathieu e. 
conège:  Gravelbout£ S 


vénue GCliutch; de. de.le voir remonter l'embouchure | Milan vit le -nlus.: | 

enue .COurCB, de, de. air. ouc —— us. .modesteme ù 

ANEN-FOUR 6 Rerone es eux plus : de a riviére Nelcon sur ‘un bloc | (ses enfants vont:à' L'école commu. NOM 

CBbt cornlosS dé: mondé entiér. Le ! fe gace d'à neu nrès.undemi mil-| palb), et que ses' parents, qui ‘8-4, 

* “Galet den: Cathédrale de Sniht-: le carré. . TI avait les deux nicdsitaient nauvres nvant: on “nvèhes: ‘ADRESS 
:Raribauld, "à Malines, vient. en’ $e-| gelés. . On le transporta à ‘Winni- ment ne se. sont. pas enrichis des. %.. 


atre, 


. sr segntraons fa fbolaches, . + \peg:où il doit subir une opération, puis, un ne tie 


eomautoe, 

ï : 

US..:.. , : 
ésbtessueress LELELETPET ETES 


se. re INGL 


: ses en religion cependant je? 


nu 


‘me fonder, “où: ‘elles 


LT 


Les membres du Gérele 


lin de 


tiative des plus 


longtemps ils sont “uHiés 


aide efficace, “ ‘ 


voulant être 


l'énergie 


Afais 
toute: 


lribuent maintenant pi 


de combattre, Le manvais, 

parlent aux Yeux. par leurs 
Susuestifs bien on 
raison abat qu ‘Alt eoCur 
phrases COUPE, incisivus, 
ent médailles ee 


Hique 
“Rien me “peut remplacer un 
journaliste eupabie et éonvaineu. | 


C'est lui qui foujéurs, veille sur li 
brèche et qui frappe à propos, soûe 
VERT AUS conseil, souvebt contre la: 
vobaité des ‘cheïs. non les s grands] 
coups mais ‘les ÉOUDS, sûrs. 


eciopronct Jos fimides, 
téiéeairess D paise fes blessés, 
conforte Les vaineus, l'ait 
dre ais maladroits Jours 
tanGouvees ol fes. répares plus 
eue tous Les autres, par grâce 
de sa position secondaire el cachér, 
il S'éleve aideseus des antipäthies 
persenbelléss, 1 étoulfe au. besoin . 
es sytupullibs Son écriture, d'où 
coute renommée est libérale pour 
tout le monde et he se ferme que 
pour {ui-néne, Voyant: comment 
è fait la gloire, Je journaliste y gu- 
tue dette inéprispr st Louis 
VEUILLOES ° 


rc 
Copipren- 
fmsses 


RE 


$ 


St. Chérèsé 


| SE 
Ode Meur ffsue G [is 


HISTOIRE D UNE 


mndssmsasse 


No. 7 6 ‘Ltérre, 
| | lui 
Ce désir pourrait, sembler éme | 
raire, si Fon considère combien 
lé Hinparfaite, et combien je le 
Mis encore après tant d'années pas- 
sens 
tétjiours fi. méme codfianee audi 
vieuse de doveniiune. grande suite 
le. Je ne compte pi 10 ‘sui mes mé- 


voie que 


Chiate- 
PA. CC de Bue kingh: au, |d'applaudir au 
Qué. viermienf de prendre one ini-{jéunes 


apôtres dans Lot 
du Lerme et gagner hommage est grand parce 


mer un irael de Six pages. qu'ils dis- 
milliers. 


Ces pi dites feuilles iessigères sont 


es 
litres 
vedette, el à la 
par Jours 
frappes diatiqu de jeunesse rend à leur jour. 


DT ner Per 


Le: rôle- du -journaliste caiho-! Dénoncez 


I for- iehesoin de fumière cel de 
codes tr aintirds 4 marehor, engaue, |. “ni 
retient Les. 


Sauve 


“ni osans 


: Re 


AME ECRITE 
PÂR :ELLE-MEME 


1873-1897: 


hors dinier Div el le servir | 
Seul" 
Peut-êlres. en 
faire connailre, Je moude gvant,sa pi QUUr DON 
première” visite à mon EE 
me laisser choisir plus gûeercent Pa 


suivre, \ 
“Ma premiere comtuinion nie luss 


“Lt nt me un 


TT ; ‘ L , 


, 
esC heureuse 
avste apastolique des 


L'Aide au Patriote 


Hs-ont voulu, 


rendre nn 


selon” Leur 


vent si noblement nos bons quoti- 
diens cet hebdomadaires € athotiques 
nationaux ou Canada Leur 


qu'il est 


des adeptes à Focuvre qui teur est diclé par un sentiment ehevaleres- 
chère, leur association a fait fimpri- 


ques Fes grand porceqe'il ss Par 
bilion de se Fire entendre par tout 
le pityst il ext grand pare qu'il s'a- 
dresse à toute une phol tuue de 
journaux franchement « extholique 1 vi 


R lé A mn 
de porte en porté dire dans ua! sement francais, au nomlee des- 
n sn ‘ { ï 
lmgage clair el &loquent les cui ie nous jones Ronorés de 
bocante : "oi uuter Le Patron rod | 
cons de favoriser le bon journal et fe Patriote ce l'Ouest, 


Meroi ñ nos, mis de l uckineh am! 
Fous les Frinenccanadions de Ja 
Saskatehewen Son sensibles ju té 
Htigiage que eelle vaillinie asro- 


un, 


2. SANS hésitation ct 
Ï  . ‘S&ns peur : ° 
os 


“Vous 


n'avés pi is, 


j'ientilon d'afténuer, 


je lespérs, fu 
li vérité ef de 
lien: ta Cr Perreur, mail 
'poir de vous faire mieux aeceprer 
Fu vos adversaires? Le peuple 4 


taee le Us- 


vérilé, 
non dé écinprouissions ni d'ha- 
biletéé qui ne sautent rien. N'a 
“Daissers 


pus notre drtpent, jar 


“'Hets supporior: 


fre, affivnions- 


“hous el ientons nos à notre place, 
CA faire des concessions, on gagne 
“d'être rejeté des sions ct dédai- 
“une des autres. Philesnons un bon 
“jour: on vous dira 6 oh Vous 


Déhoncez. sans hésitation 


peur, Les Fruisse + doctrines 


et tes nelos mauvais SG Mer 
GICURRES évêque de Bavonne 
instructions ätoun prôtre jouriadis- 


te, 


a) scignumen 
L Hhuadiveté € 
choeurs se 


de Buckingham et des les: 
louables. Depuis broposer en modèles aux Fils de nos 
à la cause plaines. 
des bons journaux, ct leur prétent l'expression, 
duns-‘ia mésuré de leurs forces une F'hômmage à l'ovuvre que joursui- 


motleste” 


send À valendre sus urofonds” eus pote 4 Hal: ints” COTE", HO) 


_LE PATRIOTE 


DE T. OUFS] 


LLC ARTE ES LEURS fers LEE 


TC 


NOTRE : MOT d'O RDRE 


LA OE WARA PE EURE RS EUR 


4 
3 ï ! 


LAN LEE2 He CR 


, ne | : n tive Nous le Servirons ts ins | Ki] not r I 
. É & Abonne , vécut anus Ni Phnaglne fou, fui 6 coute ti le 
. «Mais, ne lisez ; pas le journal jaune, qui ve remplit $es des abonnés en le répentant au jets moral ue reheotrent ie h 
® pages que, de sales récits de crimes et de! lales : I âte four de nous: pous le sorvipons enr | ere NUS 
pas q Ês es e crimes et de scandales : g À tin par de vitoureux plaiduvers de pire euhemi, de lus hxhoeri 
es coeurs. : contre ceus qui de dénisront, ect de plus facilement ighort des 
, hu j « 
Lisez le journel de Princiges, pour qui la vérité n'est Cest Le devoir des jones. Que! lotte Tag mère 4 les plus sol 
. que le moÿen d' agrändir, d'ennoblir l'esprit et l'être. es cercles Vuranisent pour mul fie itoirs de selles divoreées: 
Ë tiplier es feceurs dt bou journal: AL MR nn NT 
© el . 1: OMR AT pa ait un val inde lent, db meurtre 
LL | LIRE C EST FE DISTRAIRE ions de abord faisonsle tire [toto urensé sous prôte Ale que te 
+ ie , chez nous et repandonsle tulour de ebeletes ne pmsail puis résider 
Mais, ne lisez donc pas le Journal Bouffon, qui s'amuse ue juin + Rte des es passions, conte sit arâce 
à reconter de erossières, histoires, illustroes de vulgaires imna- ES Dot rat à N URSS de Dir inanquail à qui vil Eu cle. 
N , " °h NN EDR nager bunienents le pére de La 
OS: Il yâte les” esprits. . à" « Nolre, générosité eat proverhine. mille Vuit font ali qui, . bigue ÿ 
, Lisez le Journal Honnète, 1 jours digne sans être en: pour hatie des églises des hôpi looue de dont Lot ee qu'il y n de dti. 
nuveux, plus soucieux du bon eoûl que des gros sous : Cu des écoles is conne nous Somtouné dans de monde tout ve que 
: SOAUHES HICSQUINS pour soutenir Jos le ment offve d'atieatts pour Les vs 
, ee à ÿ . NN CL : LR à Sos 
, LIRE, CEST SE RENSEIGNER ; bons urnauxt Cest encore une pois faibles el les vovurs définne 
| Ê ne men : . ebtalité à réformer, che dans dis chés, el net a cute L'onoeni 
5 Mis, ne lisez pas. Je Journal de £ Parti, qui voit loul avec na UE ten mi jun rar pe Cntnrité paternel, l'ennemi 
RO One pres&e enlholique cl mi i resbect fith LE ‘tel ‘ "i 
des lunettes bleues: où rouges: À Tue le patriotisme, ante ! dt rene tite Pennent tu ti 
L | dé } l | ire, défi rouinente, Lopoent den pu. 
: .isez le: Jourra! in épendant, qui n a d'autres intérats Des ina NT 
ë ke L di COPA uPs NNAUSESS nous prossl so té de sos Fes ot de que Fils, l'en 
que CEUX de la race, ct U pays. ent las, de frire hs sacriliees Envnit de fa lé divine, on un muul, 
: | n — os porcun jutdehal qui nous re ad plu cel enpomit{i est dune Lt puison 
: \/ .  . SU 
£ D'ANS CHAQUE FAR HLLE UE “hrétiuns el guillents Files Are fete lé puote plie mère te s'en sut 
#4 eme ae » , e ‘ | nt" réléne-nous à 'eûlle de Lé- mn NH: | cie ' 
£ il faui le bon jouinäl: un journal qui puisse distraire, ensuite 2 Que Lors eux, Qui sénlent soir L A fan dus Lunentables 4 
gncr, inelruire loul en étant varié dans, ses pages, raÿant. 45 enr ù Non ei, D Lvenelennen plus. upide Je sais 
j » . Lure ; ho peut de focor liber a Feet - 
dans ses nouvelles ‘intéressani dans s sa rédaction. Lt “ Gr Here le Fée vidé bien que domain il DL TE 
cu ce Di preuse, ehaeun proportion ds Le fille, legne de 
Recevez le bon joutnäl qui Vous enscigne fièrément quels + Mine us lurpesses à an Fortng, ET ANS LE Binille, fi repne 
sont Vos Devoirs, qui vous rappelle chré iennenient quels È C'est de devoir des Hidèls de soute fout, que le bére ersk de doté 
V ‘ L fencl a ue de eur. Da tant étouffint sons 
Lun o$ Droits, qui, ne veul. tte e pré nn ”, ne de CU. ft de à Gfé Lehotau oresse en voneourant ip, au. nine oo dehtandéton éonibpeii 
; di élosmo : re ste 0 ou ‘ . a 
vos propres inlérêts -el écux de vos fmilles. D tHivéleiment di latre vire eo pre Cite 4 ou glisser si bus, voi 
. : 1 ï , US ‘ ï ‘ ! , . 
‘Amis du Patriote, c'est Le C crele Chatelain de l'À. . Pet, bu pes, SENS RE # Lrcpl d'au enfant honnéte da ju 
À De # 1, { n » 4 h û 
. Buckingham, Qué, dui nous tranmnel aujourd hté en ini Lo, | se ee d'anionrd' hu luppelte voleur 
: Liliane mol d ‘ordré. # Ecoutez lc, fattesle vôtre, car il vie nl } IF DIT uni bn \£ h maison | j à nee " usine h seit 
rl : sé .sur La Î encore ur l'état , lis Horoniils D saesie de rottun 
counc lerre conquis é,sur la fait et CRE re plus sur l'ét vi ï ps : Se nn L 
| ré, AUS & i i Pros & : EÙ pelsanue ns s'en soucie [hu à Di oeet Qu Hantivais joue ; 
.  Cger. : : L oc Ï fa hi 
: & ‘ : . ,. 1, . DRE dut be non LR bal qui se fit le caléchisnme dos ; 
Fe I vous dire qué.la seule lecu: nre, Ci apable d'élever lex & L HO " : | nr ion | atratteures le nreriler iniliatenur n 
: 1. CESR OS CRIE EE ETS FITTEIT ES SP OUR UCON- Ù ‘ a 
mes à da hauteur des “devoirs s qui s'imposent, ésl celle qui ins i But à de qu'il ere le dut pes criminens, LL ee 
- |} Lruil aux meilleures Sêurces, qui distrail dans la plus honnête lber tout de mélor le bon ag onu D Cérnons Un vondutuné à mort ë 
compagnie, qui montre la reulé À suivre à l'unique clarté des valse vulauire au spiviluels à col out d'ail conimenvé son apprentis ë 
intérêts de Dieu et dé la patrie, à Qu'i Livorise l'itnour Qu here, des tue Unis Us rt een dun mate à 
mes étotadte ca HA pr DEC IETEULNUTE PU TEE CE POTTER ETES TT a, AENNITAS phaisins, je culte do l'or, de (Hi malt, suis # | Heu , Fe 
Ts, mn mote | : ‘ ‘ ‘ ‘ 
. oo d x l 
te NE EAN LAS ds a de dpi fr qu LT Le en En à En 
a A I DA en BR Di HE nn 9 sil M A, que LE anus À 


: Aer 


“Patriote”. | 


Haiti set ru OH ID DOALE ESESSSS “0 ; 


DANS CHAQUE £ FAMILLE 


LIRE, CEST S'INST RUIRE 


l'imars 1025 


crodi le 


dun ce 


PE ra ii _—_—_ Et 


: 
MEN 


Ur rome se afarmenr Le devoir des eunes de l'opinion, ùove qu'il uaulle dit 
ne un. torees el fil silenre Sur l'oppres 
& Seunes gets, ouies _ uous, sure sion des faibles cer qu'il utilise 


\ virons Le bon journal en fui proen- [les ehosex reliritaises, CUUNTONONTE 
eut des nouvelles. dus urines, vert de sun euprit mondain, Pret 
eu ni apportant des annonces, opt dite ou hépoctites ce uit réser 

Lo ui donnant des ecmbrats d'impres Eve Fhonmiage de get promièpes pa 

r : Sie. Bu prieur of Fiaiinent dunes à ht slorifiention des matfiu 

jouvaual comme PFanbopee ot less leurs, des débaurhes, Jué robuste 
Lo. hupressihons en sont l'énergie mecs société, 


sat 


Me 


non on same rte) nn State semaines Sema 


nn 
‘ j 


NES 


privées pus ete ue, sontail-si fade, fa fendennin, lab 'coutvuort je ET dette ae sobn ln visite de PE à 

si je croyais dans mu de Jeu mére, sont uussi chovéest fragile, que pour jttuais colle vou Lens din cortin voile ils: aiéhur put Suinfs Je pe pouavts nee 

que Les plus srunts pé-! que’ jefl'éluis ACol âne, Dai Sunir à lt Force Divine, Lenbie, Les belles oilellus les eue dre gipon he HE pas ue grande à 

à n° ‘ L h on « + 0 diese 

seraient convertis en Pé-; Pécontais avee De ucoup d'alten EE voiei que su joie devin si, denis que Fuvals reeus me pempliss tendon à bi réeeplion de ce sur 

coutant, el que, laissant Ft leurs ri Hon és instrnetiotis donnée par up agde, Si profonde, qgirelte nm pitisaient pus mon eoenur!t Jésus aout tent d'ou La eérononie n'a 


e he "SS US 
rech 


voenies. 

| de Dies I 
“quelles 1 
l'jeurs de ce 
i Duissonne 


périssables, is n'enssenti AL Pabhé Boni, et d'u fainuis Sois ut contenir, Brentril des lirmes dé désormais pouvaltine euntenter, ul aunt HS ei Chen nu jour nttaque, 
crehé que celles du cie) gneugernent he résumé, Pour mes licieutses Fitondérent, au gril € | je cne saupirais qu'apires lu noent per Fr gobtutath de voir qu tr 
, Léié “bient pensées. je ne voulus en écrire : au, tonnement de ses compnantes qui bienheurernx oi Je le Pepedrais une LAINE un peu mrolungée, AB! que 
époque, il med ete cune disant que je me ls vapgipele plus tard so feuient Pons à Fauss acconmde Fois Je fs cette soponde on une dit losenset Conte Les 
1 aire ornison: mais Marie, li ais biens ce qui Ful vrai. ire: "Pourguioi done belle pleu- comenmion Le Jour de P'isecpsion, pôles, Foioefote av bonhoop Le 
| me “an assez pieuses ne LE Aveccquel Bénbheur je me rendus ré Navaiteolle puis ne ighiétis Lol Pets Le bonheur de on'agenouit Conxatnient promis, fe te rejoui, 
Pormettait que mIee seules prières à Lous les off ces ennune des relie de de conselenee?e. Non, eétril| ler 4 le Fable sainte cuite pape et sat d'étre Bentél partait chrôtton 
Un jour i PAbbaye. une, gieuses! Je me faisuis remarquer plutôt de ne pus avoir prés d'elle a bien aimée Mario, Mes Jurmés de, ot d'avoir sui de front, dletuel 
ne tre nn i: nat a ailien de nies péfites conpagnest so mére ou si soeur enrioéiite gels contéreal eteore ave me ineffa honenl gravée, Ta erals masslépionn 
né, quan. ic Due aus par on grand erueifildeanné par mate aimait ant ef personne " ble douce: je ue rappelais ot nee dé ee saertinent Fneffable, 
is, Je répondis Timide l chère, pnie: ic le pass durs it: contprepail due toute he joie «lu ciri répétats un cesse des jours dre Je he gehlis hs Q vent inpétu 
indaine, je vais bien sou | Coioture à la Tacon des missionnai enant dans un coeur ee caen ei hsaint Pit Genet plus mal qui op de lo prendése Ponterôles mais 


: ments A 


facile 


Jésis” voulait il M de mon 


Et bonne 


afin de 
Bei Dicu, 
je devais fui promettre de PFéternité: 
4 * 


fard Juan 
pelor le 


| “went one e Lu 
ce vide de ina chambre, qu'il nresti 
de 


acher dans un petit 6spa- . Qt 
' ainsi pu soeur enymélite, 


bien vers eliu: en eff L ue L'envo- 


cnrs où je pensais, te 


ires, el l'an crul qué je voulais ini 
; ‘ È + . Ü 
(es QUE 


Le, laible ctoimortel, ne peut Bi sup-} sis, e'puf dés 
porter SAS pere des larmes..i 


L Losmuent labsenre de 


qui vit en moi! bee 


eut cette beau féxère dont de pu 
puis elle sveonde visite de Notre 


phete Je entndis he CELLER EE DEN ENT 


nu mère Süigneur, 


fermer aveé los rideaux! D ee, ie 1 “spirais lus sir le la QUEUES dHoreh, fu CU jour, 
L el‘, je pense Mais pet SOUVONEUIHES .punaérs el LEE nranrait elle Fait de Hit peine le jour E recetoins er qui rites L PETIES i je regis 1 forces de sautlrir, force 
, Us? i je \ coeur! de li savais en reiraité anse mie première communion Puis fautes les princihdes féles Hélas! qui n'était bien jpéerautte, var fu 
sen-vouse me dit ca rule sis non pas. il est vrai, DT que e que de ciel habitait dans mer meslies Féles ajors ne paraissaient bien urivre de ent Alue. desail vou 
religieuse. Je pense ML jéeus se dnnit elles mais pour seicn recevant Re disite de Jésus, je rs] ne me D neterp ju ap, 
ñ Ia rapidité «le a vie. ‘} donner elle méitie, tout culière A'revus aussi celle de ms mère ché) A4 Veille de vos lregrons jours À, us déliei bi . 
“pp enfin, je pense: "Celle Jésus, dt ceht le jour mitigé cle nn rie de de pléurais pus dans at 44e | ie ie préparil conne cle l'a. fus NA is futé lé 
réflexion ne fut pas perdue, el plus premièée donanbbion Colle soli DE VE aulines nous étions) voit fail pour a prpmière AUTIUNE ie ps je ‘his fret tt 
rAresse ai Se TE de passée ghns: Palente me fuit plus unies que junaist Non, je Iel nion, ne fois, je Cnren souvioiss Ie 4e netsionins de rénesisuis 


& 
-blens dans 


! : Là Lo bi , ; , DT dies étifes el relenars 
diles, ne t tora toujours, comme qu souvenir | bi ; L done doublement chère. répète, fa joie seules Eneffablés peus Pelle pue jante de fa soulfraneé, me laviéiiont le ses des ehoness ju 
s £ s , . Los 4 s insätis encore ; st Dore , +, FR , , fiipn ; = nn è LL 
ee ayant aucuy: Mais! feslins nuages: À me semble que jet demandant si e pentils ENCORE pe ut jour entre tous les; Lande, remplissuit mon encur. | «is ar'au lien de me faire pr loehl ne pute esthéme 
pére en Colul' qui est” a Vertu, la ie de coprends aujourd que je, , . .à inmmecnriei « ia anonent atelier jar celle voie, de bon Dieu VS seulbtionl une peine exthéme 
x ne pouvais ètre mieux dhposere le jours de da vié,su fev pot moi! L'aprés-nidi, + je proneueni lei pur evlle vo à dfiproucdre l L Copa 
Suintelé mème.s. C’est lui seul qui, el Tr faisais, alors une véritable oraison, : us onu Pacte de sans doubs me porter pit tonjours À dbpreudie ol à mot Cepen 
. Vous vous rappelez ma Mère, le Quels inerte bles souvenirs daissée nom de Mes compaghes lat 1 SSH ub Ctie jo ] S Quil pot Je lécblsies nice or 
 contentant'demes.faibles efforts, | dans laquelle Je divin, Maitre ins- D ue TT à du Sainte Vicrge:l , Hit cpfant,. Ces por CU poli ANS ULLUESSTRERST ES 
ravissant: -pelil livre que VOUS He tirent d is quon. ue des ioimires, Consreraition à it abitte Ie conne Ut mr (QE Ü } “for le furet vodréonhés de DUT 
m'élévern jusqu’à lui,.ime :couvrira . iruisait doucem@it mon coeur, pre | br nnittpneuhe » el l j les Crevinrent à l'os: it TOR Ù el COUPON IE CCS, 
de ces mérit cu f viez ‘donné, trois mois avanli le: "détails de ces heures du cielf Bel Mes nitresses pe choisirent sans tés pue resihrent à *F aires Mnsion Péuniüniur grappelait sn 
OR ù Ù Ù a |: Lt inave à » 3 , + : OR vpn h M n 4 ‘ # 33 ê ; 
ne h ériles el me fera sine, DAS ‘grand jour? Çe moyen graciotixt L es Lrois mois de preparation à joyeux “révuil de l'aurore, les bai: dote, parer que javais ôté privé | copnosuion dir faus suivant, ete ut petit dodteur, «its dou à emiso 
Û f re 7 L : N DT n , ntg ÉE s] per if MATE ‘ ‘ ” wi " $ 
he Jensais pas aloës qu'il fa tait | © me prépart dunce.facon suivie el DE promibre communion DAsSèr ent! SCPS PESPOCIUEUX Pl londres des til hiven jeune de ame mère de fa, Berre coett S'enfféoun dus vif desire de de Bot non mn Thérése , 
L M “y % à Ü + 1 4 ! K 1 "; 3 # 1, ENT DE 4 VAE # DL ñ , Î 4 { 1e L 
. our aie pou: arriver À rapide Gi. depuis longtemps, jel vite: bientôt je dus entrer en re- ressés et des ecinpaaies, Ja ehan-} Au! je mise fout uen vost à mel fa souffrance, avoe It certitude in 
is à etc , € jon Die nc ‘arda pensais à ma première communion, l'aile et pendimit cq tefpps devenir, bre de loiletie remplie de flocons consacper à da Vicrge Marie, à Doi ue qu'il p'éfil réservé un STAHUE j etant les récré dans, lt UNE 
les ù roux es rncont ce nou Pi M il fâllait néanmoins donner & on! grande peusionnaire, All quelle .Doigeux, dont chaque enfant se vo demander de’ veifles sur moi Hi notaire cle vrois,  Afoss ion fonc Hs biop SOUVENT à evhtenner 
WOUVCS l'AC niècs, Plus haut, 


coeur un 


nouvel élan et le remplir 


reiraite Dé 


nie! Je ne crois pas que! 


ñ 


vail reveloc 4 sou tours soPtout à 


me semble qu'elle regard su pete. FUE Mnendée he les consobtions de foi les Joseux ébnis de vs cote 


nienant je rcprens. ion r'é- de fleurs nouvelles, conne il était l'or puisse goûter uné semblable}, chapelle et le éhiunt du eintique te four avec: snonr et Di sourit! que je d'en afepoint ele prreilies S,pagnrs, me five lit ñ de serions 
Gil at point où je. l'avais daissé; marqué dans le précieux  manus-| joie ailleurs que dans les commu- matinal: enrote Je me souvenais de son, en toute mé vie, La souffronec de réffesions G'étail M, distrac- 

. Fruis mois aprés ! mis” gucrison, .crit. -CGhaque jour, je: faisais doncinantés religieuses: lé nombre des: .Ü Siinl “HA qu'enéi ivonne ni l visible sutirire_ qui. n'avait autre vint niet atfrall, je ui lrouvai des ‘tion Favre d'uvais. aussi invons 
Pa ne Fil faire: un ag blé vol un grand: nombre de sacrilices - el enfants étant petit, il est “d'autant. des Hngés Le : CFois guérie et délivrées je myvaiss harnais qui tre “avirent, sans Loue té un jeu qui mit faistit beane QUIL 
Mages Hi je commença . connai- “actes d'amour , qui . se" tanstor- | plus facile de s'occuper de chicune. Mais je he veux pas, PEN poule) Hion ce que je ni devsist. Étle tifeis fes bien COnAre cpharae, lie dechepyais hvèe soin les pauvres 
re Jo onde, Tout, était joie, bonmaient ‘en autant de fleurs; - tantôt} Oui, je l'éeris AVee UNE reCONNAÎS-pais pas tout dires H esl'de e6s. enic, decmoltin de ee Nain il, Je seniis un attré] ; art désire Upoifs dissous Joihis Ciorts sons 
hour autour ‘de. moi: j'êt ais" Tètéc. c'étaient es . violettes, une’ autre l"gmee (ire! nos mailresées del chôses qui perdent leu: parlons des o}lig pas venue déposer dans He en-” cetni ile D'almer qe lé bon Disites srunls arbres ol jé les cuseve 
choyée, admiré: en. ün' ol, mis fois” des Loses: puis des bleucts, des’ EU nous. prodiguaient alors qu'elles sont CXpORÉ es à Fire il est lice mon âme, son Jésus, br Fleurs di ne Lrouver de joie qu'en foi sul. “lissais honurablément, lous dans. lé 


Vie Pendant quinze jours. ne fut SC- 
née que de’ flouis,: 


Hi mot, toutes les fleurs de la nature) ne &uis pour quel motifs, mais ichse' traduire dans te input. de - 
bien Aron de dire queft Ve L|'devaient former en mai le beree caui m 'aperecvais bien qu'elles voillaien À terre sans pérdee aussôl four sens: 
letsent és stbagffontés séduit : kesprit. “du” TÉSUSs » © .  jhlus encore sur moi LU SUP: ICS brefontt el Lecléste!” oo 
Même éloigné. dû al PAS IX ans, : Ehfm, j'vais Marie qui ji rein Cempagnes, ‘ .. Ann il ut doux le premier bai- 
le coeur se-laisse” facilement éblou’ eat : Payline. pour moi. ‘ lo Chaque soirs me preièl "6 iailres- st dé Jésus à hion, âmes Oui, ce 
ie el j'avoue que‘ “dette $tènce Chaque soir, je vestais bien long | se vénait avec sa petite kinierne lui un baiser d'amouirs dé ne si] 
“Cut des charmes, po qu noi,  Hé- témps près : d'elle, . avide d'écouter ouvrir doucement: les : “rideaux: dej i ais aimée, el Ce disuis aussi fe, 
as! comme le monde s'entend bien, ses’ paroles: que. de belles - choses [ mon Hit, el déposail: sur. mon fréht{ ous aime, je me donne jvous pour; 


à aivr los joius" du 


dt 
le ser vice de Die 


“Coinine: 


tèrre "avec. 
F | ne 


“éliè me: 


nn cependänt ne midi 
“Visiter un _grahd” nobr , 
SoRnes que:Fit ‘connue 
“hes, riches: et héureuses | 
llourne. pe QNIER ‘pèn: 
Melanteues gi elles ü 


FL -suerr icr: 


PUTIS revint 
taux vE des: jar: cte 
“ouir des comtigdités, ç 


_Pâquéreit cs, 


tout” son, coëur. si 
rénx Bass rit. ‘en. noi, ! 
antiques npprenaient “Madame, je vous aime.bien, aussi él lui.et la petite Thérèse s'éfatent re 


chérie ! h 


des myosotis; en. un des- soins 


disait! 
grand, géné! #nait tant 
Comme les ‘de sa bon 


Jours enfants: Je. métier dés ‘armes [vais vous confier: un 
ainsi napprenait: sole. le combat de 
i6, excitant: QU ‘amour ce nic précieux petit LUN (EP Ah 


Firant à 


l'ouv 
“euiliet ii 


d'aüral 


-Youlu . t'être- “pas 


RTE fuc senble quel an tendre baiser, 


[marquer voinbien - J'étais privilégiée! le M 


” MHusicurs fois, -en efret, péndan Tu tavi il-cHe RHES denis 
v'ellé: rétait. élo tente celte : soeur Plus 1 
Q à retraite, ie dis l'expérience: due bien! .5a perte? 


vraiment inaternels: del des pensées intimes ui he peuvent, 


Elle, ane: Lémoi-Etoujours! “Jésus ne oime fit aucune 
d'affection, que, touchée demande, il ne réclana aueun cit- 
té,-je lui dis unosoiri “OL crilice, Depuis : ongles, “déjà, 


grantl & sécret”, gi 
_mystéricnseent : Le 
arme, ën 


lors, 


tre rencontre nef pouvait plus: 
cles ûn simple} 
. fusion. NOUS H “étions” bus deux 
… Thôrese avril. diépart comnie fa 
soutte d'eau qui,se PoñE. au. Sein doi 
Di'deéan,. Jüsus Festit OUR 
ire, le Roitf Thérèse. ne! lui 


# np, 


rit. pien, | élicatement. "1 le. 
vec atténtion ctine fit ve- 


gardés 2 compfipe. Ce; jüur- Lt no! na 


repart, : : jHais. me” 


“ie était 


Geite- dibert Jui: Aisne chan 


is des vallées! ESotsent, 


des champs el lei RUE pendant hies setious de Hiépite citueliér 4, ft l'amps e ilu ET 
LE Au soir de seecbeau jour, paprél étâces, je répétais ve passn de HI RUZON, L'atres fois je pucbti. 
prenant a ain dé sa. petite reine lhujtationt. lois des histofres, ot souvent:idé 


0 dés le quuseur incp-' 
; FU j caps D, . Fe 
se difigen vers de Carmel ele vis) fable changés pour nfoi en" amer-urondes élèves, se mébatent à nus 


mu Pautine. devenne l'épouse: dette loutg: Les consolattons de Ja auditeurs: ifuis. bientôt bolre sue 
sus: je Hivis avue son voile blane lerre, "Ces , Piroes sortait detmaitresse j pie défendi de coutiniee 
comne, le en ét st couronne de nes lèvres sans. Uffurt, fe hrs pro-nop inétivi d'orntvur, voutunt uote, 
rosus. Ma joie lul sans amertune: nonchis comme ta enfant qui répé-lvoir courir. cl HON pas disconrits à 

d'espérais lu pojoindre biemôt, ete, sn frop comprendre, re qu'u- | Je, vhôisis pour uthies, en. 

aliénre ses côtés Le piel. ne personne atdie Tui inspire, Plos temps , déus- petites filles de sc 
de ne fus pas insensible à Ja létebtard je vous divai, on Mère, eoni-{hges puis AU üsL étroit le “og 
de Fanile, préparée ÉITRS Buisson Es Notre. Sete s'est blu à récldes ce CaturésL Lines d'elles it 
| nets, ‘Lai jolie montre que ilun- | adiser non désirs comment if ful obligée de, entrer. dans sa TAU 
mot cher petit père ue fil us, loujours, fui seul, a douveur nef {pour quelques - tioisi pond: inf soi 


4 =, 
à 
; 


UE plaisirs ol cependant mon) Fable “Si je vos et pardais win! absence, ie ne gti bien de l'oit- 
hoheite. étaif, anquille. rien, nel Lenan(, if fasjdrait, satiiier sur maiblivr, el je onhifesfit. bic. atie 
| pouvait roudblee Gba fraix indie vie de ictine files ef J'ai beuteoup joie, du, la revoir, Hélas t je n ob. 
L M LR nil fes ci ht ui Soir; LATC détails à Vous donner entore sur (tins quat regain indifférent À Mon 


n 


re Les-jonrs. les us ridioux: sont na vie” d'enfant Pt. anitié tit col pr sb: je le.sécne 
suivis de lénè bres # sels de jour à ie) Pen dé  fténi aprés nu, pro. (is, vlceténte #0 .ne nienelini plus, dé 
la preiniére. "le Pélérnelié conmue;cinlère eomannion, j'entrai Ge LLITES or miiik ini affection, Si iñedhstan- 
4 nion . de Ja patrie. sera SA, if VerHi ch retraite: AUTTEUNT a ‘ 


ina, tion. der: m'élais -Prépirés! avec 


chaque” MT or puis neuf ans on SC igne de | 


: Chevaliers ‘de: Colümh.: . 


* 


5 2, 


eee prenais —e 


_Péfce- Albert | 


La nouvelle cathédrale d’ Ed- 


monton 
Edmonton. Le soubissement de 
Lu nouvelle cathédrale StJoseph se 


à 


—Ù n. “bon, “seroupe Gupe de Nos COM 
triotes "kon allés à la Convention. 


de Réginas' Le nord se trouve bien ra sSoletunellenent ouvert at eulte, 
veprést ntérnuxs séances où s'élu-, cdimanc he le 22 mars. par Sa Gran: | 
dient dä-has. nos problèmes, natio-.deur Mgr OLearx, | 
THIN. ou ! 

Au nombre “des heureux vost La baissé du blé i 
soeurs hous AVONS- remarqué: Mur, ‘ | 
Brodeur, PB. A4 Vivaire général du, Winnipeg. Le marché du blé est 
diocèse: haMorrier, président de affoié, Lessoptions de mai ont per- 
PAC EF, Ce: lé BP, Auckur, tr d'un sent coup El 34 sous, les 
recteur du ’atriates M. Jules Cus-)péduisant à #L90 14 Les autres 
grain. secrétiite (le Fa. counnission grains, en partieufier.le seigle et le 
Scolaires lé RP Langlois, O, M, l. Lin, cut subi aussi une dépréciation 
M, l'abbé délss: curé d'Afbertville leonsidérable, En mème temps: fa 


déléutés nouvelle tirculait que les eartels de 


CC ApAen de plusieurs 
[l'Australie se dés agrégaicnt et que 


de sa phroissE, etes ete 


M, Jos. Fortier. ae Aldina, Saan, ICS ferimicrs préféraient vendre 4 
les avait précédés de quelques jours. IF nt conant sur un marché üu- 
afin d'assistér on cours de route Aivert plutôt que de risquer [Hi ve; 
la eonventiin és municipalités ru Le eme ponêre ative, avec des pat 
rules qui se tenait da semaine der- ments CspAres Sur toute LC nnett, 
nière à Saskatoon, Hs Dintention es ue tn ne = 


quatre où cinq jvurs d Un nouveau yro ojet. 


} 

| 

de passoï i 
auprés du got! u 

f 

! 


Hégina pour pl: tider 


u Baie. Le territoit "eo qui 
D'Avers CR ls 260 milles dei à roe e 
leuils este loin d'être morocte tif. 
cet une partie du £1, 440.000, affecté. 


vernement les‘ intéréts de la muni- OU Les députés de l'ours st* 
cipalité qu'il -réprésente. ont demandé l'établissement de ler! 
M, Portiér, gs maire Midi nes de démensiration, le longs de tt 


fait un de voir. 0e PFenvoxer aupres 
des autor "UtÜs ? our cpnementules, el 
à chaëul, 4e sûs vOxunus il a réus-: 


si à.s6 fire Entendre N ous fermes essor imentales de. 
—Soh : malivais état de santé for. vruil étre employée à Je prouvé. à 
sait M, Publié Gilbert 4 donner, ui! | 
manche “eriter, sa démission cn Convention des Manicipali- | 
me curé de a athedraie, De puis ! i 
plusieurs «chbühes il souffrait d'u . tes 


ne roptise tro hûtive de travail à 

la suite, d'in grave opérñnion sue: 

bie l'été debnier. Il vient de par. 

dir potif ut hôpital de Milwaiscee, 
Î 


ms una 2 Î 
Éatoon, = La esnvention des | 
Afunicipalités rares à réuni ici] 
nrés de 1000 délégués Le maire 
dans, san discours.de 


lus par tout Le monde, pour défeu- pas été dite en termes explicites à 


dre les intércts de tous LS citoyens. fi elmbre, il parail lout de même 


Selr 


caréme 
sion 


ll 


lande 
ver. | a. 


Los 


La SE Patrice 


Cleveland, Ohio.—Dans som man 
lement de <carôème, Mur: Joseph 
“aubs consacre que lques pari- 
graphes à kr facon se andaleuse dont, 
en célébre Ja fête de 


et elle ist souvent 
de réjouissanecs ct d'amusee 
cuis que le Saint apoôtre de hr 
serait Le proimier À réprou- 


Ye: 


Ce fut le plus violent tremble- 


ment de terre depuis 1663 .|l 


{ ae 4, Le tremblement de Ler- 
re ‘du 28 février qui a secoué Hout 


TEST du Canada est le plus ronst- 
dépahle qui ait eu: lieu depuis Le 


début 


gouvernement 
chu de plus 


i 
ce qui 
vatoire 


F 
Francisco vol 
[ 


de LE: colonie en 662, 
A. EE, Hodoson, sismologue du 
, le décrit comme 
violent choc survent 
ei, et le quatrième de eotte violer 
ait été enregistré à Pobser- 
du Daosminion BLes autres 
les tremblements de San 
du Japon et celui du 
février HOUS dans ie aovd de 
Pacifique, 


EC 


AR 


urent 


{ 
'oetan 


: 


‘Pres station du serment d’offi- 


"prise 


ce de M. Caivin Coolidre, 
Président des Etats-Unis 

La cérémonie dt) 
Calvin Coolide 


Waushingion. 


d'office de 


° | 


en qualité de président 1e Elan | 


À 
ivue depuis un siècte 


Pécenomic dis Padninistration et 


Unis été Ta plus simple qu'on tit 


On avait Hhnité la foule des fiair- 


l'rnnts, à da procession traditionnel" 


(Hi réduetion des taxes, “Je ne dé- 


Wis: où fecevra des soins ur Harvex Clare, Su 
N Le Ê TR ; : 1? sde à inoins de 0,099 persunnes, Pur 
uents qu sit. santé réclame, Après biunvenue, 4 touché 1 question site à mon sv na na adiophonie 
une entivalegeence qui ne saurait maportante de PFéducation dés ete dé diseonrs du créidenl aus 
manquer d'étrè longue, il se cousu- Fants, Ina pu s'empéeher de re Palre coins du pays É ‘ 
crera prebabloment à oeuvre des Rue que nolre svstème vduea-, | pars, 
hôpitaux eathnliques sous li dire onnel tendoil à éloigner les ent Gène Convrès 
tion de set 'ondateur Le Rés. Bat do p Fume où lion de les +: ‘ LORS ”, 
Moukittier, S. J. atturhor davantage, | " ‘ . CM 
ns WT up qe L'Ution'des mnnicinalités rurales L'entrée en losction die M Poe 
Nous rou “ ons ous le us ce , n . .li ige { Fi at Ge me Congres el 
: C'est choisi les: directeurs Aaivante:: idge mit lin au Géeme Co 
M. l'abbé dilhert, Durant ie DO ES  ekRonvie dd Lab. D Louvrit de 60e sous la présidence 
de mois passés 2 milieu de nous, nie. cd ch AN 1e de eprisidont des E-' 
mi Sukes. Be OM Parker G LL Hum QU ROUVENt VIecpréstten . 
il avail Si conquérir. l'estime d° nellel LS CE rrôli, pH Mofttet els Unis. Charles GG Dawes, Ati. 
toute la ponulation. Nous lui sou- ne Vip à RRQ Morel: la premiére cérémonie res pi 
baitons if “rompt rétablissement, A7 NOTA A UE CR eut rait le calme el la paix, autant ki 
nine! cité bus , 4 Moffatt, de Bradwell. vice-président. NE . As - 
ainsi qui Pratiroup_ de setès dans : RE seeoide seit li poudre et la Da- 
“tail Aile Gilbe …. or ucelumalion, ainsi "que Re. er 
son travail féiur. Mile Gilbert, sa ‘ lnille: en effet, M, Dawes avait pris 
‘ lime Potletier DIN ATU La prochaine convention se Hendra . 
soeur, ct Minë, Potlotier, su iménuat f Bésinas Prince-Albert avait de paur suicl de son discours. br ré. 
re nritis ohl dussi quitlés pour re ft ‘ GET une du Sénat. el quant il eut fin 
| Eer. mandé de avoir, inais on à trauvé : 
tourner Üañs TE : de parler les dppliudiseements fu 
De. bi snbu Prince-Albert le JU Je Voyage pour si rentre te epeipsenté Ê 
Te PP HIS AL Meg je per, Post de from fortes dépenses attx, CHE OUI seËs ". , 
AE ortiér OALE ere de Del ingires du sud 1 Sur Pestrade niodeste, dressée en 
as. on voxake de repos: Le bon Loue vuniee une face dt Capilole, le jioë en ehef M 
Frère Niki 1 OM, en route pour u : SFalt vevut Le cconont d' offire un 
le Pas: À. Godin, de reteur de Le Leader” gagne son pro- rouiveur présidents: Phiniense pla 
Biz River, eût il était passer quel- s til ire de tuondo 
| .P Ie cès ice élit goire de onde, 
que lerups chez son fils. H s'en 23 | 
retourne à Be fus rejaindie su fr ee TT | Sa po.iliqie À T°: 
mille. loin, \près 13 heures di \: 
ot Gran "I Sur ce N : « ‘ : 
—Upe ble cérémonis refisicuse 1 Eine DR leurre es CU À: Dans son disveurs M, Coolidec 
; ee Joe PONENNENN AR Cet PCUNRRNNS fracu de, eranles lienvs ile son : 
ue ail ea ste dernier nu "a à coviées per le Lente étaient fon Dininistrationt Ja diminution du far 
éhapetle. cle : QE HGEme ti ON che ce “Re: constitnient Das UT) den dus ane ni fa roglangeaties 
jte Pégint. Abourgel, En Fi on : Hihette, .. te In Dai Pentente mutuctle 
our Mages Are En L, recevant de CI A Leesh. président de la mtre | E res : 
saint lnbisdes Dames de, Sion. dde isiu oué Lung COIPCO ICS Mit ions du mon «| 
Cas DL so, * camission des liqueurs qui AVAL ] , 
bains de Mar Brodeur. P, A RIRE sioteoté une poursuite en dommages Sa politique interieure aure donc | 
lès “abtiès Blioust et Olivier, tirisi: de EL DNS pour ‘libolle perd son coinnt mot d'ordres Péconomic 
£ e de à . Be . É ‘ - al 
NTI detis : koëurs cudeltes ‘de fa nou nt ëe ri SRE à over eg fpnre NOUS HVONs CLÉ, dit ilsel Bous nous | 
velle. slisifuse assistent à ectte sai ee et SLNAN ef non. Bree proposons 'êUt de plus on. bus |: 
mpless CE ht cérémonies À lee sq LUUO avec les honoraires mériceit i Dos tvons Un, hé] 
guelle Mer  Brodeur tr pr ononeé nn d' voGnt, ° ii ile, c'est coiffs si nots.avens : 
éloquent scEmon. - : _ | june destinée, elle cest dans celles 
PE EE «oi : E ! 
ELLe conseil de ville de Prin. L'embran hement d ile direction, 4 
Albert vientide prendre var alHtu-. À ane e Turile- loc: Bcunamie | 
de. iojuste à Pégard de nos inslitu ford | î 
tions atholiques. des De NorGns 5 k Pour remplir ce DrARranne lai 
pas bien comment des échevins. 6e Ottawa. Bien que la chose mail! prentiére chose qui, s'impose esL 
| 
. 
( 
k 
i & 


édite enmhoe) 


St-Patrice. 4 
celte Fête tombe toujours dur ant le, Ep) 
Pouce fl 


Ty Chemises 


M: DE : N 47 
dus dernicrs jutspi 


jouaient el lo jeune Harry MeCouw 


clan que ses paBoRS 


seu vont voter, dans Lg inéine as assuré. que  Pembranchement de sire pas épargner de-Pargent, mais 
somblée, complète exemption de ta Tartleford sen construit celle ane; épargoer de peuplé Ce sont les 
ses au collège aualivun QU PRET ürsqu'À Meetipe PLahe LE, ustifr Ne: ra de pavs qui paient des 
refuse Le mème pivitéar à l'or- possible ‘au'on Le pourcuive jus. freis du punerement Conque |; 
phelin tt St- METICE el LH Couvent qu “h Shelbrook avant de le réunir. doter que Hits gaspiHots sans nil 
de Sisn Personne. n'igaore Que à Hafford nous soucier siunifie que. leur vie! 
lan dérnier le conseil it décinié che, ie Isere appauvriedl'iutanti 1 est de lex 
fre remise au Ci lège SE Abo !elaré nusei apposé “ur Lrifs 6e 


M. Dionne sst remplacé par 


un M. Ryan 


de dix annécs d’ aurCrAges de taxes: : 
il lui faisait ainsi cadeau d'un sent: 
coup de S2,9fH. soit Les urrérages 


de trois ans; el chaque annér de: . 
que annèc di Duck Lake. 


sermais, jusqu'a entièis extinction : : 
de la clette, du le gratiliora de Tex de Brondvies, Sasks a ôté choisi | 
emption des lasés courantes en plys COTE secrétaire lésor ir de 
d'une année d'arrérages, LES et suni-ipalité rurale de Duck Lake! 
tholiques ne s'opnostront jamais H'renplare 4H Joseph Dionne qi: 
R peeupa ecetle charvse pendant prie 
aux légitimes favours necordées Aux se nas “ FU. ; 
institutions de charité ot aux oeu- CUS SNIEUS, a De basent 
vres bien mépitantes: pnais is res. era nobre s'étaient 
sentent vivement Les- denis de justi- sentés enr remplir cette positions, 
ce et la différence de traitement, MU était dit que Furgent de: 
auxquels is sont trop RUN LA Francn-cunaglions irait gens a pe 


be de quelqu'un out n'es nas de 
leur parer of px bableinent pas de 
leur religion. Cest la mise en pra: 


posés de Ja part d'une eerlaine elt. 
qué de leurs concitovens à l'esprit 


ce fastiee Rates EE lique dE a résolution qui sonne Si. Le président Coolidgc ter ain | 
tice administrée avée Les MÈMES bien eux jours de nos fètes nations. | SON discours par une péroraison ! 
set nn RS EDS és #Enconraprons les nôtres” fioul à Tuit jrs ke lon nimérietin, 
pois et La méme mesure. Ceci tour. . imtais qui franche cepordant paf: 
CL el 4 , U 0 N x. LÉTCE ne 16! : sonne J A ‘ 1 
nil jamais Ête aeconlé ons Qu'un | sa Haute inspiration religieusé sur 
R out & Ÿ ? le verbiage ordinaire des gouver- 
seul cas: l'Orphelinat St-Patriee n'a: Mort de lPhon. W. Pugsiey nants modernes © 
amas repu un son de Ja munies |, HT "Les  Elats-Unis ne recherchent | 


palité, chhque année on lui a indi. Toronto L'hon, William Pugs- 
gnement marchande son exemption {les à suceombé & une atlaque. de 
de ,taxes. son: vénérable directeur : Pneumone, # Toronto, le 4 mars, 
a été, pour ainsi dire, obligé de de- LU tail cé de 75 ons, 
mander à deux genoux grâce pour. M Pussiev a ioué un rôle impor 
ses orphelins, et cependant il four- ta dans ln politique canadienne: 
nit tous les dns au enmmerse de la: ul ministre deg travaux publies 
ville des milliers et des milliers de <o0s Laurier, pris lieutenant 
piastreé, que les ‘industries de son, Yerneur dir Nouveit- Brunswick u 
zle voñt puiser sou par sou, de- enfin président du comité en charte 
puis 95 ais. dux sources de Lx eha- 19e des relations eanautiennes 
rité «catholique, nan seulement en, COTE l'Allemagne. 
dehors RIT Er ville mais en dehors: H était en route pour Ouest “dans 
de a ‘éovinee. Prince Albert est Pesersiee de ses lonetions, qu'unl 
Punc des LATE villes qui agissent si- maladie Je frappa ha son, passage 
ü aur onto, ‘ ° 


“+ 
5) 


| jioint de revenus 
RS avais pour te RUES ct fin: demeni 


| 
net 
| 


Jobn ny: un. avour ils £oñt injustes.” 


pri de justice internationales à la (FOIE 


tlielise potr mettre I SUOPTE t 


vés, parce. qu'ils produisent peu 66 
parce qu'ils sont 


Poliliqée étrangère 


Quant se politique crtérionre, 


cthl cer lavorapte à adhésion de st 


EttseUuis à In Con Bormanente 


taliun des armenentss # toute ini- 


sie hors la loi. 


Î 


la’: sortc vis Vis. d'institutions si- Ne 

milaires, et l66 rest pas a I louan- Passer était originaire 0 fe 
ge. dos, Prétendus hommes d'affaires ânes: NB où il NAtOUfl à, 27 
qui: Jai fouverhent, sentemhre 83e u fut ect 1 Vo- 
AA chambre le come er 2 ses TON S72, ol devint dépuié sit 
hise en de be avre 1e art LUS ‘lu eumtés de St 1éan 8] 
chéf ‘du "En: ation Nationa- à Win; f: 7 : . | 
nipek: bôur:'deniander: Panplieation, a 1 
iminédiaté, fie Saskatoon à Prince}: L’Alberta a ur déficit de à 
Albert, ‘deb tluxe de trs usport moins, : 
élévés ‘anitintis par l'entente u Nidil .$620, £41. 42° : 
dé-Corbe A LI “En: elfét, li ligne. de! Edinonton: Le apport fine 
Prince. “AIDoE appartenail au Paci-/vier de la. province nonp- PO. 15 


fut euse un déficit die, #G20 RAT AT. 


rique Canadien au moment: où : 
vient 4Pèt à dénosé ä ia et: ne 


cônchié, celte Gnteüte, d oo he ‘il le. solar L' 
at purs ut meTpar Je tr so icr Hrovincin 

1 grand. banquet. fut. donné,‘ Fhon. R. GB QUES il montre dés dé: 

vendre ed sai. par. Ja. chrnbre de , Denses de SEF197-468.45,.eL des re- 

commèrces à l'occasion | du, 10. A06, 627,43, Lt 

de M, A, ‘2, Reynolds, , sévant de En 

barique® ‘ue, 4 Caimnere Lè-banquet. 


. HS 
fut présidé par. "Ar LT mai} ë Br alor, fit plus considérable. 


eebendas uit 
voir les estiniis--cela" est dù oûpre: 


que. -le LE ‘entr ee. 


‘apporté. pair 


Où ronarauit au nonibée des ‘con. 11 doi des iqueins et à une épargne | 


Va Ut” $47:000 elfreluce par uno 
RTE système lé tunue ‘des litres. 
C'est Ju austrièine année const 
tive. que - PAIbert: à: .ehrégistre un, ‘lé! 
fief: 


vives 144 Op Gilicrt” curé de 1 
eñfficdr ale, ainsi: que NA WA. Bou: 
che rHher. rep chant el 


| 


FA 409,3 
cde Wa apart “d'emballage, cte. on: 


Pérorcison CE 


point un empire terrustre bati sur 
le sit et la force, Aucune ambi- 
tion, aucune tentation n° attire tout: 
pensée vers des possessions it l'6- 
iunger. Les légions qu ‘is, lônt 
vañcer sont armées, FOR; pas du 
vlaive, mais de: la Leroix L'étt 
souverain auquel ils désirent gn- 
gner lPallégeunce de” Punivers on- 
livré n'est pas d'origine. himainé 
mais divine, ls" ne chérissent 
qu'un seul projet, celui du mériter 
less faveur s du Dieu tout. puisse ans.” 


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pu, Ho ram rh 


L’Alberta fait de argent a 
VEC Sa - comntss ton -des Por 
!queurs 


à a 
Bumonton. — Le. gouverncaneuf 
de PAlberta a retiré un profil net 
dé.S1,020,824,94 de ln tonte def 1t- 
quebrs pour lés-sept mois ‘de Pan | 
dernier, eomimèe ‘Findique. le pre- 
iwier Fanpore. ahnuel du "#*Liquer 
Control Lo: a ‘Les ventes'se sont 
chiffrées à S2,0832,605.07 ct le cant 
‘dés Hqueurs, vendues Tut. de : st, 
‘Sid'on déduit tes fraii 


carie à un: profit, brui “de 1,070, 


k sit. 43 “ 

k . 

oi On. éstinrée xlaiié: que les profits 
EUR des ventes: rent de près. de 
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77 Une légende 


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mpait an temps jadis. où l'Ouest 
a End, presqu’inconnu, n'était 
visité Que par elquès rares mis- 


onnaires et explorateurs et peu-| 


plé par les seuls 1e éhtistianisme: 
: tant é]4. 3 me: 
t " sation, marchant de päir, 
éré Jéur. charme paëifi-, 
avaient 0P : fai Let 
teur, Les gucrres se faisaient e 
Es fré tés et moins'cruelles, 
moins fréquen L cs tribus 
et à l'exception de:quelques tribus, 
véritablement féroces, réfractaires, 
S'tout bon sentiment, les sauvagks 
demeuraient ordinairement.en paix 
avec. felirs VOISINS, _. M 
Vivant de la chasse, né connaus- 
sant d'autres lois que celles dé la 
muerre, de la nécessité el de leur 
fantaisie, ils atlnient ‘à travers, la. 
prairie immense, Îvres d'air, d'es- 
pare et de liberté. 
Cette plaine. sans limile, qui, aux 
veus de létränger, semble .un. 0- 
céan infini de vagues. toutes sem: 
biables, in'avait pour ex Ancun 
mystère; ces énfañts «le ja malure 
en connaissaient les plus ‘infimes 
détails et mille. indices familiers 
Jeur dictaïent leur route, comme 
l'approche d’une source, le. passa- 
ge récent des hôtes ou des “hom- 
mes, , Tous , 3 St 
Montés sur ces ligoureux petits 
bronchos, qui not de rival que 
l'arabe, escortatt Îlés grossicrs vé- 
hicules où S'entassaient péle-mèle; 
bagages, femmes ;et etfatits, "ils 
chevauchaienf, sas but,.des jours 
et des jours, ou bien-établissaient 
des campements temporaires, gui- 
dés dans le choix de l’emplacément 
par ja progimilé de l'eau, la .quali- 
té du pacage, l'abondance du ‘gi- 
hier. D LT 
Parmi ces multiples races indien- 
nes qui, alors, silonnaient en tons 
sens, ln plaine sdris fin, ‘la yietite 
tribu des’ Vaillants ‘était l'une’ des 
plus réputées; son nom ,et: celui 
de son chef, le Grand Coeur étaient 
un hommage ‘d'admirafion, payé à 
leur vourage, à deür intrépidité,  : 
Doués d'une grande finesse; d’ant 
intelligence et’ d’une cornpréhen- { 
sion très vives, ils étaient, quoi- 
que barbares, de ceux qui se, rap 
prochent le plus. de notré idéäl de 
civilisation; un obacur: instinct 
d'humanité les faisait soupirer vérst 
la loi de pardon. ct:d'amour; déjà, 
ils portaient en.eux-le germe igno- 
ré des verlus qui font:les grands 
chrétiens, les glôtieux martyrs, et 
quand les missionnaires'leur ap- 
portèrent l’enseignement divin, la 
vérité leur apparût éblouissante ‘de 
clarté, Le Le 
Aussi, devinrent-ils, parmi le 
troupeau des nations évangeélisées, 
les brebis préférées, cellés dociles’ 
et aimantes en’ qui'se repase ‘le. 
Bon Pasteur, celles qui font sa con- 
solation, ses délices, .*. ….. 1. 
Sur l'imniépsité de-leur pays; 
elle va là ‘pelite”-chravane des. 
Vatllänts, accdrmtibngnéé de son.mis- 
sionnaire, chémMinant, ihsouciante 
et libre, commié l'air pur de ce ma- 
tin rayonnant ét.ëmhatmé. 
Mais: quel nage soudain monte 
si noir à lPhorizon? Cavaliers et 


de tempête, D 
Un tourbillon d'âcre fnmée, de 
flammes hautes les enveloppe, 
les suffoque un instant él comme | 
un canchemar d’épouvante, le fléau 
a passé, rapide, laissant aux ‘gens 
quelques morsures, aux vêtements, 
quelques étincelles, vite éteintes et 
les chevaux à peine-roussis et fré- 
nissants sur le sol déjà tiède, 
Mais nulle imagination ne peut 
concevoir le désolant spectacle qui 
se déroule à perte de vue, main- 
tériant, Toute végétation a dis- 
aru. Le riant. paysage. de -tout ‘à 
heure s’est transformé en un dé- 
_arid Le sol calciné semble 
avoir changé d'aspect... ‘! 7 
Le soleil éhsctrei ne ,jette plus | 
qu'une clarté diffuse et blafarde; 
son disque effacé disparait derriè- 
re une épaisse nuéc de cendre, que: 


soulève une forte brise, La fine: 


poussière, plus ténue que les sables 
du Sahara, s'infiltre. partout, prend 
à la gorge, la déssèche, irrite les 
Feux, Dot , 
Jusqu'à l’horizon’où courent en- 
gore des lueurs fulgurantes, rien 
ne fixe plus le regard: nul point 
de repére, sur, ces. régions -dévas- 
tées qui mettent ‘en défaut ‘lins- 
tinet si sûr des sauvages et.des bé- 
Tout gibier a'fui; l'eau, qu'un 
printemps sec, faisait déjà rare, 
€st introuvable. Altérée, affamée, | 
égarée, elle marche épuisée, l’heu- ; 
reuse pelite troupe d'hier, aujcur- 
Vhui succombant sous le faix ët 
Gand lugubrement le-soir descend 
sur Jeur profonde misère, ‘êlle. se 
retrouve, ‘6: ironie! sur -les ‘ bords 
arides du : Fléuve Maudit, roulant 
ses flots -aners, ‘d'une amertume 
telle, que tout être préféie la mort 
* son liquide empoisonné. ., ; 
Dans le silerice-morne et accablé, 
es Murmures irrités sourdent, en 
rondements précurseurs. de Ia ré, 
volte toute proche, : Au ‘mission- 
Naire qui prie pour le Salut de ses 
ouailles en péril, le chef-exnshéré 
dit: Robe noire, venu du soleil Îe- 
L ant, {ù nous as ‘dit que-le Grand- 
“SDrit nous avait créés “et Nous ‘a- 
; ONS cru, Tu'nous as dit qu'il dé- 
endait de tuer, son’ semblable ‘et, 
nous avons cessé là guerre.Tni nous 
4$ dit qu’Il voulait qu'on Le prie 
et nous L’avons : adoré à ‘genoux, 
lu nous ‘as-dit qu'il. véilait sûr. 
Ceux qi ‘craient-en-Lui: mais Pé- 
Ponds, que fait:il ton Dieu: quand 
nos femmes et 4 
.de soif et de faim?" " . ‘:: 
olomh menacé-par son éguipage | 
Mütiné, implore trois jours Me grà- 
a Pour leur prouver leur'erreür 
Fe Son génie: le ‘missionnaire, con- 
sant en Dien.puissant ‘thon, ne 
ù mande gu'une seule nuit... pouÿ. 
sauver et la vie: et la ‘foi.'de. so: 
'olbeau en danger." "+." 
. "Grand Chef, aîténds 
dant de renier le Dieu, qui t'aime 
£E te nratègar ensemble. Drions, ‘et 
1e te jure: Il aura pie 


à deinain 


botiquets de saules en fleurs, 


À ge, abondanmuent 1 
, douce, de bois, de pacages et de gi- 


-sans nombre de Jéhovah en leur 


Une dernière invocation apporte 
| l'apaisement et sur ces pauvres &- 
tres harrassés, un sommeil lourd 
ef. sans rêve pr'omptement descend; 
{tahdis qué je missionnaire: ‘age. 
nouillé supplie: “Seigneur, pardon- 
-néz à leur foi naissante, d'être en- 
core :si faible. Comme vous avez 
sauvé votre peuple des affres du 
désert ct l'avez conduit dans la ter- 
ré Promise; sauvez mon petit, peu- 
pié qui est aussi le vôtres. rendez- 
ni sa belle terre de paradis.” Et 
la prière monte implorante dans 
13 nuit. ‘ 


ou LEE: _ 

. Ün matin lumineux perce le voi. 
le diaphane de l'aurore: tout s'e- 
cltire en une féérie! ct merveille 
incfoyable! le grand fleuve s'est 


lihlinité de ses affluents, en minus: 
cûles'vallons débordant de végéta. 
tion hixuriante; des sources limpi- 
des chantent à ‘leurs pieds; des 
lièvres et des perdrix abondent, 
dans Pherbe haute et tendre et 
drue dont raffolent les bêtes; des 
téoupeaux dé buffles et de cabris 
paissent à une courte distance, el 
eaet là contrastant sur in richesse 
et la: verdeur du paysage, quelques 
petits Îacs frangés. de sels, der- 
niers vestiges de coque fut le grand 
fleuve; tandis que toute In rive 
sud se couvre de bais verdovanis: 
trembles “mobiles, bouleaux à l'é- 
carce claire, frènes modestes, or- 
més altiers, rosiers emibaumants, 


-poiriers. plovaut. sous leur charge |. 


‘de neigeuses corolles et en bordu- 
ré, une. lisière dé, saules argen- 
tés, moiranlt conune une cau pro- 
fonde, tout fleuris ‘de ces soveux 
cocons, couleurs de Jumière, si du- 
vetteux; si frais, si doux, à l'oeil 
et an toucher, imprégnés de toutes 
lës ‘saines odenrs du printemps, 
Quélles merveilles! - 

. Mais; à douleur indicible! de- 
‘varit tant de prodige, la Robe Noi- 
re, prosterné, ñe se relève. pas; 
Fimmobilité de la mort le fige dans 
une ;supplication supréme. Alors 
ces grands enfants comprennent 
leur péché; tombant la face contre 
terre, ils ‘exhalent leur : repentir: 
“Notre, Père dn Ciel, nous t'avons 
offensé, pardonue-nons: Grand 
Dieu Tout-Puissant, rends-nous no- 
tre Robe naire'et nous, nos en- 
fants, nos petits-enfants, t'adore- 
rons à jamais! : . . 

A leur prière naïve, Dieu sourit 
et la Robe noire s'éveille enfin du 
grand sommeil, alors, les actions 
de grâces montent en fosanna de 
joie, en triomphants Te Deum. 

- Sur un autel fait de branches in- 
génicusement enlacées, orné de 

(i 
Dieu Eucharistique, repose’ en .ce 
radienx anatin de printemps et-ja- 
mais he fut adoré avec une’ plüs 
ardente ferveur... En encens pür, 
des parfums -immergent de toutes 
ces frondaisons nonvelles:'sous les 
rameaux les sources gazouillenit 
leurs chansons cristallines: les oi- 
sceaux égréneut leurs tritles joyeux 
dans tous ics buissons, et des mu- 
gissements doux, veuant des trou- 
peaux, traversent l'air si limpide 
et ajoutent leurs notes graves das 
le conéert- harmonieux de la nalu- 
re en fête 
” Abrilé contre-les vents du Har- 
pourvu d’eau 


rs rm 


bier de toute sorte, quel pays! En 
grande poinpe, la tribu le choisit 
pour le sien; en le nominant Val 
des Saules, la bénédiction de Dieu 
descend sur lui avec celle de la 
Robe noire, Les Vaillants s'y éia- 
blissent d'une facon permanente. et 
v, vivent henreux comme dans un 
paradis terrestre, 7 
CES S 

Pôurquoi faut-il.que l'inconstan- 
cè soit si inhérente à in pauvre na- 
ture déchue! Comme les Israëlites 
ingrats oubliérent les prodiges 


favbur; ainsi Jes'enfantis de la prai- 
rie, dans les délices, d'un pays où 
tout est à souhait, perdent graduel- 
lement le souvehir des miracles 
dont Dieu avait comblé leurs an- 
cètres, ' 

:Et l'expiation vint | 

‘Un jour, un blanc, à la face dure, 
à l'allure autoritaire, au verbe gut- 
tural parut et dit: “Désormais, ce 


oo © 


-coin s'appetlera: Willow Buneh”, 


À leur jolie contrée, toute de grà- 
ces et de fraicheur, imposer un tel 


nom! Leur âme. prhnitive, emprein- 
te de. poésie innée, se révolte, de- 


vaut cette profanation. Et ce nom 
barbare, les Sauvages refusent de 
le prononcer, : 
 Navrés,,; mais résolus, ils ‘s’éloi- 
nent peu à peu abandonnant leur 
pays.si cher, cèlui de leurs aïeux ! 
LT LIL. 
. Et c'est ainsi qu’on raconte en- 
core. chez nous, la légende du Val 
des Saules, dans la. douceur. des 
veillées..… Pour ceux qui seraient 
‘tentés de la croire forgée de toute 
pièce, voici un témoignage authen- 
tique, celui de l'Histoire, cèlle du 
pars: “La Montaghe dè Bois”. 
‘“La vallée de. Willoÿ Bunch 
présente un'aspéct tout à fait ca- 


“ractéristique. Elle est. étroite, un 


miilé à peine de largeur; mais €x- 
trérnément . piftoresque et d’une 
longueur extraordinaire, 200 milles. 
C'est évidemment le lit d'une ri- 
vière depuis longtemps désséchée. 
Les :collines qui 14 bordent sont. 
de véritables -faldises #ur desquel- 
les ‘on;. découvre . encore aujour- 
d'hui, en certains endroits, le long 
travail dés -eanx. Li me ne 
‘ De, nombreuses coulées, qui y 
‘aboutissent, représentent, à n'en 
‘pas douter d'anciens ruissenix, Les 


nos’enfants meurent | deux: bords dé la vallée offrent ün 


à.fait différent. Tandis 
que’ In:rive sud'-est recouverte. de 
saules,- de :trebles, de  poiriers 
hains et autres arbustes de ces ré- 
glons, lé:rive ‘nord est, complète- 
ment: ‘dénudée, : Tandis que sous 
és ombrages.de:la rive sud, on 
“voit sourare sibondimment d es:fon- 
gaines, la:rive nord est aride, ‘. 
”. Le. nom de Willow Bunch: qui 


qui fut donné par les’ anglais 


‘ n 


aspect tout: 


rétiré! Son lit s'est transformé en | 
‘ui bas fond d'uné riante fertilité: | 


, 


Li 7 LE PATRIOTE DE L'OUEST; Mercredi le 11 mars 1925 . 


,. = ” 
cet endroit Talle de Saules. Les 
Anglais qui.en prennent à leur ai- 
se bolirent simplement le vieux 
à. et le remplacérent par celui 
| de, Willow Buneh, | P ein 
:Mgr Langevin, dont le patriotts- 
me était bien connu voulut protes: 
ter cotitre cette usurpation dons 
| un acte officiel inscrit dans nos 
, régistres comme suit: - 
“Visite. 
des Saules, “à 
Cette protestation platonique ne 
madifia falheurcusement pas lé. 
tat des choses, °° 
c+-..Mais le jour est prochain 
où chanteront encore sur notre 
contrée. bénie, les syllabes har- 
monieuses d'un nom bien français, 


qui est'le sien, 
PERRETTE, 


pastorale de St-Ignace 
Où 


St-Ignace des Saules 
Janvier 1925, 

RE 

| Combien de temps faudrait. 

,  Ü pour la fusion des races 

aux Etats-Unis” - 


t Un distingué écrivain américain, 
le Dr Edwin E, Slosson, publie dans 
la revue ‘intitulée “Science Servi. 
ce”, un intéressant arlicle. dans le- 
quel il cherche à déterminer, coni- 
bien il faudrait de siècles pour oh. 


ué PAYS, » 
Combien dé ,lemps, dilil, doit 
fanctionner le creuset des racus? 
D'aprës les données l'ournies par 
le bureau des naturalisations ‘de 
New-York, on “labrique chaque 
jour cinq Mille nouvenux amori. 
cains”, c'est-i-dire environ qninze 
citoyens par minute. oo 
À aucune période de l'histoire 
humaine un, four de fusion n'a. 
allié avec tant de rapidité et dans 
uné aussi large proportion, des éle- 
ments aussi disparates que les poti- 
ples destinés à former la nation a 
méricaine, à 
Combien de sièclos faudra-til . 
pour obtenir une masse homogène 
sans cristaux susceptibles d’alté- 
nuer les qualités du métal fondu”? 
Selon le professeur Linders Pe- 
trie, léminent égepltologue de l'LE 
niversité de Londres, une période 
d'au moins sept À huit siècles se- 
rail nécéssaire, Ce savrnl, dans uñ 
ouvrage remarquable sur les Rèvu. 
lations de la Civilisation, retrace In 
grandeur et In.décadence de huit 
-bériodés de la culture humaine, 
qui durèrent en moyénne chaane 
de 1,300 ans à 1,500 ans, en se ter- 
“minant rékulièrement par la fau. 
lite. H est possible de comparer 
lés rates aux descendants des nou- 
veaux riches qui gaspillent la for- 
tune’ accumulée par leurs ‘péres, 
Pour retoinber finalement dans 15 
misère, . | UT 
Quad na peuple vieillit, i ne 
peut être revivifiéque par da trans- 
fusion desang frais, e’est-ñ-dire 
grâce à un mélange de races. Las 
sinilation romplété d'au élément t- 
tranger nécessite at molus 7 on & 
cents.ans, Au bout le ce temps la 


Ver®1840, au retour d'un voyage 
à Londres où il avuil été reçu en 
triomphe, M. Guizot, pris-d’enthou- 
siasme pour la puissance anglaise, 
s’écriait: Si Je n'étais pas français, 
je voudrais ètre Anglais, À quoi uü 
auditeur ‘répliquait: Si je n'élais 
pas Francais, je vondrais être Fran- 
‘ais! . 

Nous qui avons eu la haute fa- 
veur de naître Français  GCatholi- 
ques, pourquoi donc abdiquerions- 
nous celte éminente ‘qualité pour 
nous et nos enfants? Pourquoi ne 
fertons-nous pas limpossihle pour 
assurer la‘perpétuiié duns 1’Ouest 
de:hotre belle race française, que 
le ‘gand Léon XILL- dans une en- 
cyclique appelait lu plus noble, la 
très. noble, ‘‘NOBILISSIMA GAL- 
LORUM GENS"? Car enfin, savons- 
nous bien tout ce que comportent 
de grandeur pour ‘nous et de digni- 
té les incomparables exploits de 
la France au service de l'Eglise et 
de la gloire, ces oeuvres de Dieu 
opérées par le Français, Gesta Dei 
per Francos? —— c‘ 

Oh! si nous savians un ‘peu lhis- 
toire. .de France! Comme nous se- 
rions fiers de nos ascenduñces, 
comme nous fiarcherions la tête 
haute parmi ces méprisants indivi- 
dus de la race qu se prétend snpé- 
rieure; comme nous Jeur dirions 
que la noblesse d'un peuple n’est 
pas inscrite dans les livrets de ban- 
que ou de compagnies industrielles, 
mais. dans les pages de l’histoire, 
et que la générosité du sang ne. 
consiste pas à fournir des chame. 
pions boxeurs, coureurs, nageurs 
et dès étoiles dé cinéma, mais: à 
se prodiguer sur. les chämps de ba- 
taille el: d’apostolat au profit dé- 
sintéressé des causes justés, et non 
pour l'avancement du commerce 
ou d’un impérialisme assimilateur. 


De l’histoire de la France: jaillit 
une beauté toute spirituelle, Avant 
même que par le,baptêmé du roi 
Clovis, notre mère patrie devint 
la: fille aînée di l'Eglise, la supre- 
me résistance des Gaulois de Ver- 
cingétorix à la conquête de. César 
était la lutte d’une idée de hairie 
contre les ‘prétentions domina- 
trices des prétentieux de ce temps. 
«Après Glovis, tes rois très chré- 
tiens mettent leur'puissance à la 
disposition de ces évêques qui 
“font la France comiue les abeilles 
leur rûche”, Charlemagne convyér-: 
tit:ies Saxons, bat les Maures d'Es- 
pagne, donne au. Pape un ‘de-ses 
royaumes et se fait Couronner erm- 
pereur à Rome: no 

LÀ la voix ‘brûlante de St. Ber- 
nard, de Pierre. l'Ermfte et, des 
Papes, préchant les. Croisades, des 
milliers, des millions. de éhevaliers 
français. s'arrachèué à.la doncetur 
‘dé leur château pote aller ‘en ‘Fer 
re Sainte retouguérir où défendre 


Je: torhbeau du:Sanveur, ‘27 
: Aprés'St, Louis, c'est Ste Jeanne 


nue corruption du nom ‘primitif, | D'Arc, que Dieu envoie pour empé- 


Lec métis avatent, en effcte 


4 


baptisét cher que la race française ne dic- 


a tm nt non at, on nel mpbmmmne eee ae + 


tenir, aux États-Unis, une masse! 
homogène ‘de tous les éléments dis. 1 
parates qui constituent le peuple de! jorité, et d'y ajouter quelque cho: jours l'argument pratique 


Quelques raisons historiques de 
__. rester français 


en arereer master en 


a 


4 


+ 
be Semen ve cg 


jeter aus qtatre vonts du riel “les! 
feuilles de Parbe de vie” pour le 
salut des nations”".2=Mgr PADILLA.| 


düyen de l'épisconat de l'Argentine ! 


nation aticint sensiblement :l'apo- 
xéc de son développement ot de sn: 
puissance, Elle pourra tout au! 
plus se maintenir au niveau d'une! 
civiisntion supérieure pendant 4 | 

où 5 siècles. Ensuite le déclin | {Jry icati 
commencera falnalement et le pou- Une autre : publication fran 
ple retombera dans la barbarie, ! - Çaise. qui .va. disparaître s 
. Telle esê la lecon que nous don. ous n° renons gar 

ne l'histolre ct qui suffira peut- | ñ 4 pren F ce. 
être à modérer notre impatience à, ouvernemeont pu! 


nous Amédicnins. . Elle nous mon: OURWR— Le | 
tre qu'il faudra encore bien an :blie chaque année, un volumineux 


temps.et des, efforts particulière. | Dante as ETVités les Con ! 
ment dm pour former le PC comprend’ deux gros volumes qui 


nn CEE" 


à 


idéal d'Amfrieain pure race de Pare: comptent environ 2,000 pages, 

venir. Cp vaphort parnil ardintiremont 
dans les ceux langues, Mais depuis 
quelque Lemps. il est lartoment ques. 


'amcremechenenemnnes Te ee à cam ‘ | 


è Î 


Paroles d'or de M. King : 


| tion dans la ceapitaie d'aholir ln 
LU traduction francaise. 
Nous, voudrions que tous les Ca-! Comme une décision définitive 


nadiens-inglais de l'Ontaria en 
particulier ,&l tous ceux du Domi- 
nioñ eti-géhéral lisent et méditent 
ces paroles de notre premier mi- 
nistre, l'hon, Mackenzie King, qui 
se trouvéntlen.lète des articles de : 
lAnnudt::Renien, revue commor- 


in'est pas enort prise, si nos infor. 
‘imations sont exactes, il est encore 
itembs de sévir et d'avertir les inté., 
:ressés de ve qui $e prépare. 

AL faul protester, puis prendre In 
“solution de demander ce rapport 
: Li k nu gouverthieine \ DUO VE Ü 
ciale et industrielle, et du Mon. : plus one PE generee 
treal Herald”: L'un ne va nas sus l'autre. Ni ln 
“Pour ce qui est de la civilisa. | tradnetion. reste sur les étagères du 
tion canadienne il pous faut nons | Houverhement, si on n'excree pas] 
clforcer le conserver ‘ce qui a le lle droil qui nous appirtient, invin- 
blus de valeur dans lés traditions | ciblement, les fonctionnaires du qui 
des deux: grandes nations dont dépend la chose tenteront de l'ubo- 
nous descéndons en grande man. |, chaque année, et ils auront tou. 
à apporte 


so qui houk est propre, quelque !ter 

chose qui istinsguie notre nation Car, He uons v irompouis pas, 
des autres nations, el'qui sera no- lee rapnôrt est très important. IE 
tre quoté-paitt dns Phériage com- {est bourré à en crevur de renseigne: 


mani que ous laissorons après | mont de toutes sortes. d'inforimu- 11. . ua —. 
nous," ‘ ù 
Remarquous bien, le premier. n'y a qu'à le parcourir pour von- 


naître tout de suite l'intérêt immetts 
se qi'il-offre à tons ecux. qui s'oc: 
cupout d'assurance ot mème hux 
profanes, et, surtout AUX conte 
anies cllés-mômes, On y trouve les 
lois, provinciales et fédérales sur fes 
assurances, de même que lus snen- 
dements iuloptés par les diversos It- 
gislatures. On y reproduit Les prune 
cipaux, changements, nnxquels ces 
lois ont donné lieu durant lantéo, 
les ‘dérisions du conseil privé ou 
des tribunaux supéri ° 


ministre be dit pas: les traditions 
de lPunique nation, mais hien les 
“traditions des deux grandes nie 
tions, 5 

Or les. grandes traditions du Ca. 
nada-français, celles qui ant te plus 
de valeur, sont la religion, sa lan 
ue ct sés Coufumest | 

On ne pouvait condamner jus 
explicitéemetit les parlisans jaunes 
de gette. utopie: one religion, one 
language, one flag! 

Paroles d'or! 


2 a mmtredemntentane À 


tions, de chiffres et de _ 
Î 


‘ j éurs, 
‘ Lbs:statistiques -visentent un in- 


à. 


A o  pommenuss 
ee: 


térêt extraordinaire: Aetif-.et pus- 
sif des compagnies, leurs  plive- 
ments de Pargent qu'elles ont reçus, 
le ombre de potices qu'elles ont 
on forcë,'1ôs taux chargés. dans di- 
iverses parties du pays, 
ele, tout est anulesé, . 

, On oblieul celle publication en 
s'adressant au Ministère des’ linan- 
ccs 


Lin diversité d'origine n'est 
pas. un obstacle 


Bien loin alé penser que la di- le risque, 
versité d'origlue soit uit obstacle 
ü soi, perfectionnement,  n'est-ois 
pas aulorigé à dire que la popuiln- 
Uion du ‘Canada, aujourd'hui, qui! 


tient par, son origine aux deux us ie ere , 
plus. grands jisuples de l’Europe! Les trois catégories de parolke 


et même du monde entier, ‘est dès- 
tiné À devenir un grand peuple, 
par: lPünuion &f la communication 
des éminenlies qualités qu'elle. n 
reques de la Pranee et de l'Angle. 
terre, à devénir un  penple qui 
jouera certainement un rôle in- 
portant dans lés’'destinées du con- 


è ei 


I siens n " 


DR LAQUELLE ETES-VOUS” 


mn manage 


L—Le paroissien 


va à a Messe Le dinnehe, 
1F fait ses Piques, .. . 
HE s’insbyuit un pen de sa religion. | 
A laiése inscrire son nom à PU! 
nion paroissiale, 


tinent hord-xMéricain? out dl. 
Mgr  Louis-Francois-hicher Lai 
flèche, de évêque des Trois Riviè- 
res, 


Quand on le. veluuce, if donné 


il 
| 
| 
| Il prie, 
4 
mn | chose pour le ‘denier du 
| cuite. h : 
"+ 
He bon paroissien 
Î I fait tout cela, mais en plus: | 
FO communie tous les mois, 
. HN prénd place, quand il Le peut, 
à da brücession du Saint-Sncrement 
ile premier .dimutehe du mois, 


paraisse, absorbée par l'Angleter- 
re, Puis ce sont lès saints añina- 
bles: St Francois de Sales, St, Vin- 
cent de Paul, Ste, Marguerite Mu- 
vie,.et In Bse Thérèse de Lisieux, 
Et les grands Hommes, chefs d'é« 
tat cultivés comme Francois ter, 
soutiants comme Je bon Henri IV, 
tuagnifiques comme Louis XTV, con- 
quérants coiïme Napoléon, Ce sont 
encure les génies Httéraires: Bos- 
sut, CaBruvéré, Corneille, Racine 
et Molière; les champions catholi- 
ques: Montalembert, Veuillot, de 
Sonis..., Que dire de ces :miracu- 
leux sursauts de touté l'âme entho- | 
lique francaise qui forme la Ligue 


rême et à la retraite pasrile, : 
IE est mernbre actif des ocuvres, 
pense de Inismême un denier 

du ville, 


Hl.-—Le trés bon paroissien 

ÎLE assiste à la Messe ct communie 
ef semaine. quand, il le pont. 

IE faif partie den Conférence def 
Saint-Vincent de Paul, de la Gonfré- 
rie du Saint-Sacrement… 

IE aime à faire chaque année une il 
retraite fermée, ‘ ; 

H'fait vraiment des sacrifices pour 
les oeuvres, 

IL est upôtre, 


ï 


(La Plaine) 


pour empécher le mariage migtete | i ee pe an A 

la France avee Henri de Béaru | DTA | 

encore protestant, Et ce souléve- Un mot de Toto 

ment de Ja Vendée contre la Ré-| . ne | 

volulion qui vent Jui ravir ses pré. | Marnan, fâchée des bélises de ‘Fo 


tres ‘et fermer ses’ églises? Elans 
quelle autre histoire des peuples 
vait-on ‘de semblables héroïsnies? 
une aussi admirable lignée de 
grands hommes? une suite plus gé- 
néreuse de dévonement, de vor 
tions missionnaires, de défense re- 
ligieuse® Ah! sinôbs savions l'his- 
Loire de notre race, nos titres de! mereier, le bou Dicu que je sois pas 
noblesse, la richesse incomparable | “juinoau” comme mes petits con- 
de notre sang! . {sins, | ! 

It faut enseigner au Français! 
da france”, écrivain nuguëre un 
historien. JL à nous done, Cana- 
diens-français, à deini noyés chez 
des honunes d’affaires. domina- 
teurs, qui méprisent tout ce qui 
n’est pas or, tout ce qui n’est pas 
eux, quelle nécéssité ne sentons: 
noùs pas de grandir notre contfian- | 
ce «en nous-mêmes, notre fierté du: 
râce, èt âme française de nos en-[  Elle.Nüôn, der, . / 
fants, par une-sérieuse étude de} fui: Parfait! Chañgeons del 
nos gloires, qui soit en. mêrûe temps | place, - : 1. es 
uné. iecon de patriotisme ei de foi ï 
virile? Que nos classes de français | 
ue se hinitent pas à une pauvre 
lecture ‘de pétite grammaire; qu’el- 
les se hanssent à ’une insufflation 
de pensées héroïques; qu'elles rious 
enseignent notre France et nos añ- 
cêtres, commé une grande soeñr 
parle à ses petits frères de la ma- 
man disparue, cominé les vieux 
gentilshommes d'éutrefois narcon- 
raient avec leurs fi$ "héritiers du 
nom da galerie de portraits les 
aïdux, en fui démandant de ne pas 
déroger: . cotes SM 

ji , : « 

Aprés de bonnes promenades dans | 
Phistoire de notre race, nos $ 
n'auront pas l'idée. d'oublier ler | 
langue, ils ne baisseront pas la té-| 
te quand. des ignorants ‘meércantis 
croiront lés écraser. en les traitant 
de: Frétichs ee sera pour. éux .cam- 
mié pour..nous tous, -le plus: hean 
‘brevet de noblesse.‘ : 


to, la. gronde: . 
—Mon Dicut que je suis malheu- 
reuse d'avoir un enfant pareil! si 

insüpportablet ' 
-+AMfais non, maman 
supportable. 
—Oht que si . 
Ben! manian, alors tu devrais re- 


, J'suis pns in- 
‘ Lu 


Res 


Amour et confort 


pure 


Jeunês mariés britanniques, en 
wayon. 
. Lui,—Tn cs bien ‘installée? 

Êlle.-—Oui, dear, | 
_Lui.--Le dossier est inoelleux? 

Élle.Oui, déur.. _—— 

Lui,—Pas de courant d'air” 


Q n 


. a  — | 
. Humour anglais 


Un gamin, tournant le coin d’une 
lue en courant, entre en collision 
avéc une vieille dame, . 

—Où coürez-vous comme. cela, 
mon petit? demanda lu dame, 

À la maison, madane, Ma mère 
| va me donner une fessée! 7. 

— Mais vous êtes :si pressé que f 
cela de recevoir une punition? : | 

Non, Mais si je ne rentre pas 
avänt. môn, père, c'est lui qui me! 
dohnera la fessée... 


En 


Un richard 
“plage, écho deja saison, 


tou 


… Sur 
defjnière, ue 

Entre. eux graves, ,personnagés 
d'une douzaine d'années, l'un. fils 
deibänduier parisien, l'autre un'en- 


NN "A, DÜPLESSIS. |fant du pays. la 

L'Unian Edmonton: | ee derniert "7, 

Ce tte 7. inle baignes seul, dis 
; ‘ [PRESS ‘ mn D ue 


. Lt. foi papn? … Le 

+ ne se. haigñe pas, lui. 
.+Pareë qu'il ne ‘sait pus nager, 

0h! que si, mais”1os -dané a 
mor, él Popricsce 


;- Propageons la vérité 


s 


br is nc C'tt SIT 
“Ceux qui savent manier: la phy- 
mé doivent écrire; les-suires -dui- 


vas soutenir ous qui écrivent, ef acte dons 


I assiste aux conférences du Gt IE 


DRE PRET EN ENNSNE VOS 


Ÿ où vous puissiez vous procurer lout le bois et le mié- 
. riel de construction, c'est chez nous. 


| Tél, 2275 


nets Datamanu mn ann à à ne me à 


nassnt: 


À SE one net EE AS ES) 


Cuir, de haennis tanné à l'huile noîre, fameux ‘entr broh pot 


ll 

L 
} 
} 


D Edmonton, Alta, 


mes Aieramne ere 2 s 


A De mnt 2 dm mn m2 A ques vo de ae au, ren mer me A 


CE = = 
AE nb ma ue pue ma 


ee — 


pren sn pe rien Ed 2 6 8 ne Eat ee 


énergie 


ain d'oeuvre pour la ferme 


Des arrangements spéciaux ont été laits pour pouvoir 
rencontrer toute demande raisonnable de 


MAIN D'OEUVRE POUR LA FERME 


venant de l..: 
L'ALLEMAGNE 
| + LA HONGRIE 


L 3 


et autres parlies de l'Europe Centrale 


CR 


Si la demande est pour main d'oeuvre britannique où 
scandinave, mentionner en plus si un sujet de l'Europe 
Centrale peut être employé au cas où on ne pourrait tn 
sujet de la nationalité préférée, 


nie eme 


Voyez. notre agent de station le plus près pour formuler 
d'atplications au écrivez dans votre propre langue. 
DAN M. JOHNSON, 
Gérant pour l'Ouest 
Départements de ln Colonisation ét du Dévéloppenent 


CANADIAN NATIONAL RAILWAYS 


Branche 100, Gare Union, Winnipeg, M 


| 


| 
À 


Le seul çn 


droit fiable 


La qualité que vous désirez nous l'avons à des prix 
raisonnables. | 

Nous goimmnes à cinpiler dans notre cour et sous 
non remises une cargaison de bois de première qualité, 1 
‘Le printemps s'annonce et vous avons le matériél dont 
vous avez besoin. 


Charbon en tout temps de l'année, 
NORTH STAR LUMBER Conpagnie Limilée 
Renommée pour la qualité de ses marchandisés 


J. P. HEPBURN, gérant || 


C4 + rpmquens em seb es menu ue ennemie véeve à 4 ee sommes ve die amener à one mie à pi CNRS NÉ mad Me Ne ne amener 


euh chan Paume 234 DS ee ai anemeenne sa 
ES 


C2 


. : TANNERIE DE DEI MAS 

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AVEC SENVICE POSTAL DIS LA SASKATOHEAVAN 
"Quartier pénurie der rabe dus lOuel 


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Bebinntillann envoyés Rratnuilement nur demandé 
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S'adtesser nu ou 
Scholnaticat des Oblats 


: OUVRAGE EXTREMEMENT INTERESSANT 


poprdopareauernenennes me CR RD R nee dre dé ne eee Eden ooia mer 


em 
a de ee 


tre a ent 
A Een rm ER 


Far ae sat 


ASSURANCE SUR LA VIE 

Ples de un million de dotiurs payés à dale, aux assurés où à léurs 

Ê faillor, 

i Près de vingt millions d'assurance en forre, 

LA SEULE COMLAGNIE D'ASSURANCE SUR DA VIE Qu SOIT 
ÉSSENTIELLEMENT CANADIENNE- FRANCAISES ; 

; Les assurances sur Fa vie ont sontagé bivn des miséren, 4 vst 

beaucoup de veuves el d'orphalins qui leur oh gardent une infinie 

reconnaissanec, D n 

I est beanéoup de voillards dans le:inoude entier qui vivent 

en ppofaite indépendance, vue vie heureuse ct tranquille, grâce 

aux nssifrances sur da vie qiils ont prises lorsqu'ils éfnient feuner, 

est beatcoup d'honnses d'aiflures et d'industries qui loue. 

doivent Le salut, parce qu'ils ont trouvé-dans Jours polices das. 

surdee à des heures critiques, des ressources indispensaties qu'ils | 


he trouvaient plus ailleurs. . ; 
" F'asstrance sur la vie est une nécessité pouce pére de Ets 
mille gui doit-avoir assez de cocux pour ne ns expuscos-sn lemmé 
et ses enfants à reconrie à la charité publique sila mort vient l'an- 
ever ft leurs affection. 

l Êlle est indispensable pour aie ère d 
idehovs des dépenses qu'ellé entraine, laisse 
icharge d'élever seul ln famille, in . 
Pile est nécessaire su jeune homme, à là jenne file qui doivent 
Iprütiter de leur jeunessé pour économiser un argent, que d'autres 
fiettent an. vent, et. don: 5 anvont laut besoins plus-tard,. - ‘ 
: Bille est fadispenñsäble an ferioier, comme elle ‘ 


ont da disparition &n 
père, la trés lourde 


f Î Pest an frofes- 
ionnel, où à Phonnne d'affaires, Un médecin oÛun nvacat-peu- !' 
vent avoirs une excollente ehentéle, _On'en resterait nprés leur 

mort? Quelle source de revenu la famille en-rétlrerat-elle, ai 
‘ L'hornme d'affaires péut avoir cnitre les 1otins vue magnifique 
entreprise, Qui la dirigers quand'iline sera plis à? | 
… Le fermier vil sur sa ferre, et Ü élève sa farnille, munis il-doit: 

travailler avec touf. son courage, Qui vu faire le travail anrés-sa 
mare? La snère de famille ira-teile à la charrye en laissant les 
enfants 
qe nous ecenpiois, ‘un devoir de constience, ot nn ‘devoir dau 


de la chose. | 7 : . , À HAUTES 
Mais assurez vous dus la Sauveghide, et n'allez das portei 


vatré ‘argent & des: compagnies mrémicaines -quicne. vous dunneni | 
tions. que les autres, et appauvrissent le: 


Fe 
> 
“ 
wi 
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i - 
ce 
2. 


017 Burenë chef, MONTREAL 2 
ci, Rayinond _i 


* Edifice Victory, Winniptz’! 
ON DEMANDE, DES AGENTS me A 


Dents, agent général pour d'Otént, 
" CUVONDA, SASR, “1 


Lu | AT: Monnia, ‘agent spécial pour le Maniloha, 


ETES 
, = 
EN) 


+ 0 A 


ee er Me ed motcmnbees + one aient à nuclear ane seins 


Au pays du cinéma 


Le inolheur, e’ est, que  Paccord 
parfait ne régnait pus. toujours suri. 
nos terres. Les deux: protecteurs 


D nent ane à 


| Une question d'actualité 


Dasmessemsenen 


. qui la. fate? 


Ts A 


Banque Canadienne 


"SALLUST LAVERY, H.C.L. 


«“ chiffres nous apprenent que A t JL | 
avaient léurs passions, et pendant® j: Les Chif à ; l .  Avoca { 
ya peut-être lieu de se déni . , , qu'un Jupiter. faisait son sommet ! inst En ne choc MAURICE “DEMERS, L.L.L ._ . Nationale 
x a peut-être Tieu de se dénian- Il faudrait des postes catholiques de radio ; Ldans la relevée, d'autres jounient{ formidable. Les sommes qui ||]. : Avocat . (Banque d'Hochelaga) 


. v sida légende qui nous fait pas- 


* 


JULES MARTIN, CR. 


Lavery & Demers 


AVOCATS ET PROCUREURS 


Siège Social—MONTREAL, 
‘Capital -versé ct réserve, 
et $11,000,000 


C'est ainsi que-bes petités Dilles Qui li iiard 250 millions de dollars ! 
des premiers partout à tirer par-E vie de famille, amenant les anal forme trouverent un jour leurs Si on sunge que l'industrie des eon- 
ti des inventions modernes, pour Fteurs à passer debout des parties bonnes femmes nogées dans ln lon- esente 2 milhieits Er sn re 
les fairéservir au bien et à la pé-lde nuits, et les enfants à ne plus TE À force de caresses elles les { Pie us automobiles 1 milliard 


de mauvais" tours à ses protégé in sont consacrées représentent { 


nstances, où si elle n'est pas par- 
is notre propre fait.” 
Ainsi, lorsque nots parlons à des 


., tisiens, des richesses de la Sns- 


‘ tchewan, de lPaveni de Winni- 
g, des splendeurs du Niagara, de 
vallée de Ia Matapédia, des Tor- 
È hytirauliques de Shawinigan, 
: Ja Metabetchouan, de Péribon- 
+ Ge la pauvreté de Caughnawa- 
? des Manitoulines et de leur ea- 
lale Manilowaning, ainsi que du 
puié d'Hochelaga, H est asez nn- 

. rel que des oreilles peu habituécs 
de telles assonnances soient tout 
abord rébarbatives et” que, Ceux 
ii les possèdent puissent s'imagi- 

ù N que-nous parlons au moins la 

ngue des Peaux-Rouges, des 1ro- 
os où d'Apaches qui ne sont pas 

, üx de Paris, bien. que.ces der- 

 ers ne parlent pas du tout le fran- 

. is de l'Institui.. 

° Jl y a aussi kr visite en France 
+ plusieurs des nôtres qui n'ont 
is. eu Je temps où l'orcasion de 

| ocher leur grammaire ou, Larous- 

l, et:qui, par contre, $e sont trop 

‘_attés avec les Américains où les 

Î nglais, Ceux-là ont assez sou- 
nt, une mamiére de s'exprimer, 

! pable de dérouter le Français on 

1 tranger le nuenx dispose, 

Et, cette phra entendur dens 
l tramway, enive deux ‘‘n: âchées”? 
* gomme, par ne fillette vexér do 
voir. reluquée par une autre pe- 
2e ouvrière! 
“Laide concu: qu'elle est. avec 
1e gueule soute qu'elle 4, qu'a 
se dont d'elle, avant qu'a vise tes 
tres”, 
Cette phrase, dis-je, prut Lion 
pas. manner : havnionie ane 
tive, mais ee n'est tout de rite 
& elle.qui sarvientdra à nous dé- 
irrasser de nacre réputasion de 
uvages. 
Puis, il vases pincusAnsrie de 
‘ei nous qui st poirmelient (HS 
is de se parrr la poire de qgaci. 
es Parisiens pari ira nauifs. tuole 
4es anecdotes authentiques ne 
ont pas ici déplacées. 
‘ Un artiste de tes amis, un grand 
liste canadien, causait, il nv a 
as longtemps avec son frère, au 
rafé de Ja Paix, à Paris, A Une 
ble voisine, il v avait un. Pari. 
en qui ne cessait de dévisager 
OR aini qui a la imanière de porter 

‘8 cheveux plus longs, 

, Vous voué demandez sans dou- 
* qui nous sonunmes ct d'où nous 

;enons, “dit mon ani au Parisien 

‘iquisiteur? du Canada, de Caugh- 

awaga: Inonsicur qui In'accompa- 

fe, est. le. slernier: imdien de. St tri 

‘iL. 

* Le frète de Moi Hi “qui. ct bien 
plus légant.Montréaliis “ques ié 

“annaisse, se conleñté ‘le sourire, 

Htus: deux! prirent- conpé du: Pa 

Sion intérloqué bien’ CONY, aineut 

ilévenait d'avoir affaire it deux 

ROUES touges, pur SAUT ue, 

l'OMAIS: il x 4 miêux conne, pince 

Lnts-rire, ! Lu. 

‘Un dighe- prètr e, dé Montré | 

:aCatetire, #t minenf, - Ain ‘hüttrés. la 

nas. roid. aux SOUS, | el, dont je 


+ 


“ment” un: “coin, mais: totté une sur- 
ice!" à: ‘quelques: douzaines d'étian- 
cers, ur réfecloire du. novicint pa: 
ésien, où ‘il se retrait, dors” de sou 
.5Y Age. d'études : théologiques. 
AU. Canada. ni avaiton de- 
san. fe: “dites-nous done quelle lan 
ue Vols" parlez? ; re 
ec! vais vôus expliquer, rÉPOs 
LA flcgmatiquement Je jeune abbé, 
RARE il va fort longteinni, 
LA avait des sauvages, rien que des 
auvages, au Canada, lorsque, vers 
54, uu nonnné Jacques. ‘Cartier 
iqud une pointe dans ces lointains 
afages. es Français le suivirent, 
.Lil'on: païla un mélange de frän. 
ais el de sauvañc. Plus ‘tard, ta 
‘ranbé abañdonna aux Anglais ces 
gisérables arpents de neige, ct ça 
it un nouveau mélange.de sauvage, 
le français et d’ anglais, un, chara- 
as assez difficile à comprendre, 
—Mais vous, comment se fait-il 
‘jée-vous ne particz pas lrop mal 
e frapenis. demandèrent, les én- 
oux à l'abb é? 
Ah! voici. En arrivant à Pa- 
‘is, à} v a {rois jours, je suis alc'AÏ 
a biblinthèque Nationale ct je me 


angue, parce que je savais que j'al- 
ais vous rencontrer! 

Et, comme cette dernièr e boutade 

embiait un peu difficile à avaler, 
soîre jeune abbé se fâvha, et frap- 
sant sur Ja table: 
-— Apprenez done, messcigneurs, 
mue c'est vous. qui étes. des igno- 
“auts, ct que. la vraie Franec, C’est 
ien plus 1à- bas, sur les bords du 
Saint-Laurent, qu'ici, qu'on. la trou- 
ie. Apprenez une bonne fois, que 
ous ne sommes pas des sauvages 
st que nous avong”môême un rude 
nérite d’avoir su conserver notre 
angue, si loin de Franée.’et du mi- 
‘ieu de contacts déprimants et-hos- 
:.fics. 

Je ne vous dirai pas 1 suite de 
ze: discours ct pour cause, mais je 
sais bien que s'il a p: irfois def: 
-noîre faute, dans le fait qu'on nous. 
rend Pour des Peaux-Rouges: ln 
faute -est'bhien plus grande du côté 
"des Français de France. qui n’ont 
plus le droit d'ignorer leur géogra- 
phie et leur histoir €. contennoraine 


le sol: de Fr ance, 
G. C. 


eue 


“Ün proverbe 

| Baptiste? a un fils qui se débat 
ävep les. premières difficultés de 
la _frammaire française, toutes les 


uis hâté de me faire montrer aux carrés, mes perches et mes 


rite, 

C'est ce qgrr'ils n'ont pus fait dans 
le passé, malheureusement, par rap- 
porl à deux grandes forces modere 
nes: la presse el le cinéma qu'ils 
ont laissé $se développer en dehors 
de leur influence et at plus grand 
détriment des ämes, La puissance 
dela presse! on n'a commencé à 
la comprendre que ces dernières 
ninées lorsque le terrain élait dé- 
fà envahi par la presse neutre el 
tmpte. La puissunce du cinéma ! 
lou le n onde la constate au ser vi 
ce du m Mais où sont les catho- 
ligues D se rendent bien compte, 
que le seul moyen de réagir con- 
{rete mauvais sinéma c'est de rés, 


er de ban cinéma comme le seul postes d'émission : catholiques, qui 


moyen de combattre la matvaise 
presse, c'est de fonder el de pro- 
pager de bons journaux? 

Uue occasion se présente ü pro- 
pos d'une nouvelle invention qui 
pient ‘de naîlre et commence déjà à 
avoir une influence mondiale, de 
ne pas, répéter les fautes du passé. 
il s'agit du radio qui est en train 
d'abolir’les distances et de mettre 
en, communications des millions 
d'hommes sur fors les points du 
monde, Les catholiques sauront- 
ils en profiler pour da diffusion de 
la vérité avant que les puissances 
de mal s'en soient totalement ent 
parées? 

C'est ce que demande M. Ber- 
nard. directeur du Courrier de 
St. Hyacinthe, dans un excellent 
artivle que nous sommes heureux 
ie reproduire ici: 


Le radio, qu'on a longtemps con-: 
sidéré comme une entreprise ha- | 
sardeuse, est devenu une réalité, 
appelée à prendre une place de; 
plus en plus Jarge dans notre vie 
moderne. 

{ faut l’acc epter. H ne sert à 
rien de s'insurger, de protester 
verbalement contre les habitudes 
qu'il crée, les besoins et es effets 
qui. eu dérivent, dans notre vie.fa- 
miliale comme dans notre vie pi- 
blique. 

Céla,ne veut pas dire: qu ‘on doi- 
ve se Tésigner, sans résistance, à 
tous les inconvénients susceptibles 
d'en résulter, Mais le radio, com- 
me le cinéma. .ost entré dans notre 
vie pour x demeurer, dt importe 
de bien comprendre eg fait, et d’en 
tiver le meilleur parti possible, 
dans le sens de notre’ vie catholi- 
qué‘et nationales Au Canada seu- 
lement, d'après :des:chfffées donnés 
pär Je, gouvernement fédéral, il y 
audrail 78,057 “apparcils: de radio! 
Le radio, qui:cst surlout en Amé- 


rique, entré les mains de Péléurent 


anglo-saxon et protestant, constitue 
bu grave danger d “infiltrations du 
ait. qu'il apporte .èté- méle, jus 
qe dans l'intimité sacrée du, loyer, 
des eontérenees sur les sujets les 
bas <hétéroclites, ‘les préches dus 
pasteurs, protestants: -et Patrace 


susique de. jazz, Le radio it CNCN- 


Fu 
D 


Papi avuil fini de radouer ses 
cléturés-et lé watin il débitait les 
vieux piquets de cèdre pour le poë- 
lé de la cuisine. de choisissais les 
beaux quartiers ‘el je les mettais en 
réserve pour me faire un petit | 
clos, : 

Mais comment fendre ces gros 
morceaux? Papa cachait toujours 
sa hache vitement après sou {ra- 
vail etsje m'osais v risquer mon 
couteau délicat. dé rentrais dans 
la maison ‘en hynocrite, je rôdais 
autouÿ de la table sans faire sem- 
blant de rien, êt dès que je m'étais 
pas vu, j'ouvrais le tiroir et je me 
sauvais dehors avec le grand cou- 
teau à boucherie, Armé d'un ron- 
din pour maillot je frappais sur le. 
dos du couteau, et jéclissais mon 
quartier de cèdre en petits mor- 


piquets. 

Alors je commencais ma clôture : 
au. bout du hangar-au-bois, du’ côté 
du sud, se trouvait le plus beau pe- 
tit coin pour faire un clos que j'aie 
jamais vu, L’herbe était: rase. et 
drue, à côté passait Je petit che- 
min de la fontaine, Je m'étais à 
peine installé là, que mon icune 
frère vint me rejoindre, ‘ette 
fois, nous nous entendimes à mer- 
veille.” Nous aurions chacun notre 
petit clos commun, De temps en 
lemps .je lui prêtais mon couteau 
et il ne pleurait iunais. 


Oh la belle cloture que nous 
faisions, courant à travers l'herbe 
fine, comme une dentelle ajouréce. 
Maman devait uous appeler plu- 
sieurs Fois, pour le diner tant nous 
‘étions : OUCUPÉS. . 

Unei ois. lé clos fini, il nous prit 
envic d'avoir du roulant coinmeé 
papa. Les petits garcons du voi- 
Sin, plus vieux et, plus adraits, ai- 
dés par leur père, se faisaient des 


miennes n'étaient pas: tout-à-fail 
sorublables aux leurs, et: encore 
moins au’modèle vivant, mais, c'ést 
moi qui Îles avais faites et je les ai- 
mais de ‘même, Sur un petit” bloc 
de bois taillé à peu près aminci du 
côté de Ja tête. avec Palène que je’ 
perdis- ensuite, jé perçais des.trous 


= ——< mn 


plus Lot possible. 


Un “Les travaux x d'antan 


‘ 7.7 Nos petits clos d'enfants sa à 4 ou 


trouver Le moyen de se couchér, 

Ceux-là sont les dangers les plus 
«pparents du radio, en marge des- 
quels il importe de souligner l’in- 
filtration de l'anglais dans les fa- 
milles et l'empreinte possible, sur 
les esprits, de Fa mentalité améri- 
caine et anglaise, 

Dans ces conditions, quelle at- 
titude doit être celle des C: anadiens- 
fr ançais vis-à-vis du radio? fl n’y 
en x qu'une qui. soit sage: accepter 
le radio, mais le faire servir, au- 
tant que possible aux fins cana- 
diennes francaises et catholiques. 
Ainsi ne serait-il pas possible d’a- 
voir dans les grands centres, com- 
me Montréal, Québec, Ottawa, des 


r pour. des sauvages en France , , 
. 2st pas motivée par . Fe Les, tétholiques devraient étreuyre pour effel de désorganiser la se mélaient trop de la conduite de 


fourniraient de læ saine musique, 
transmettraient des discours en 
français, sur des sujets soignouse- 
ment choisis, des lecons « ‘apolo- 
Hétique et de vie religieuse? 

Les diocèses de x province ec- 
clésiastique de Montréal, par ex 
emple, pourraient s'unir ‘et contri- 
buer un fonds commun pour les 
frais d'installation et de fonctionne- 
ment d'un poste à Montréal, Mè- 
me chose pour Québec et pour Ot- 
taxa, 

Des entreprises de ee genre, d'ail. 
Jours. ont êté tontées à l'étranger. 
En Italie, les catholiques ont inau- 
guré dernièrement, par radio, une 
vaste campagne coutre le hlasphè- 
me, campagne qui serait des plus 
opportunes en notre pays, et qui 
per mettrait de faire, sur cette ques- 
{ion du blasphème chez nous, d’in- 
téressantes précisions théologiques, 
e mouvement est dirigé de Veronc 
et se poursuit avec une extréme 
vigueur, «d’abord dans la péninsu- 
le “italienne, et s'étend à tous les 
pays d’Egrope. : 

Aux Etats-Unis, on annonce que 
les Pérèés Paulistes vont installer 
un posie puissant, d’un coût in- 
tial de 840,000, Le but de cctte ini- 
liative est,, d'après les journaux. 
"d'ensoigner au peuple des Etats- 
Unis lt vérité au sujet de l'Egtise 
catholique.” : 

Tandis que le radio n'est encore 
qu'a ses débuts, et qu'il n’est pas 
entré dans la majorité des foyers, 
comme‘il le sera nécessairement 
d'ici quelques an nées, c'est lé temps 
de songer à ces choses et de s Or EA- 
niser séricusement en vue de Pave- 
mir Qui sait la force que les, ca- 
tholiques auraient aujourd'hut” en- 
tre les mains, s'ils avaient compris 
ya vingt ans, des ressources -du 
cinéma, et s'ils, s'étaient appliqués 
à S'en emparér cofmme ônt fait les 
juifs du monde entier? 

Mettonsmois. bien danà P idée que 
le #adio n'est pas: “apnelé à disp: t- 
raitre plusque Le tinémas qu'ait 
eontraites il ÊTE pertectionne cha- 
qué jour else vulgarise rapidement, 

FE eëteun, Maven puissant de pro- 
pagande. cet. des: catholiques ! de- 
vraient. s'efforcer de Passervir le 


3 


. ru, 


« 


ment restreint, inais lès "moutons a- 
rancéient dans la triche. Nous 
avions qu'à aller au “cap” ä 
“emplie” 0 chapeaux de cocos % e- 
pinette. noire. Une fois renfermés 
dahs Ig.clos, çà faisait des moutons 
presque, parfaits. Pour nous assu- 
‘er que notre. clôture pouvait . les 
arder en toute séeurité, nous pre- 
ous le plus gros des cocos, le bé- 
ici, et nous essayions en Le pous- 
ant dans les trous enire les per- 
hes de Île faire passer, s'il resis- 
ait, nous: n’étions pas inquiets, Car 
tous avions semé un clos de grain. 
08 L'avanx, élaients imposants: de 
mpheité in énue, Tout se faisait |" 
tin main, Une vieille hache fous 
servail de bèche, nous hersions a- 
“ec nos. doigts et nons semions à 
oignées. Et l'avoine après quel- 
uues jours d ‘attente qui nous sem- 
aient des années, poussait par- 
lessus H clôture en véritable forût, 

Nous commencions à prendre no- 
‘re rôle au sérieux. Où mettrions 
nous dotre récolte à Pabri? It fal- 
‘ait nous bâtir, et c'est là que nous 
réussissions le moins: Notre plus 
belle grange ressemblait à s’y mé- 
prendre à la: cabane des poulets, 
mais cle nous coûtait beaucoup de 
sueurs, et nous ne pouvions faire 
mieux. : : , 

Pour la construire nous avions 
dû courir un peu partout de vieil. 
les planches larges, les scicr com- 
me il faut, les ajuster, et les cloucr 
“vec dès vieux clous qui crochis- 
saient tout seuls, el quelques clous { 
neufs dérobés à papa. L'orients- 
Hon ct les aénagements de notre 
bâtissé ‘chängeniont ‘ tous les 
jours, . . 

Un beau matin, les foins eom- 
mençaient, ‘Dès que nous enten- 
dions papa.morfiler sa faulx. nous 
fauchions notre foin. Avec une 
baire de ciseaux empruntés tacite: 


tabe, nôus nous mettions à l'ocu- 
«vre, Pour le faire sécher, c'était 
facile, © Ce petit foin de terre fou- 
dé au printemps ne produisait pas 
cffrayant, et les brins de foin é- 
taient rares, Nous les mettions à 
hoignées dans. géange par la por- 
te où notre main av ait juste la pla- 


vanimérent, mais elles crifront pus 
prudent dans la suite, à leur départ, 
de les faire suivre dañs t'Empvrée 
familial. ne 
Les jours de pluie, nous jouions 


une rivière à plein écart, un bar- 
age de terre simulait la “chaussée, 
#t à traverg un bout de lnbe, la 
lalle, Peau tombait sur la grande 
‘oue, un petit tourniquet à quatre 
wanches qui ne tournait pas tou- 
ours sur $es coussinets d'épingles. 
Et nous vivions une enfance heu- 
‘euse, dans la joic fraternelle, sans 
nalice, ni péché, N’allez pas croi- 
re que nous éHons l’exception. Par- 
tout où il y a des enfants sur Îa 
ferme, il se trouve un petit clos 
quelque part avec le reste à l'ave- 
nant >: 
Dans les quartiers ouvriers de 
nos villes, j'ai vu là aussi de ces! 
petits clos chétifs,s adossés à un 
mur, s'étendant sous la galerie pr ès 
du solage. Même dans Fexil, 
enfants de la campagne se rappel- 
lent leurs jeux et ils demandent 
souvent à leur papa déserteur du 
sol quaud sera-ce qu'il retournera 
enfin sur la terre où les amuse- 
ments ahondent, où les fraises mü- 
rissent, et les ieux bruvants se dé- 
veloppent à l'aise, hors des rues 
étroites?,:7 
Bien des enfants ennuyeux de 
leurs premières joies rapatricnt ain- 
si leurs parents découragés. Plu- 
sieurs papas avotent qu'ils aiment 
mieux voir leurs enfants heureux 
dans la liberté de Ia verte ramna- 
ane que‘de les entendre se plaindre 
continuellement et de les voir dépé- 
tir de nostagie. 
Porquoi ne sont-ils pas plus 


nombreux ? 
Jen .SANS- TERRE, 


a = mme t 


Québec plüs “Canadienne” 
. Qu'Ontario 


Le statistiques due reensement é- 
tablissent que 99 pour cent des ci- 
toYens de a province de Québec 
sont nés au Canadas Dans les au- 
tres provinces, le” pourcentage dès 
‘natives born”, comme s'expriment 
nos confrères de langue inalaise, 
‘st bien moindre. 

Ainsi par exemple, à Montréal le 
pourcentage est de 81.3 et à loron- 
u, de 62.2 , 


RE PRE 


Beauté divine de: l’agriculture 


Vous ne manquerez pas.de redire 
aux, cuitivateurs'que Île travail a- 
uricole. est le plus noble ici-bas, 
parge qu'il se fait nécessaireutent 
uveë de concours direct! de Die, 
Vous êtes-vous jamais deihandé qui 
a’ fait Ja gerbe de blé que Pon ré- 
eolte dans un champ at temps de 
lt moisson? Vous savez comme 
noi qu'elle cest l'oeuvre de deux 
nuvriers, de: Phomme e [ de Dieu. 


Si le cullivateur n'était pas entré 


“ais son champ au QUES “s'il 
d'avait pas débarrassé lé set es 
ipines et des ronces qui le cou. 
“aient, s'il ne l'avait Das labouré 
rofondément pour v déposer. la 
‘emence du frotnent, il uv aurait 
‘ertainemont pas poussé de blé, 
Voilà le travail du cultivateur, voi- 
ce crue Dieu demande de lui. 
Duand a accompli ce travail, 
se retire de ce champ:.il lenclot 
ivee suin, “afin que rien:ne vien 
ne troubler le travail divin qui a 
succédé à sou propre fabeur. Ce 
champ devient pour lui’ quelque 
chose de sacré, Sur lequel il doil 
voiller avec soin, C’est'que Dieu 
a v entrer à son tour et continuer 
te lravail commencé, I V enverra 
réguliéroment la lumicre et J’au- 
rare el la rosée du matin, 'la cha- 
teur du midi et la pluie du soir, el 
aprés quelques jours commencera 
ce‘dravail de la germination, Ha. 
semence plongeant dans le.sol une 
racine qui va lui donner le-point 
appui el la nourriture dont elle 
ùn besoin, ’et poussant vers le ciel 
une tige délic: ie qui grañdira tous 
les jours jusqu'à ce qu'etle donne 
in épi chs wgé de 30, 40 où 30 grains 
semhlables à elle-même. Quand 
e travail est fait ct que Dieu n 
couvert d'une riche moisson ee 
champ si péniblement ensemencé, 
il dit au cultivateur: voilà ce qur 
iu te donne pour toi el ceux que 
j'ai confiés à la sollicitide, (est 
done unce:vérilé, messiours, une véc- 
-ité bien cousolante et bidn honora- 
ble pour 16 cultivateur, qu'il a 
Dieu qui- même pour collaborateur, 
On n'en saurait dire autant du 
travail industriel où: lQ concours 
de Dieu n'apparait pas aussi divec- 
tement, 11 nv a.que deux hommes 
qui tavailont ainsi conjointement 
avec Dieu, le nrêtre dans Pordre 
‘surnaturel, ot le cultivateur dans 


l'ordre naturel. 
Mar LABLEGITE, 
L organiste ‘débutant 


Comment as-tu trouvé. le nou- 
vél organiste, ce matin?' 

— (C'est un or ganiste d'après DE. 
“angile ft. 

Un org aniste d'après P'Evan- 
ile. qu *enlends- tu par 1? 

—-$a. main gauche ignoïe gomplè- 
tement ce que fait sa main droite. 


Je ne le ferai plus! 


‘Pendant que M. le Curc. explique 


pareil L'eau d’une rigole lor 


700 millions, on peut juger de son 
impertnet ‘ 

L'industric  cinématographique 
aux Etats-Unis est exploite par: 
197 compagnies" dont 22 forment 
un trust, 50,000 ouvriers dont le 
salaire annuelle est de 75 millions, 
sont employés par ces diverses 
compagnies, 


4 
MORE 


Quelques difficultés de la lan- | 


gue 


Miss Nanny Skakapee, fille uni- 
que du roi des fromages mous, ré- 
solut de:passer Phiver à Paris 

Mais avant de quitter New- York, 
elle se dit: . 

—-Je veux prendre; quelques le- 
eons de perfeetionnement, dans Ia 
conversalion, avec un professeur 
originaire du pays lui-même, 

Intention louable qui fut bien- 
tôt ré éalisée, par le moyen d’une 
annonce insérée dans le “New- 
York Herald”, . 


Il se présenta ‘environ douze ou 
quinze cénts professeurs de fran- 
çais d’âges divers: et de natioualités 
variées, | 

Elle choisit un jouince. homme de 
bonne mine. Alexandre Curiace. 

L’Américaine Jui dit: 

Je ne vous demande que de 
causer avec moi sur n'importe quel 
sujet pendant trois heures tous les 
matins: n 

Pas ‘facile, dans ces conditions, 
de décrocher un sujet de causcrie 
qui soit intelligent, Alexandre Cu- 
riace demanda à tout hasard: 

-—Parlez-moi de votre famille. 

— A right... Mon -bère naquit 
à Toronto... VA est ‘laqu'il con- 
naquit ma mère. 

—Halte-Hil s'écria: le ieunc péda 
£ogue : A faut dire “qu'il connul” 
c'est le verbe’ connaître. 

—Fort bien, mon ‘pére connut 
done ma mère dans la ville où Si 
nul, 

—Pardon, miss, pardon . .. faut 
dire “où il naquit” c'est le iverbe 
naître. 

Mer di. Je tâchorai de ne pas 
oublier ce ‘que. vous me disez-là, 
— On dit “ce que Vous ne diles” 
C’est le verbe dire., 
- Parfaitemient. 


C'est un peu 


difficile, mais si vous. me prédites. 


le SUCCÈS. 


——Nn dit “vous. me. prédise=". 
C'est le vèrbe prédire. .… 


Oui, mais he “maudisez" pqs mon | 


iguorance. Se + oo 
7 <-On “dit: tandisses” C'est Le 


verbe matdire!. 


“Si ie eémmets" “des fautes, n'en 
-“médissez”. pas irap.. 

On dit: “médisez”. Cest le 
verbe médire. 7 . 

Miss Nannv qui depuis un ins- 
tant semblait s’énerver, ne voulut 
pas -en entendre” davantage. Cou- 
pant court à. Pentretien; cle se le- 
He brusguement'et s’en alla, tout à 
fait dégoutéf, en murmurant dans 
sa languè natale: | À. 

[1 est complèlement idiot, 
gareon-li!.. f 

Et Alexandre Curiace fut flanqué 
à l4 porte séance-tonante….. 


‘ Robert Francheviüle, 


Dentiste 
CHS. CC. CLERMONT. 


«. Docteur cn chirurgié dentaire 
Licencié en urt dentaire ‘| 
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Al Ex-Assistant à la Clinique Chi- 
rurgicah. de l'Université Laval 
| Chir urgien de l'Hôpital G Général”; : 
|. No, 6 pendant la “Guerre, 
dl: 1915-1919. 
Ex-C biruigien Spécialiste por 
Maladies de la femme, ôte 

Dieu, Université Laval Gou- 

hirurgien . décoré par 
so, Français pendant 
rs “sucre, ‘ 


+ 


‘ lois qu'il “met la main à la plume.” 

Le jeune homme:se décourage fa- 

Püement: alors le digne Baptiste 

. croit, devoir l’encourager. 

us Ne, vous rebuntez pas, mon 

Es écrivez toujours comme dit 

la proverbe, c'est en écrivant qu'ont 
tlevient Re PRTELT 

‘ T'Erstlancues 


et je. plantais quatre chevilles, les | ce: de pässer. —— In création, petit Pierre est fort 
quatre paîtes, et mes vaches. ache- Les petites soeurs s'intéressaient nréoceupé dans son Coié ‘il dresse 
vées.s@ tenaient . “debout toutes déjà à notre culture, ‘Elles déplo- avec .anxiète l'inventaire de’ses bil 
soules, Mais dès que je voulais les rérent notre oubli de, la maison. FE! les. Soudain, l'une d'elles s'échap- 
faire. marcher en les soulevant, el- | à côté de la “grange, L'iournée sui. lue, roule avec fracas sur le. pavé 
les s'‘égaraient et devenaient infir- vante s'élevait une autre cabane. {et attire l'aticution du pasteur. 

Allons, étonvdi, dis-moi qui + 
créé le ciel et la terre? : 


PRINCE-ALBERT,_- - SASK.}|| MONTREAL, : QUE. 
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een ae eo 


- Des Hôpitaux de Paris 
et de New. York: 


mes de plusieurs de leurs membres, | notre maison, _ badigeonnée, d’un 
Nous avions ‘mème un chéval, au reste de Peinture rouge, 


à] 


an Saw 
surtout” au" léndemain de lhé- belles vaches en bois. Javais mont td ; 
x ‘ les à + Les e maman, et des couteaux de 
roïsme, des soldats. éariadiens sur couteun,, j’essavai de les imiter, Les 


Bo OT Te KE pacage.” Comme je l'apnris plus! Les petites l'illes adroites In .peu- |: Pierre, pris en flagrant : élit, de tri HD, 
Fo Sept i igues - - ; tard® Fous TRANS sans le Savoir, plèrent de eatins de linge, L'ima-frébondre avec une protestation ti il " . à Fi ULANGES : 
“ ai marié une Time sharman-| le petit Pantagruel puisque. notre ation et-le costume dant, nous: files et Fest Du 61. Téléphono 3288 HT a ÎME DECIN CHIRURGIEN - 
où savanté, mon cher, ‘elle pos-l'ecursier, In. erinière au vent, n'é- | Fee nuaissious Je père Jôsé, la mè-]:,.-—Ce n'est pas moi, monsieur le | . TUE CE  Licencié our fout lo Canne 
8. -S0nt langues: # tait en réalité qu'ün bont de rondin re. Joséphine et le petit Joson, Tout | Guré. À . d. E.LUSSIER,' BA, 1h “ + par. élhe Medical -Comhgi ne LE 
Sept Inngues, Migre; ha Cemmelnbrié en Vair nav quatre metites|ce monde-là était bien vivant. et ;—Coment, petit imalieurofis cet daté de l’Université Laval À | Trôiteñienta par Le Radien Laboratoire de 
h a-qtune-seule et elle fait. àu- branches inégalement coupées, très arcuné dors . de nos visites. fn'est pas toi? f GC MARCH P Hve L gr vo + Laboraigire 
‘qu moulin à bat.) Vu les ditrieuités, noire troupeau | Nous: les frisians ‘parler, travailler, —Qui, c'est moi, mais je ne le fe- {il : Le RO, A EDMONTON 


tan” a Fo 
: j fai ‘plus: je vous le promets! - 


D 


fes à | orries était nécessaire. | se-fâcher ct rire, nee 


€ 


# 
LS 0 ar 


& 


cr . LE PATRIOTE DE L'OUEST, Mercredi le | mars 


DANS LA LUTTE 


1923 | | : 


om cdrom ee ones ne let nb mn med ea aus de amas comment ane 


La Population du Canada 


ES NE ER 


el 
Dans lè vent de la bataille 


Suppose un moment une très bbn- 


ne QU sise Cac +. bn ani fi D 
Rens D fans toutes les parties| "C'est vous fà-bas, mon ami, qut volume du rapport final sur le re-| :e-Edouard, 


Æ noce des 


de France 


. eu lient à An- 
du pans - 


vhs 


Celle-ci 


| US : ne Chambre .qu'auraient fait les ‘ 
i , , LQ , à sat i 0 ‘ ‘ ‘ : | k . | | 
. ne assemblée de catholiques en France | catholiques? ; i Ù inté 
Ë La physionomie d'u L | Ce qu'ils aiment tant à faire ils Le récensement de 1921 fournit des renseignements inlorese | 
î . ne Vire ner se scraient peut-être réendormis | | 
É voiri de récil vivant que nons «Cirque, cas vise Herrio!” pe Dodo. Penfarit do. réendormis… - ' sante 
É oie à Bazin d'une «ce ces@ratour aussitôt s’interrompit et ri-|]  Mén ionrd’hui. Suns : ‘ 
né Bazin d'une eur : ot s intc 4 , Méme aujourdhui, quelques-uns tédé isti i 
EU donne, Des assemblées de, proles: Fposta: (Qu'ai-ie entendu? Et ten: |disent: Herriot ne durera pas tou! Le bureau fédéral de ln Statisti- dans In Nouvelle-Ecosse, six à Ter. |} 
Eole epnent Les catholiques {dant le, bras, désisfant Phonnne: jours Après, nous aurons Briandl due publie aujourd'hui le premier| re-Neuve et un dans Pile du Prin: |} 
gers® \ coir, Les abords | 
. es du soir, es aDOræ 
A huit Peut conférences étaient 


, call Ù û 
de Je Sal à le monde. Les in- 
sis noirs de le. ,L 
dépit aient de la ville/ emplo- 
VE avriers, commercants, où bien 
au ns VOISINS. 


nn CS AEE 


ss Loin Comme je me 
des DO Te la campagne à Ka ville 


le M M ortes, Et voici le spec- 


ASSCZ nouveau, ;— POUF INOI, 
… qui s'offrit mes YOUX. 
es sout, comme dans tons 
disposées en amphithé- 
lieu se trouve lc parter- 
me rangée de loges se 
face de la scène. Or, 
dons Le parterre. un eue homine 
ait debout, Un civil, mais qui de 
ait repris, stns: 10 vouloir, Patti 
ile le sesle, et l'autorité d’un of- 
Hioss C'était le chef du service 
Ë ordre”. 1H disail à une douzai- 
A je de jeunes volontaires, £1 oùpés 
Bi utour de hi: “Fout a cté. bien 
À gmpris, est-ce DAS? Nous avons 


tacle A 
3 maimns- 
Les plac 
js Cirque, 
ares &tt I 
ré, enfin t 
dresse en 


us LAVEZ CE QUE VOUS AVOZ, à faire 
: ee de désordre. Je distribue 
EL Les postes que Chaeun de vous cotit- 
ED mandera. Vous, Julien, VOUS COINS 
El manderez le secieul no, 1, ici d; 
Evous, Nicolas, le’ sectenr numero 
El alezv: vous, secteur numéro 5 
ici, à gauche. Au premier signe 
que je ferai, 1e chef doit se lever, 
de... de voyais là les cadres 
dune lorce volontaire, tres bien 
EL organisée, dLestinte it protéger con- 
El qre toute a9l'CSSION, Jes spectateurs: 
EL egnviés à Ja réunion, à empêcher 
le tapage, 1 
BE jaterruptonr 

2 qit le chitfre 
canpagnie de. 


récalcitrant, 
anquel s’élevhit ectte 
sureté, ct il était fort 
À appréciable. Les réunions de ca- 
thaliques que . MONS: WCTFCZ. annon- 
es où raconifes dans, les jour- 
maux, sont done, vous ‘pouvez en 
s| étre sûr, OPRAnISÉC  AIVCE soin. cl 
| rilées par des voloi taires, .] Ya 
lus. Je montai:sur Jà°scèncs au 
moment où Les portés ’s'oufraient, 
où des premières filès daditeurs 
bent dans la salle. Derrière le 
théâtre, dans les coulisses, Paper- 
eus, à droite ct à gauchre, des ac- 
emutiteurs électriques et d'énor-. 
mes projecteurs: autres avaient 
Et te placés en différents points du 
cirque: chacun des appareils étuit 
urveilé par un volontaire en 'sen- 
tinelle, et si, par accident, l'électri- 
cité de de ville étail-venué à Mman- 


et TENTE 


re 


ina Et 


APN mise 


. quer, immédiatement Ta salle eût 
Éd iuminée tout aussi bien qu'au- | 
EL paravant, 


Les files d'hommes centraienti 
EE pressées, iniulerroimpues, ‘Au bout 
ES d'un quart d'heure, le cirque était 
El rempli: aprés une demi-heure. on 
nu drouvait plus une place où s’as- 
El soir, et les honimes, continuant à 
uviver, se rangeniont duns les cou- 
Si lois qui font Le tour de ‘la salle, 
Épuis dans les coulisses du théâtre, 
El Quelques-uns se peorchaient Sur Le 
Élluit des foges. Un groupe nom- 


Æbreux de notabilités, députés, séna- 


Élleurs, conseillers généraux, con- 
Éslers municipaux, -'attendaicrit 
Élu a scène, On peut dire ‘que 
élans la vaste salle il v avait bien 
hois mille honnnes, lorsque l'évê- 
que «Angers, Myr Rumeau, son 
coadinteur, Mur Costes ot de cha- 
none des Granyes cntrèrent, 

l'évêque resarda cotte foule et 
di A 4 a 25 ans que je dirige 
Eee dineèse, jamais je n'ai préside 
étude plus belle réunion. Comme 
| volre nombre dit déj# éloquem- 
juent que vous comprenez Ha gra- 
ÉLVIé du temps! 3,000 hommes sous 
Éinon regard, et il y eh à, devant’ in 
Bnurle, beaucoup qui ne peuvent en- 
Btrer! Nous sommes tous des .catho- 
Biliques réunis pour une cause reli- 


gieuse, Pormettez-moi done de “| 


nm EE 


LT 


Méneer par La prière ot de réciter 
ELU Notre Pére ‘et un Je vous salite 
à lerie”, Alors, suivant et renouve- 
É lin le geste de l’évêque, je vis 
EQ0 bras se lever et signer les 
Bbolrines, of-j'entendis - les voix 
ÉCOMME un orange qui aurait parlé, 
6 qui achevaient le Pater ot l'Ave 
ji Mon coeur on tréssailtit de 


Ve . 
Mer umeau me donna ensuite la 


he ce 


à pirate, Je présentai brièvement le 
É Anoine Desgrandes, sans - Man- 


LUUCT de dire mon sentiment au su- 
ù des DeSUreS annoncées contre 
; ms hol iques. Alors Porateur po- 
4 a Se Jevit. Projet de rappel 
LL QU ssadeur de France auprès 
AU Saini-Sièue, menace de disper- 

nouvelle de nos congrégations 
‘ligieuses, menace de. fermeture 
Un ROLE confessionnelles d’AI- 
qe ‘ de Lorraine, -tous les dan- 
M « e heure présente, Porateur 
k sus il en monjra. Pinjustice, 
rent, li cause aussi qui n’est 
que la haine ‘inassouvie de 
nt pr MACONnerie universelle 
leur: Eglise, MY mit. une ar- 
érable, beaucoup de lo: 
es beaucoup d'esprit. Je ne re- 
he Point de faüle. dans’ ce 
‘me a. Yenseur, ,Les inots heu- 

ele" voudaient, ete rappel-aussi 
ur M ppararaderie des tranchées; 
Lier “ Ë Desgranges a été aumô- 
instants nos troupes, A. ghaqueé 
qe tee. toutes les fois. surtont 
Nan venait, comme un refrain: 
ustice. , d'oUVONSs tolérer cette’ in 
es an ï NOUS ue fa tolérerons .pas l* 
ve pl ätdissement éelataient,-bru., 
oi qrnimes, et je'Sentais-bien 
hore grise Passer nus dune 
ibit oh icile, que quelque chose 

angé dans. ja mentalité des 
. et qu'il y'avait en 
e résolution, une viri- 
le mor P'UTMoi ne. difrais-je pas 
indianais espère de jennésse qui 
train gent Nüllement. une foi en 


ET 


6e Mouris 


à ün mon 
DE aoluti 


4 ang l 


cie nv 
tent, un hommie. gel. 
Onnaire, qui s'était fan. 


Puis Barthou.… puis Caillaux, qui 
stra le sauveur. 
l'arascon… 
re... | 

l'andis que, sous’ la cravache de 


criez: vive Heriot! Vous nvez 
pourtant bonne figure; vous n'avez 
pas Pair méchant du tout, je vous 
lassure, et celui que vous acchr- 
mez, vous ne savez donc pas ce 
qu'il médite de faire? Si vous le 
saviez, vous ne cricriez pas: “Vive 
Herriot!”' Je veux vous , montrer 
ce que vaut sa triste politique. A. 


r.… De Beaucaire à 
de Tarascon à Beaucai- 


une force, ct de le prouver, 


| pit in répétition de la manoeuvre, | 


fliques de France, 


cri qu'il avait poussé, six solides 
unillards ‘Au service d'ordre s'é- 
taient Jcvés tranquillement et Pen- 
adraient, debout, prêts à le “sor- 
On m'a assuré, 
quelques moments après, que le ré- 
volutionnaire fourvoyé, avait jugé 
moïillour de prendre lui-même la 


tir” s’il continuait, 


porte, 


La réunion, /jusqir'{u bout, fui. 
Tous les hommes pré- 
sents promirent, le bras tendu, de 
protéger les religieux et religieuses 
qu'on voudrait inquiéter, et protes- 
térent contre les menaces de Ia laï- 


maguilique,. 


cité. A la contre-épreuve, pas un 
gesle, pas une voix n'approusa le 


Des réunions comme celle-là ont 
lieu dans toutes les provinces de 
France ‘et dans un nombre consi- 
dérable de paroisses, , Chaque sc- 
maine, les journaux nous en racon- 
tent deux, trois, quatre:ou plus. 1! 
ne faudrait pas. croire qu'elles se 
tiennent dans les parties de la 
“drance les micux connues par jour 
altachement à la religion, Celles 
qui eurem- lieu à Bayonne. et à Ta 
Roche-sur Yon, sous Îa présidence 
égrulement des évêques, ct qui grou- 
pérent jusqu'à quinze ct dix-huit 


neltre à la porte tout tmille homines, eurent évidemment 
fa lui 
On m a 


une ampleur particulière, Mais jus- 
que dans les pays peu habitués à 
ces sortes; de Aémonstrations, ct où 
la pratique religieuse a été appau- 
vrie, la menace de persécution 6 
veille Pindignation, ci suscite des 
dévouements, ‘It est extrêmement 
intéressant d'observer que les évè- 
ques, {ous les évêques de France, 
ont adhéré à, la letire que nos six 
cardinaux ont adressée au chef du 
gouvernement français. Nous avons 
déj connu une fois cctte unani- 
mité, sous Pie X, lorsque fe iminis- 
tére voulait imposer à la France 
Catholique son système ‘“d'associa- 
lions cuttuelles”: at les associations 
culuclles n'ont jamais été formées. 
Elle sont mortes avant de naître, 


te. 
Re 


Le souffle qui passe sui la 
France 


Chaque jour, nous enregistrons 
les grandes réunions qui, diocèse 
par d'ocèse, et dans chacun d'eux 
canton par. canton, groupent par 
centaines et par milliors les catho- 
Toutes sont bel- 
les et dépassent les espéranecs de 
ceux qui les ont convoquées; plu- 
sieurs ont été magnifiques. Avoir 
mobifisé en deux jours 75,000 hom- 
mes dans fe Finislère, et en un jour 
30.009 dans loë Côtes-du-Nord, L8.- 
000 dans Ja Vendée et 10,000 dans 
le seul arrondissement de Cholet, 
quels beaux résultats! 


Nos adversaires ne s’attendaient 
pas. à. de si puissantes: mauiles{a- 
lions et ils ne croyaient pas à une 
telle vitalité, à un telglan chez les 
catholiques et en demeurent ‘“stu- 
pides” (nous emyplovons ce mot 
dans le sens classique) et lotir éton- 
fhement les rend tantôt injurioux et 
ianiôt hésitants. Soyons persuadés 
que s* M. Herriot n’# pas encore 
réadisé.les menaces de sa déclara- 
tion ministérielle el s'il proclame 
à tout, propos sa large tolérance ct 
son respect des libertés religieuses, 
les grandes manifestations eatholi- 
ques v sont pour quelque chose. 
Raison de plus pour les poursuivre 
en donnant à des adversaires que 
les arguments de la justice ne tou- 
chent pas, celui-là soul auquel is 
croient, l'argument de la force, 


Cette force,-il faut que les catho- 
liques en prennent conscience afin 
qu'ils perdent cette mentalité de 
vaincus qui leur a-fait trop souvent 
auêtef comme une aumônce Je moin- 
«re de leurs droits ct abandonner 
la. place qui leur appartient dans 
la vice publique, dans les institu- 
ions et:la législation de notre pa- 
ie commune, Hi faut qu'ils sa- 
cheñt, bien que leur nombre leur 
permoltte tenir en échec toute ton- 


lative de persécution dirigée ‘con-- 


tre eux, et qu'au lieu de demeurer 
les résignés, ils peuvent, s's sont 
bien décidés, être des /conquérants. 


2 Jeñn,GUIRAUD. 


Le Se ee 
(La Croix” de Paris). 
- ho x 


+ 


n st ‘ 
a me es 


Les catholiques sont l'avenir 


: Gustave Hervé, directeur de Ta 
“Victoire” eonscille. aux. catholi- 
ques la seule décision qui puisse é- 
tre prise: de 
sont l'avenir: Lou 

“ci, onyn’a qu'un conseil à don- 
ner aux catholiques, c’esp celui d'è- 
tre forts ‘et de -s’organiser politi- 
quement sur le terrain constitution- 
nel dela République. : Quand la 
nation sc! sera chfin Aperçue, que. 
“ki religion Hbre’ penseuse, dont Pé- 
Cole” laïque: ést-le véhicule, est en 
train; depnis quaranté ans; quelles 
que soient les bonnes intentions :et 
la; valeur professionnelle, des finsti- 
tuteurs niques, de tuer en ce pays, 


dans-les masses nopülaires, tout es-, 


prit de discipline et de nous prépa- 
rer une ‘belle vaguë de barbarie 
commüniste, c'est vers l'Eglise pr 

tholique qu’ellé se relournera. pour 
la supplier de l'aider à restaurer 


a-salle, vers-1e-hant du tes disciplines- nécessaires 


gouvernement. - 


se montrér forts; ils | 


des bêtes 
Ge qui compte. ce qui n'est ja- 
mais stérile, c'êst ton cffort. 
Alors doune-le à ton: Dicu sans 
mesure’. le plus de bien, le moins 
de mal. 


PIERRE L'ERMITE, 


n’ont plus peur de la 
‘" lutte 


9. G. Mgr Chassagnon, évêque 
d’Autun, à dépeint parfaitement 
Pétat d'esprit des catholiques, leur 
position actuelle et leur devoir: 

“Les catholiques veulent-ils Iris 
ser faire le mal qu'on médite con- 
tre ceux? Non, Is semblent fatigués 
d'être molestés et brimés: ils n'ac- 
ceptent plus une place humiliée, 
le rôle de parias, an foyer de Ja 
famille francaise, C’est pourquoi 
ils se sont dressés pour la défense 
de leurs droits et fe salut de leur 
pays, résolus à répondre à ceux qui 
les attaquent, 

“Evidemment, la paix vaudrait 
micux; j'entends la paix des vi 
rants, Ia paix basée sur la justice 
et le respect du droil, non ln paix 
des morts, Ia paix des cimetières 
où Tes hommes sont couchés et ré- 
duils au silence, Et comme cette 
dernière paix est La seule quon 


vetillé nous accorder, Ji lutte est 
fatale. Or, c'est un progrès que les 


catholiques n'aient plus pour de 
la lutte ct qu'ils l’accentent vail 
lamment, Voici même que résister 
ne leur suffit plus. Hs veulent re- 
conquérir’ leurs libertés  eonfis- 
quées, lcurs droits perdus, refaire 
une législation chrélienne, mettre 
en Franco Dieu à sa place. 


Le ne 


Cette fois la franc-maçonne- 
rie n'aura pas beau jeu! 


Rouen, -- A'la suite dune réut- 
nion eatholique ardente et vibran- 
le en Normandie, où se pressaient 
5,000 eatholiques; tous électeurs, Le 
correspondant de la Croix écrit: 
“AU lendemain d'une journée 
‘comme celle que nous venons de 
vivre, nous crovons fermement que, 
celle fois, Ja franc-maconnerie 
aura pas beau jeu?” : 


Il faut que les catholiques d 
Frânce luttent jusqu’au bout 


Un ancien libre-penseur, Gusta- 
ve Iervé, directeur de Ia Victoire, 
reconnait lui-même qu'il v va de 
lexistence de la France, 

“Les ‘catholiques, écrit-il, savent 
maintenant, à n’en nius douter, que 
s'ils ne font pas front sur La pasi- 
tion desespérée sur laquelle qua- 
rante ans de République anticatho- 
lique is ont reloulés, c'est r dé- 
christianisation totale du ‘pays 4- 
vant ün demi siècle, par Le simple 
fonctionnement des lois laïques tel- 
les qu'elles existent, S'üs ne li, 
vrent pas pataile avec toutes es 
forces et toutes les armes dont ils. 
disposent, c’est li mort sans phri- 
ses du catholicisme francais, c’est 
l'extinction rapide et complete dn 
grand fover' de christianisme qui 
a réchauffé et vivilié ce pays de- 
puis dix-neuf siècles, — 

“Quant aux patrioteS que l’école 
lhique a déchristianisés, où qui 4p- 
parfionnent au protestantisme ott 
à K religion juive, ïls/ne peuvent 
plus ignorer, en présence de Pocu- 
vre de désorganhisation sociale ct de 
destruction de li-race à laquelle a- 
boutissent finalement les dogmes 
laïques el maçonniques, que cu 
n'est pas seulement Pexistence du 
christianisme qui esl en jeu, que 
est lPexistence même de la Fran- 
ce.” : ‘ 


5,757 élèves 


PA) 
OR 


de plus dans les 
écoles libres 


D 


Paris, — Dans une rétinion te- 
nue récemment à Vannes, sous la 
brésidence de S, G. Mgr Gouraud, 
le Comité de défense des écoles li- 
bres a pu constater que, d’après les- 


‘documents officiels, les écoles-pri- | 


vées du Morbihan comptent 5,757 
élèves de plus que les écoles laï-- 
ques. . 

5,757 élèves de plus, avec, 1,000 
maîtres où maîtresses 61220 écoles 
de moins ! 7 


Lyon fut le berceau des Se- 
 smaiînes Sociales 


‘Lyon... La XVTlème session des 
Semaines sociales de France se 
tiendra à Lyon, du 28 juillet au 2 
août 1925. ee 

Parties. de Lyon en 1904,:les Se- 
maines sociales vont doné y reve- 
niv pour fêter leur vingt et unième 
année, S. Em. le cardinal archevè- 
que de Lyon qui, depuis la Semaine 
sociale de Marseille, n’a cessé de 
s'intéresser À cette couvre et qui s’y 
assacia personnellement à-Grenoble 
l'an dernier, recevra avec prédilec- 
tion l'oeuvre dans sa ville archié- 
piseopale fut le berceau, Dans une 
audience récemment accordée: à M. 
Duthoit, vgésident de la. Comimis- 
sion générale, :Son Fminence-A 
bien vonlà accepter la haute prési- 
dence dciceite session et lui pra- 
mettre le.plus paternel‘éoncours. 

Le thème des travaux de la Se- 
maine sociale de Lyon sera .“PAu- 
torité”," Li : 


ds 


Les catholiques de France | Puissance, c’est--dire 


‘Fsont toujours 


censement de 1921. Les résultats 
essenticis du recensement ont dé- 
it été communiqnés au publie par 
une trentaine de bulletins, chacun 


la persécution, les catholiques set desquels traite de l'un des multiples 
sont dressés, organisés, fédérés: ct aspects tant de la population que 
maintenant, ik ont la hantise d'étrel de l'agriculure. 


Le volume qui 
sort des presses contient des chif- 


Ne te plains donc pas d'avoir dans! tres définitifs et détaillés, par cha- 


ment: ‘ 
Le premier recensement de fS7I 


Aux termes de PAete de l'Améri- 
que Britannique du Nord de 1867, 
le, recensement est l'une des 28 at- 
iributions du ressort ‘exclusif de la 
entièrement 
sousfraite à lautorité provinciale. 
La pr@mière loi sur le recensement 
fut adoptèce par le Parlement du 
Canada en 1870 et le premier re 
censement de la. Puissanee fut ef- 
fectué en 1871. Depuis 1 Confé- 
dération, la Puissance 4 fait l'objet 
de six recensements décennaux. 


Les recensements dans l'histoire 
‘des veuples 


Le dénombrement de la popula- 
tion remonte à Paube de la civilisa- 
tion, Moïse dénembra les enfants 
d'Israël au quinzième siéele A, C., 
mais dos invostigations d'une natu- 
re sittilaire avaient été faites non- 
bre de siècles auparavant: à Baby- 
lone, environ 3800 À. G.: en Chine, 
environ 3000 À, @ et on Egvpte, en- 
viron 2200 À. (& : -Un recensement 
que fit exécuter le roi David en 
1017 À, C. est degeuré notoire, à 
cause de la colère divine qu'il au- 


rait provoquée; pendant de ‘nom- 
breuses générations, ec  recense- 


ment fut cité dans PEurope chré- 
tienne pour combattre l'esprit d'ine 
quisitions. Jusqu'en 1753, le recen- 
sement fut dénoncé pour des  rai- 
sons religicuses, à la Chambre des 
Conununes britannique, où plus 
d'un député considéraient cette n- 
pération coinme un fâcheux présa- 
ge 6t craignaient/que des malheurs 
publics en fussent da conséquence. 
Les Romains, tant sous la républi- 
aue que sous l'empire procédaient 
assidtunent à des-recensements, Le 
bréviaire de Charlémagoce, en Pan- 
née 808, el le grand terrier, regis- 
tre du cadastre de Guillaume le 
Conquérant en 1086, sont restés cé- 
lébres comme meslres médiévales 
de recensement: ‘ Ensuite, pendant 
plusieurs siècles, on; #'ehtendit plus 
parler de recensement en Europe, 


Le Canada fat. 18 premier 


L'ouvrage qui nOUS occupe nous 
apprend que c’est au Cañada qu'ap- 
partient honneur , de ‘ Pinitiative 
d'un recensement ll que ceux des 
temps modernes, En Pannée 1666, 
la Nouvelle-France (comme on ap- 
pelait alors le Canatla) fut soumise 
à un dénombrement systématique 
et nominal de la population, effce- 
tué à une date fige, donnant l'âge, 
le sexe, Poceupalion, l'état civil ot 
familial, Ge document est soigneu- 
sement conservé aux archives de 
Paris, mais il en existe, une copie 
que. l'on peut voir à Ottawa, Si 
l'au-considèére que les premiers re- 
ceusements pratiqués cn Europe ne 
remontent qu'un dis-huitiéme sié- 
cle, -nojnmment ceux ‘de Ja Prusse 
(1719), de la Suède, (1748), de la 
France et de l'Angleterre (1809), Pi- 
nitiative déplovée par la colonie. 
naissante des bords du St-Laurent, 
en instituant ce qui est aujourd'hui 
Pun des prineipaux instruments de 
gouvernement des paÿs civilisés. 
mérite d'être signalée et louangéc. 


Sous de règime franenis : 


Entre 1666 ct 1763, fin’ du régime 
français, le recensement inftial de 
Ja Nouvelle-France ne fui pas ré- 
‘pété moins de 15 fois; d'ailleurs. il 
ne fut pas lintité à Vactuelle pro- 
vince de Québec, mais:s'étendit du- 
rant les dernières années de cette 
période anx régions voisines, sCpL 
recensements avant été - effectués 


A la dernière mode 
L ] en rm 
- Récemment, nne mendiante ren- 
contrant une grande dame, lui de- 
manda laumône en disant: Je n’ai 
vien pour mhabiller.” — Oh! alors; 
reprit ln dame, vous êtes à la der- 
nière mode!” nn ; 


ee tof! ‘ 


L'expérience de vingt siècles 
.. . de luttes 


“Ne craignez pas Ja furcur des 
‘“honunes. Ne savez-Vous pas que 


défaites  momentanées 
suivies de victoires 
éclatantes? L'expérience de vingt 
‘siécles de lutte apurend au catholi- 


certaines 


que militant du XXe siècle qu'il est 


Des -périodes de 
présagent des ré- 
ui étonnent 
‘OM, 


sûr du triomphe. 
mort apparente p 
veils dé résurrection s 
le monude./"—FEdm. TH RIET, 
4 (Vivre sa vie.) . 


Fe Fes 7 : 
Romance sans paroles et sans 
‘musique 


Un enfant raconte qu'il a ‘écrit. à 
M. Clémenceau: dans son: crimitage 
rde Vendée, pour lui demander : ce 
qu'il, pensait du ministre, Herriot 

Le Tigre a répondu que la cour- 


, 


toiste La plus élémentaire lui inter- 
disait de répondre. 7 +", 
Mais-sur le dos de l'enveloppe. "i 
a noté: . 
9 et 0 et 0 et 0 et 0 et 0 et 0 égalent Ô 
Malheureusement, le ministre 
Herriot ‘n’est pas nul, il est profon- 
dément nufsible, er. il est la franc- 
magonncrio en action. -, 


vinces des prairies, 


-confessions religieuses, nous 


$ 


Sous le régime anglais 


Sous l'oceupalion anglaise, les it 
premiers recensements du Canada 


eurent Lieu eu 1765, 1784 et 1790. 
À partir de 1817, il v out d'autres 
recensements plus ou moins fré- 
quents, mais ce ne fut qu'après ln 
naissance de a Puissance du Ga- 


A 

Nous avons \iéjà dit que les résdl- 
als essentiels du recensement de 
HE out té déjà communiqués an 
publie. Rappelons ‘toutefois qu'en 
1874, le Canada avait une popula- 
tion- de 4,689,237 et que cinquante 
ans plus tard, en 1921, it était pou- 
plié de 8,788,483 îmes, soit une aug- 
mentation de 138.22 pe. Durant la 
dernière décade l'accroissement ful 
de 21,95 pe; pendant la première 
décade qui suivit la Confédération, 
il avait été de 1723 pc, dans Ta 
seconde, de 11,76 pe, dans-In troi- 
sième., de LH pes et dans la qua- 
frième de 34.17 pe. 


Le développement de l'Ouest 


Il est également intéressant : de 
remarquer qu'en 187L1-Ontayio pos- 
sédait près de 44 pe de Ja” popula- 
ion.du Canada ot. Québec un pou 
plus de 42 p, ©, tandis qu'en 1921 
Ontario m'avait plus que S38N pe, 
de Fa population totale et Québec 
96.87 p.c. La situation relative des 
provinces maritimes, au point de 
vue de ‘la population, lors de fa 
Confédération et imaintenant, est 
illustrée d'une manière frappante 
par de fait qu'en ‘1871, ces pr'ovin- 
ees contenaicnt 20.8 pe. du'total de 
la population. tandis qu'en 1921 ct. 
les t'en avaient plus que 11,4 p, ec 
Evidenunent, Pexplication se trou- 
ve daus le grossissement des pro- 
En 1871, sur 
une population totuie de 3,089.257 
âmes, 18.600 seulement, soit 0.42 p. 
e. habitaient dans le centre ouest; 
en 1901, cétte région ne revendi- 
quail guère que 4 pc, de fa populr- 
lion totale, mais en 1921, elle en 
possédait plus de 2% p, 6. x 


Population urbaine 


Le grossissement de Ja popufation 
urbaine au Canada est surabondium- 
ment démontré par le fait qu'en 
1921, la Puissance possédait 109 ci- 
tés et villes de 5,000 unes et plus, 
au lieu de 87 en 1911, 57 en 1901, 45 


ren 891, t'en 1881 el 21 en 1871. 


En 1891, la population vivant dans 
les agglomérations urbaines consti- 
tuait 31.8 pc de ja population to- 
tale; en 1901, cette proportion at- 
loignit 47,5 p.e,; en 19f9, 45.4 p. e, 
et en 1921, 49.5 pe Entre 1891 ot 
1921, ia population rurale s’est ac- 
crue de 34 p.c., en même temps que 
la population urbaine s'augmentait 
de 183 p, €, en 30 ans, 


Les villes grossissent” 


En.1874, Montréal ct'les villages 
avoisinants qui ont éié annexés de- 
puis, avaient une population d’envi- 
ron 115.000 âmes, au lieu de 618,500 
en 1921; Toronto, dont le territoi- 
re est semblabloment considéré, est 
passé en cinquante ans, de 59,000 à 
521.893, Winnipeg, qui se trouvait 
difficilement une place sur Ia carte, 
en 1871, aveu ses 241 habitants, en 
avait 179,087 on 1921, Ajoutons que 
Vancouver et Calgary figurent pour 
a premiére fois au recensement de 
1491 et qu'Edmonton, Régina et 
Saskatoon étaient inconnus dans les 
recensements antérieurs à eelui de 
1901, ‘Toutes ces cités sont aujour- 
d'hui de grands centres populeux 
et actifs où prospérent le commerce 
et Pindustrie, 


“ 


Les nationalités 


Les effets de l'immigration sur 
la contposition ethnique de la po- 


‘pulation apparaissent une naniè- 


re frappante à la fucur des chiffre 

suivants: en 1881, 59 pe, de la po- 
pulation étaient d’origine anglaise, 
irlandaise ou écossaise; 3E p. c@, d’o- 
rigine française (presque fous 4au- 
tochtones) et 2 1-2 jx €, pour les 
fndiens indigènes, ee qui ne faissait 
quenvirou 8 1-2 p. c, de Ia populi- 
tion pour les autres races. En 1911, 
c'est-à-dire 30 ans plus tard, cette 
proportion s'établissait ainsi: ra- 
ces britanniques 54 p.c.; race fran- 
gaise, 28,5 ‘pc, Indiens indigènes, 
moins de 1.5 p.c et toutes autres 
aces, près de 16 p. ce, En 1921, 
ces proportions se sont ainsi modi- 
fiées: races britanniques, 55.6 p.c; 
race françaisé, 27.9 p. ©; Indiens 
indigènes. 1 1-4 p, ç.; toutes autres 
races, 15.43 pc -. 


La population pur religions 


Le chapitre qui traite de la clas- 
sification de la population selon les 
ai 
connaître avec les détails les plus 
complets, la force relative des dif- 
férentes confessions religieuses par 
comtés, cantons ou cités En 1901, 
PÉglise d'Angleterre revendiquait 
12,69 p. €. du total de la population; 
les baptistes 5.92 p. c.; les lutht- 


riens, 1.72 p. cs; kés méthodistes, tif 


17.07 p. ce.; les presbytériens, 15. 


68 p. €. et les catholiques romains; || 


A1,51 p. e.. Vingt ans plus tard, cn 
1921, ces proportions Se sont ainsi 
modifiées: Eglise d'Angleterre, 16. 
62 p. ce; baptistes, 489 p. c.; lu- 
thériens, 3.28 p, c.; méthodistes, 15, 
18 p. c,: presbviériens, 16,03 n. c. et 
les catholiques romains 48,50 p, c. 
Les Israëlites "qni. en 1991, étaient 
au nombre de 16,401, sait moins 
d'un tiers de un pour cent de la po- 
‘pulation, représentaient 1,42 p.c. de 
Ja population totale ‘en 1921 et se 
dénombraiont por 125,109. 


D 


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reudais de ‘ : ‘4 rencort- LPTCS cela,-vous serez de notre avis# ]a figure le vent de la bataille. que localité, relatifs: (au nome | ad tie , fPautune à da , 

dans Ja Même normes à pied, [ion ami Car pour crier commet Ce vent faisait tressaillir Je vieux | bre, au sexe et à la-répartition gén- mac cuits furent effectués, À dur Cloix des routes TRANSPORT MARITIME 

pri des SOUDE Dicyelette, dau- | 015 faités, vous avez vrainen(] Paul: Gaudeo et super gaudeo  et| graphique de la. population; (2)! 4n mème temps ee sur terre el 

fes jetés SOL loué un camion- l'air d'un trop honnête honime”, {il rendait lyrique Ignace d'Autio-| aux origines raciales et (3) aux re- / ‘ : 

res qui, avion : nrrivaient en Et ik continue. L'autre se tait.lche au milieu même de Pamphithé. | lisions. Le rapport administratif | L'angmentation de la population en Sur mer Aide gratuite pour l'obtention des passe. 
automobile, el Diva dans la sat EÉtait-ce. seulement dompté pair Jafâtre: Je suis le froment de Dieul sur les opéralions du recensement 50 ans. ports, visés, permis d'entrée, ate, 
chantant ere avant l'ouver- raillerie? peut-être que non, car aulet je dois être moulu par la denciet la compilation v  ligure égale- us 


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: Pourquoi ? Parce qw'il avait confiance dens le seuple anglais. 

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.-&snt.à une fraction de leur valeur-or. Ce 

Pourquoi ? Parce qu'ils ont confiance dans le peuple allemand.  . : à vous-même.de vous déci eos 


ür 


sion, male vous le devez: : 


‘ 
va Ü 


Les Précédents ; 


n _ À Avant ‘et durant los guérres ds Napoléon . or - 4 , nou : 

D Ne nn Tes nent pe na Een 

e L-] nt le mieux corinue n : e . : s : ‘ ‘ w-Yone, t:— , 

: rapidement de valeur. Le Grande-Bretagne R 3 fin de ces Les Prix Courants et les Occasions de.P rofits . . ‘Le sentiment est srand, en' Amérique que l'Aïlemagne, : 
Jônbues :fuerres, Sè trouva elle-même dans la position d'un, : : L . . . le Pin Diwes ent une trés différente Allem 4 e,'A0uS 
‘Éran to qui à Aoumulé une éngrme dqtte. Panne on | : 427 dans les ri Fe . OÙ usé à Parmiatieess ee en npne de Selle qui 

“Suivant l'exemple de la maison de Rotschild, une foule de C kdé d G . ; Alle —. ad P sx “8. 3127 J[ 5. NET NN TUE :e.° Aonita 
ma Se Qi Re méement cantines || Consolidés du Gouvernement Alleman -(Prüssien) 31/24 || :. L'opinion d'un banquiér anglais es © 
qu'un PS, t' ; hé . .. eg à es RER ERNEST ETS gouverneur de. lb Banque d'Angleterre, lorsque les négocis. 

ænglais à une fraction de leur valour réelle, ou, nee TR Obilgotiohs fembnténé - tions pour l'erniprunt à l'Allene " se 
Dans l'éspaco de quelques années, ces spéculateurs pénb- - ; ,. - À leur valeux 6 ot * p £ne èn Vertu du pien Dawea 

trarits furént capables do vendre à prix maxima et des milliers PRE ‘pé approsimatite À étaient 'en cours en octobre 1924, dti " ‘. . "-. 
firént foñtune. PEU M ACT EE . l'épouse, La ‘+188 82 833.0 o ne” “En bnportañce comme, en. montant, complète une ‘péri 
. - ° : , : er s. internationnux lancés S ut dé ste € 

10,000 arks + Fe 2 ; conditions dans l'Éurüpe Centralé et d'aidér A RE ti EU 


Run À s ‘ La période d'avant et d'après ln où r ‘ areñ nn ni 
Les Etats-Unis PE A Révoiution aux Etats 20,000 . “ . … 90.00 . : 4760.00 -4,670.00 raencér”meintenhnt où plus.tard pou recontrér lôurs oblige 


Ünts fut témoin de la même chose de la part deg Valeurs üu ; ann nh  ‘ 116 tions Anternationales. , . ri 
gouvernement tent prêté de fortes dommes d'argent aux 50,000 225.00 ' 11,900.00 11,675.00 Je crois que Ja‘ garantie fournie aûx étentenrs ‘d'obtiga- 
“des Frances ayatent prêté de fortes Form 8 d'argent aux 100,000 % nm + æ » 1 à je > .: 4$0.00 : 23;800.00 : 23,350.00 glons & non Seulement d'anprobgtion” de la Commtasion des 
Am . . ' : . : _ ons, maïs devra or l'a Î 
Lo EU Re ART DEN ein ro 250,000 CTI TES eu 112800 590000 © 58,375.00. || Sélous les payn, Au den de In Auestion de garantie Je 
testérent Vlolemment contre cela ‘500,000 - _ . 2,250.00 16,000.:00 -__ 116,750,00 "dans cètté assemblée un: indice de l'ävenir. Jé'cruls que. Pin. 
En 178, M. Otto, chargé d'affaires de France, écrivakt À ; CRT DS ! AS 0.00 so nnn nn 235-500 00 certitude êt le manque dé coopération: qüi peuvent sembler avoir 
John Hay lo seorétairo d'alors pour les affaires étrangères: 1,030,000 . ; »500.00 - 238,000.00 . . bas prévalu en Europe dant lei dernlères.annéss sont e lour f0fne. 
Ces prêts . Lo rt, ot use . . e ‘crois que l'émission qui doit bientôt £tre lanéée. & New- 


À. Pougstee à ‘ vole 


représentaient le travail, les efforts et les « ,U cg ; | . ï 
fottures d'un grené nombre d'individus qui sont venus 6n J ; = . _ : York. do même que dans les principales. cépitaiss à Rer- 
ide aux Etats-Unis dans les ternps les plus difficiles. , nu x = —, EEE ” ” + quers le point décisif. dans ls -recongtruet{on-de l'Erveche Nous 
Leb vieilles mmaicons de commerce en France se trouvent , ra h . ‘ Lu tt Mois Te pe ue CE apart, Lo re à _ avons fusqu'idi regardé en. arrièté :: nous: â : pus 
elles-mêmes réduites à la misère pour avoir trop eu d0 Üne nation de 70.000,00 a’habltants du csractère ét ae T'h£- L'on no peut pas supposer ‘que teë détenteurs de valeurs / gerder en nvant. L'occasion ést ublque., L'emprant est 5ôr, 
confiance dane le gePier monnale et les certificats de bnité dés A‘lémands ns saurait être détruité car leur détermi- du goüvérnemént üllemänd, audourd'hul, vont attendre jusqu'à éonstruotif, reconstructff et démôcrätique. “If-est grandement 
bureaux de prêts. ; a Majesté, ne peut rester indifférente nation, leur courage et leur habilité commerciale ne sauralent ce que les réparations sien payées, avant qu'ils eient l'occes recommandé et devrnit être atirayänt ‘pour ones Fo 

"un 5 as FRS ré ÿ Û annihiés. Fe : Fi sion de liquider les voleurs au'ila possèdent, à de Suns els * Ces’opinfons ne font que bontitiier la, ldgidhe saine ‘Ass 1 
John Adams, Je commissaire des Htate-Unis en France, L'Angleterre et les Ptate- profits. La manière doft.les obligations. allemandes ont évolué, vieille croyance qte,-rêtle énérale, malgré que los guerres et 


À: 
Î n ue l'emplol à ier-monnale dépréuià mes mes ES ä . , nt . “ É ; 
crea RÉ rude etait injuste, Le 11 juillet 1389, il La raison joue un rôle Arte ne lent courant 1924 egf une preute StGEante que RE est pas le caf. les révolutions it retarder la: cjvilléation, elles ont lafret 
Érivait À Robert Morris quo: Toute hésitation, toute incertitüde ‘ qu'une Allemagne en banqueroute sefait suivie ‘d'une dépression Progrès de PAllémagne La presse dé tous lés 5, fevültés ‘intéllétiuelies. 
à propos de priver ou d'avcepter une Juste dette, amoinéärit le universélle. 1S rétoutnôrent à Îa conception économique -élé- ‘ d ee Liens 2 . juurs, donne des pret- 
sens de l'oblis: ion moräle de la justice publique qui doit être mentäiré que-ce Qui sérait bon pour 11 prospérité allemande ser ves-indéniables que l'Atjemngné fait dé rapides progrès, finari- 
garde pur dans tout esprit américain. [Les créanoleré ont ! rait.à la longue bon pour !& prospérité janglaise, ' américäine ciérement: ét ‘économiquernént, -vets la récupération de. sûn 
toit: indéniable d'avoir satisfaction et cela par les pri et canadienne; les nations de l'univers prospèrent. ensembls ancien statut, — Son, budget an été équilibré et non seulement 
fondamentaux de la société. Peut-i y @voir de Pind comme elles souffrent ensémble. Phone équilibré, mals 1! montré un surplus Chaique mis. Des traités 
des convenances sans cela. Parler d'une éponge pour effacer { Le résultat de-ce réveil fut la formation du Comité Dawes, commerciaux favorables orit été ou Sont actuellement négociés. 
uns dette, la réduire ou l'amoindrir en bns de 52 valeur réelle lequel comprenaft des experts financiers de tous les:pays de . Les exbortations d'or à l'Alernagne, rendues possiblas par 


detis un -e trahirait une ignorance complète des principes ueñqu’importance, dans. l'univers, Cette ommission éonmit la récente émission de’ l'emprunt d'&prés le Plan Dawés, ont 
Sémentaties du devéir et d'intérêt nàtionaux. gu us accru les ressources de 14 Helchbatik. et lui ont ‘fourni les 


1 ‘ éntuellement. le’ plan ‘qu'on surmonuné le » pour les à 1 
.Touts le. augstion est devenue d'uné importance nationale. maux de l'Europe, c'est cs qu'il a presque prouvé être. - . résertoé iégalément, lequires Ut. l'éniission Ge billets addi- 
L'idée d'Alexander Hamilton de lintésrité finançière et de ia L'Durone a été depuis cinq ans dans un état $ t, Plu- tionnels, assurant la stabllination du riouveaü mérk-ôr et fai- : e 
sainteté £ss obligations publi ues gun genre monétaire En jen sieurs erovaient qu'elle retragradait, mais l'acéd tation, fineis, sont, disparaître toute possibilité d'un renouvellément d'infle- x. 
ontt xtrait de i È le et les nüs leve, conime un a vo ste - PPT : en | 
du trésor ‘en 1789. Chaque violatiôn de promesses pubiques ë “noertitude qui avait étouffé le progrès ot ln rénabiltation: ‘SES palements en natute’.fèits depuis que le Pian Dawes 
écrivait-1, soit par nécaseité ou, déhbérée, est dans différents logos oe + ie ‘à Pres- vint £ vigueur Fa s'élèvent, 22,000,000 ge marks-0r de plus 
degrés préjudiotable qu GÉÉE MP eat George Washington: Les obligations allemandes montent EE . Smartaror Dar mou ee Per 0 presque augei gran ns 
ésident des Et +s-Unis, dans son discours au Congrès Îe .8 jour au lendemain 8. prix ges valeurs Fr endes s'améliore Ri h ° P : Un il ‘ d ‘ VAI ‘ Le rl hes gr etre. E Étién 
anvier 1790, disait: \ . n sses sensationnelles furent des évémenténts de toi- ess cnes- + 
Tai vu aveo un rés! plaisir à la, flôture ds 18 dernière tes lek heures jusqu'à ca que finalement €és vaioufs, Qué nous IC e8se otentié le at PE: lemagne se poten- 
2eesiôn, In résolution inscrite par Vous, exprimant votre avions recommantées, vinrent À leur niveau actuel; ‘ün certain tielle de l'Allemagne est un fâit céhnu. Nous n'allohs pas, en 
dninion qu'une. disposition adéquats pour le soutien du nombre montèrent plus haut et subirent une réaotienu; 14 grande conséquence, énnüsvr l'acheteur en bérsnective des obligations 
etédtt public est une question de haute Importance pour IA majorité montra une hausse énorne. | - ot ds soù gouvernement, Aveë une liste dé.ses mines, fabriques, 
prospérité et l'honneur du pays, En cela je suis d'accord Nous avons rérondu à la première question, reportèng-nous tonnage dé-ses valsséenux et .futres choses semblables, ‘Au lieu 
aveo vous. | déboursë maintenant à la deuxième. : de cel, nous allons repr@dulre l'opinion de quatre fameux Amé- 
fentôt après, 18 gouvernement américain fit un urs , Fo + Le but du plan rirains, sur l'Allemagne d'auloufd'hui, dont l'expression appà- 
éautratie aux por teurs 26 à soientons quand elles étaient à L Allemagne et le Plan Dawes Dawés est done tait NU une récente gsion du Berline Tageblatt. 
un eur foule: our les acheteurs — plusieurs les avaient dit tentr de Allemagne. les réparations pour dommages territoriaux : L'un des premiers feifets Eté "Piun Daven Bté la naissance 
sant valeurs — firent des fortunes. a pertes finançières. par les naflone gyec esquelles ele ta d'une nouvelle attitude metitile et d'uhé nouvelle manière de 
Les obligetions du gouvernement frangels  Sinal au toute Id promièté et Pindtsirie allemandes Nouvel aepiit lnité QE d'Allemagne ét-de toute l'Enrore. On 
ent À travers la même expérience : 1Q emandes nouvel esprit d'unité et un sincère désir d'un ajustement pacl- 
. L'Allemagne est forcée, pour le moment d'ignorer ses pro- fidie et aimianlé est appärént.. Le pétjlé penée en-terrhe de 
| à pres obligations intérieures; avant toute autre chose, les nalé- coopération plutôt quede conflit :- la paix ent indispensable 
1e déclaration ments pour les réparations doivent étré faits. Quiconque, Vour, ccrane condition devänt ‘précéder "tes .progrés économiques .du 
e, plus lourd un pustent, foute ie, son habileté à rencontrer ses obligations, peuple allemand lui-même: Lie fafdeau actuel des réparations 
8 de la révolution nt 5 S au’eile est supposée le faire, fait preuve d'une n'est:pas si lourd ni.si découraÿeant que lincertitüde dâns 
ti gran 6 ignorance des conditions étoiiomiques et financières de : laquetle H a été tenu, : oo ‘ ‘ : ne 
l'Allemagne d'aujourd'hui, : | Le , ui ze ë or un certain sentimentite sontapersent et melqte chose 
nl te de la vigueur industrielle et de son sens de l'économie d'antän ‘ Ù 
Dette totale ,8,6té estimé que la fers toile de pénètrent votre pays et 1 existé une Fécohfurtable atmosphère L'Allernagne. est entré 
ment de, représente, à la valeur actuelle, à peu près-quarante billlons de confiance que nos obliratiôns”péuvént être rencontrées et 1s ‘C'est cétts P riode de transition qu 
de maximum 10 de Son où 10 billions de-dollant. Maintenant, ce moñtant : Paye ramené à on éraheur d'avéfe.guéte rc qui offre da’telles occasions sans pré 
en France, en représente ce que l'Allemagne doit lu. monde extérieur, ‘pour - Le ‘Dr Nicholas Mubray, Butiér, brésident de l'Univeréité Len'obseivteurs politiques eroient 
rnen ral la guerre. La présente valeur en or de ses obligations fnté- Columbia, dans sa, contribution, sdlti ! . d. de gouvernement a été établie dhns ays du 
rieures totale n'a pas été estl:née. Le montant, nüturellement, . Ilny'a pas d'atimosité dans ce Bayé: ét je doute qwil'exists nde.. Ce gouvernement-a été Accompaëné, de Conditions 
M MR Smiéoae RE FAlmne à praeud Gler Sie Joué nacre dénaein-Pan eAfague ee dé noue ee DANS dut dde le cleauane ae durs outu 
, tats- ère cent du co e uerrr, RE "con, een. . spé : -d “vis--r eurs gouver- 
ence de l'Angleterre, des £ constrpetit qui o6 manifeste en RER A Montroier ds, sont à; plug d'équité visà fie les obligations 4e 5 


‘Tous les chiffres employés dans ces estimations, et 2illeurs 
&e la France prouve d'une manière d ons, et ailleurs, à ù . 18 ù ct. . ur 
ete faites, par lorsqu'ila ne sont pas obtenus de nos registres personnels, sont politique intérieure et les relations éträngères du :peuple all ‘La “dérniète guerre fut absolument sans précédent en. dé 
pa let en destrugtion. Mal 


e'les plus grosses fortunes ont obtenus de sources que nou - mand É 2 
° lus difficites ét les plus sombres a B croyons être sûres. D Ne _ pod ir dibonà a ae meñsion, en -dortée, en méthodes 
dus considérons que lé sol-diéant Plan Dawès est Intelln Hana res Dpasséds: comme précédent, alors 


8T 
émyps Îles ] t - né 
et politique possédaient suffisammen mn - . ‘La guèrri na que ! ‘ nonë-les. guer 
, marchés guerre gent, pratique ot d'affaires. “Nous: chitrévoyons ol application nous. preñons. eu 
d'entreprise Hadres entrer sur on colles-ci , Coût de la guerre pour lés Alliés a coûté à.  loyale et juste ainsi que ja réhbilltation continue de l'industrie corne: la trande guerre fut-sur Une plus rando. échelle So 
tions du gouvernem l'Angleterre, en chiffres ronds 48 billions de. dollars. Æile & et du commerce’allemanüé. (| est InGontestéble -que lé peuple toute autre, les résultats furefit plus grands, :les es pus 
LANÉ A Le tpranco 48 bllions de dollme. Et elle à comté aus allemand avec son étonnante contribution à la haute pende  Srandes, mais -lerpansion nt a stimulation des énergies 4 
DE 9 . ‘ Etats-Unis 2, peu près 27 billions de dollars . U universelle, à la littérature universelle, à la.sclence uhiverselle,  Céminelicent B.suivre seront aussi Plus grandes, , 
2 L’'Oec d hui | incont ren] er bays da payer leurs dettes de guerre est à l'art universel ét à la vie économique: universelle .ns répren- : se Se dm Lt ° Ca 
, occastons ontestablement admise, À ceux qui élament que l'Allernagne drait pas une piace prépondérante parmi id nations olvilisées, ‘ CE A ; CA e ° CU 
“+7 Alle . que des « istent PR drS jamais payer. les réparations et reprendre le paiement aussitôt que l'esprit Mbéral rempiäcerà et foulera aux pieds : Quoi CHELET 
!. Nemagne F Lovers t ie gra et, les mesures Pan no. 20h8t de ses valeurs inté- les restes d'autocratie militariste, © 5 . Une ‘etude méticulause des marchés durant les dernières 
etjouré u pér | x L'Allemagne n'a à payer qu'un quart de ce que l Anële- - Willie ‘H. Booth, président .de la ‘Charribre de Commerce de quelques semaines nous à convaincus - que les Console ee 
aus nvonb depuis plusieurs années conseillé, avec persts- terre a dû payer pour la guerre. Nous croyons qu'elle peut sup- New-York, écrit, an partlet . .. . da: È ouvérAement de Dan Pension à PES ouivant, les lignex 
tänce, leurachat. En face d'une forte critieue, par prospectus, porter les deux fardeauxx en même temps. De plus, nous:noûus La facilité avec laquelle le réceht, emptnht ailëmnñd 8 été : hui la plus Ve Te éerfien. n'de proit, EU ° 
téttres et Les Journaux, nous avons convainou des milliérs par attendons avec conflance que ce ne sera pas long maintenant absorbe fait ressortir la ébntiänce qui envahit le public et que que nous Avons Gfj& décrite, autrefots partis 
ot nas et len Etats-Unis qua les occasions de bénéfices avant que la pression sur les différents partis politiques, le monde & dans je crédit de l'Allemaghe et dans l'intégrité de  : Les Consoâés ‘Prusstèns "410% formaient autre np fire 
Sr l'achat de valeurs choisies du gouvernement atlemand n'ont exercée par chaque citoyen allemand possédant une obligation ses intentions relativement à l'orûre.de' choses créé par le de'la dette consolidée de là Prusse, n ayañt aucune É e Feb 
als été égaléss dans les annales du monde des placements du gouvernement soit: irrésistible. . Plan Dawes. ' Ë de maturité, -mals, rédulsibles par achat ont.6té ajoutén, FOUT 
ous donnans ci-desôus des chiffres montrant les prix aux sonne : . is DONNE .- |. placés par de nouvelles émissions, rnais. leur Anfgré Aou 
“né not avons vendu les obligations du gouvernement nilo- . mme eee | MIEUPEMIENt avt développements ci-devant mentionnés, &ÿ 
‘mand #1 y & environ un an et leurs contes courantes | N e . ‘ - toujours êté promptement et entièrement -PAyÉ: . 
‘ y minons de Prix L etre er vice AUX Eva gnarts . : - Nr furent ‘transportées au ouverdement- ci 
—- yaun (a : ' nu . : à . ur: ‘ Re: : ‘ , de l'Allemagne, et-sont ainsi maintenant É : " 
ve oourants E maison de placements est à juste titre fière d'avoir contribué à fairb-fairé de,substäntiels profits aux, spéeuiateurs du tions ‘älrectes ‘âu Reich, garanties par les’ réssources entières 
Géuvemement Allsmañi 8 6 (1914-1918) . 42,100.00 . N Canada, des Etats-Unis et de Terre-Neuve. En plus des fortunes qui ont êté faites, par les spécuiateurs qui ont acheté des de la République “Allemande, . - Pa tree 
Vito de Hambourg 472 8 (1919) . . . . « « 860.00 "obligations gouvernementales et municipales allemenñdes, nous avons fait faire beaucoup d'argent à ceux de nos clients qui : : s PRESS M gyér © 0 ‘a ‘valour-or des 
Vale da Borlin 48 (1919) . . - : : : 8,250.00 ont acheté des obligations gouvernementales anglaises, françaises et itallennes Alors que I8 monnaie de ces pays éteblisaait un: . : Valeur-or lors de l'émission f,Soiides - du 
Ville de Boriin ds (1920) . E 20.00 00 reed tableau cl-dessous : - : HN n ee . : ro Q " ‘ Re: ve F ‘ Ve SOMSaée dur. 
= montrant 1 : ‘de : x ___. Gouvernement, ‘Allemand (Prussiens) 84% est basée BU 
: 20.00 + 250.00 RSA e cours élevé, bas et aotuel de la monnaie des trois principaur pays européens indique oiai - ‘Soeur de l'ancien gant allemand avant ix pérlode:d'inflation. 


-+ 


Vilis a a de ne aire) ! ! + 200.00  20,600.00 rednent-les ccoœslons de faire des.profits qui se sont préséntéss de noverubre. 1918 à venir à aujourd'hul... jaleur Re vait une valeur-or do 25.8con 1914, lorsque la Tn8{0- 
UE nr 200 51970000 : Livre na 4 en se EF - Actugliement ° iite deb obligations sous la dette consolidée dela Prusse furent 


. . - + . v . . Ê . CE 


80e oc ’ ‘ ‘ done, en 1914, une 
-.. qu'elles sont les raisons qui nous ont incités à croire que ce ! Frano 18.687 , ‘08428 : 05552 -., (émises. Une obleation de 1000 mars Etes Gui achetérent 
"mouvement ‘n'est -que précurseur à una hausse de proportions l Le EU AE Be a ee ee oo 5 + «18.788 408310. " : ces obligations payèrent npproximativement .ce montant PO 
béauconp mMüus grande. TemaArq e augmentation indiquée par ies chiffres de’18 @ernière colonne comparée à ceux'de la deuxième colonne indique es Consolidés lors de leur émission , I it 

Ru NOUS proposons maintenant de répondre à cos deilz Lairement la valeur de ces obligations at les spéaulateurs ont fait d’extrnordinaires profits. , " : TE 5e DR HUVET- 
: . Notre organisation a .êté portéo.à un haut dagré d'efficacité. “L'endroit où l'épargnant démeuré ne nüit en rien à, la comme -. Le fait que 198 obligations ont été transportées au de 
hat et . dite et à la sûreté de ses placements, Gr notre service de commandes par la poste est Agencé pour #brorder le soin personnel nement central X'affecte d'aucuns manière leur vraie valeurs 

… L'Allemagne et la guerre LY de la, dernière » plus soigné aux comptes de ceux qui font affaires par la poste. Nous sollicitons les affaires par 18 posté, et nous avons COnE- Le gouvernement allemand est tout aussi obligé:à honorer € 

.  "# agne gu gusrre, l'Allemagne ads que l6s clients servis de cette ragon sont aussi bien satisfaits que ceux que nous servornis pérgonnellement 3 nos'buredux, obligations que l'était le gouvernement prusslen, 

. “exrbattait l'univers prete entier, Entourés do tous les côtés bu n autra point caillant ‘de notre service aux clients est le Bulletin de. Change Etranger, publié mehsuellemient et envoyé gTa- un To Sn , Un regard jeté'éu tableau m6n- 
de pare contre lesquels elle combataît, la nation, littéralement ctuitement en n'importe quel endroit, à quiconque en fait la demande. Cette publication, tout en traitänt pour ln plus grande Étudiez le tableau ‘trant les prix et les perspec: 
centin 


Ville de Dan 
Ville de Bariin &s (1915) . . .:. . . 
, Quatles sont les causes de os hausses esnsationne 


so mangoit elle-même. Elle ne pouvait omprüunter un ‘partie, den développements politiques, financiers et éco es gs pays 1 fl l [r es56s, con- , j , : ; 
van monde extérieur ot ions jen gets emploYés pour “Hent beaucou de renseipnementa intéressants at sujet Tara ee étre Bres. à esquels nos alients gont le plus Intéresoer con tes de nets veus gmentrere Que VOUS PoNreE Poreu' 
militaires, navales et civiles venaient ! Nous vous invitons & profiter ls plus possible dé notre organisation. lle est à votre service sur simple demande. .. rer. , sa ? on abent ‘’elles devro2t 
“De 1. sa dette intémeure comperatl ; ®. , seront:honorées: par je gouvernement allemand, ‘elles 

, . | | | | E | ‘ ' : valoir approsimativement $2,540.09, ue : | 
vés a 5 i EE 1 MAC cut anto. N°05 : correspondants eur 
ER PORDE, dons lo sonvemement Torté réellement _ EEE rase Ç =] ‘Demande croissante Nr, Sous gnnoncent av'?- 
.. ." … ‘M:GUBTAVE GRAULT GÉRANT DU DÉPARTEMENT FRANÇAIS . ° ; grès uno étude :minutieuse des cercles. finenciors 18-D8s îs 

‘ ‘ : écouvrirent que 12 participation européenne “den ls EuorTe 

YAllemagne -êt les obligations de prêts d'après Suerre 
atteint d'énormes proportions. Les spéculteurs anglsis, 

das, -ainsl-que d'autres -spécuiateurs, ‘ont. acquis uno énorme 
partie. des obligations: ellemändes et lès :gardent pour ‘un 
usse -prachaine, ,, 7 "1 | is !, 0 Lt ur 

- +On-peut s'attendre que la demande toujours eroiséants, D 
D ed "688 Conéolidés allemands, comme ce fut 10 85e “avec nos obiige- 
eviter la .sume, Lee citoyens 0 | ‘ . . D | }: “tions .de l'Emprunt de Guerre, les fasse monter à, des niveñus 
ER CS . ONTRÉAL CANADA Qt MT F. bésuaoup plus élavés. Se Le ie ot 
- 7 tit ; t pértant est l'acnét par Îe 

emand . lui-même, Les Consolidés.. sont Fe 


a el terminaieon de ne gnerre et 
r plusieurs ennéés ‘suivirent 
Les maris Dani 


e politique œ ne comptant, poivont ‘aussi ire 
La coût Ge la vie 1d prie d'achat au:montant do la. ï 
vint Le paiement. complet peut. étre fait‘ a 


à: de retiro 
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Jecaucs, MONTREAL, Cam star en, Ci eme. : au 
Ménntnt UE de eue e ete € ee ce [| jé" gotéen à, 1 
‘marks de: Ce * t'Allemand (Prussien) 846%, lesquels vous devrez || Hg 
m'envoyer par lettre enregistrée et agsürée. {°° 4". 7 0 tie es do daront PRE 
- Vous trouverez ci-inclue—mandatp5ste—0 hèque adcepté—argent pour $ 6 6 0 + a 
. En plein paiement pour l'achat ci-dessus... , # "fi à te Ur 5 
: NOM. M es we A Ci: a we Oo tp Ë WE NE 
: As , MoN ha echo due ni Monue D. £ont 
Ë o È j - De PR DRE M 0 Un RO tre Ut Lilas 48 À 
Es vues. pan de menti 4 € ADRESSE ...  . + u N 8 M Se Dom me am mm Ÿ | Mon ï 
50 un olonbe siniano si CAUSES : + 4e Bue Numéro |. à cui, ne 4, LR PATRON | fou Liga de 
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